[0001] La présente invention concerne une sonde intra-vaginale d'auto-rééducation périnéale.
[0002] Une telle rééducation a pour but de remédier à différentes causes d'incontinence
urinaire, à titre préventif dans le post-partum, ou à titre curatif seule ou encore
en complément d'un traitement médical ou chirurgical.
[0003] Parmi les différentes techniques utilisées dans ce domaine, la rééducation manuelle
concerne, outre les muscles élévateurs de l'anus, les muscles bulbo-spongieux. Son
principe émane des exercices préconisés par Monsieur Kegel en 1948. Une telle rééducation
s'adapte aux résultats d'un test musculaire de départ. Elle comporte les phases classiques
et successives suivantes :
- prise de conscience,
- apprentissage de la qualité de la contraction musculaire,
- musculation,
- réentraînement à l'effort.
[0004] Différentes études ont montré l'efficacité de la rééducation manuelle en tant que
technique rééducative proprement dite. Elle semble adaptée à la prise en charge de
l'incontinence urinaire d'effort car elle agit sur le renforcement musculaire du plancher
pelvien. Le travail intra-vaginal donne de bons résultats au niveau de tous les critères
de jugement.
[0005] Cette technique peut être efficacement relayée par des exercices d'auto-entretien,
à condition de disposer d'un matériel adéquat.
[0006] Jusqu'ici, seuls les cônes vaginaux étaient disponibles. Ceux-ci agissent en reproduisant
une pesanteur endo-cavitaire obligeant théoriquement la patiente à verrouiller son
système musculaire périnéal. En fait, si leur utilisation permet d'améliorer la force
du plancher musculaire pelvien, elle ne permet pas une mesure objective de la force
de celui-ci. L'analyse de la littérature permet d'émettre des réserves quant à l'efficacité
de ce type de matériel.
[0007] En revanche, les cônes vaginaux présentent l'avantage d'être utilisés en rééducation,
donc en auto-entretien, avant ou après la rééducation traditionnelle et chez les femmes
refusant ou indisponibles pour pratiquer cette dernière.
[0008] La demande de brevet internationale WO-98 48 904 décrit un poids vaginal conçu pour
être introduit à l'intérieur du vagin dans le but de mettre à l'épreuve et d'examiner
la fibre musculaire striée de la structure périnéale. Ce poids a la particularité
d'avoir une masse répartie assymétriquement et comportant un élément pesant ou une
pluralité d'éléments pesants répartis intérieurement, le centre de gravité de l'élément
pesant ou le centre de gravité global des divers éléments pesants au sein du poids
vaginal étant situé sous le centre de gravité dudit poids lorsque celui-ci ne contient
pas le ou les éléments pesants.
[0009] Néanmoins, et comme déjà cité précédemment, un tel dispositif ne permet pas une mesure
objective de la force du plancher musculaire pelvien.
[0010] De manière à obtenir un tel résultat, et dans le but de pallier les inconvénients
des systèmes connus, l'invention concerne une sonde intra-vaginale d'auto-rééducation
périnéale, caractérisée en ce qu'elle est constituée par un élément de révolution
passif et de poids prédéterminé, comprenant :
- une partie d'extrémité d'introduction arrondie, prolongée par,
- une partie cylindrique définissant un corps principal, dont les dimensions correspondent
sensiblement à l'anneau formé par le système musculaire périnéal, et qui se prolonge
par,
- une première partie sensiblement tronconique, permettant d'obtenir le contrôle de
la résistance au poids de l'ensemble de l'élément, et qui se prolonge par,
- une seconde partie sensiblement tronconique, évasée dans une direction opposée à ladite
première partie tronconique, définissant avec celle-ci une zone centrale concave de
révolution, et qui se prolonge par,
- une partie externe formant un anneau permettant une préhension manuelle de l'élément,
et évitant la migration de ce dernier dans le vagin.
[0011] La présente invention concerne également les caractéristiques qui ressortiront au
cours de la description qui va suivre, et qui devront être considérées isolément ou
selon toutes leurs combinaisons techniques possibles.
[0012] Cette description, donnée à titre d'exemple non limitatif, fera mieux comprendre
comment l'invention peut être réalisée, en référence aux dessins annexés sur lesquels
:
- la figure 1 est une vue en plan de la sonde intra-vaginale d'auto-rééducation périnéale
selon l'invention,
- la figure 2 est une vue de dessus de l'extrémité externe de la sonde selon la figure
1.
[0013] La sonde, illustrée globalement sur la figure 1, est constituée d'un élément 1 de
révolution passif et de poids déterminé comprenant :
- une partie d'extrémité d'introduction arrondie 2, prolongée par,
- une partie cylindrique 3 définissant un corps principal, dont les dimensions correspondent
sensiblement à l'anneau formé par le système musculaire périnéal, et qui se prolonge
par :
- une première partie sensiblement troncônique 4 permettant d'obtenir le contrôle
de la résistance au poids de l'ensemble de l'élément 1 et qui se prolonge par :
- une seconde partie sensiblement tronconique 5, évasée dans une direction opposée à
ladite première partie tronconique 4, définissant avec celle-ci une zone centrale
concave de révolution 6, et qui se prolonge par,
- une partie externe formant un anneau 7 permettant une préhension manuelle de l'élément
1, et évitant la migration de ce dernier dans le vagin.
[0014] Les dimensions de la partie endo-cavitaire correspondent à des relevés anatomiques
moyens, permettant à la sonde d'être utilisée par toutes les femmes.
[0015] Selon une forme de réalisation avantageuse, la partie d'introduction 2 est en forme
d'ogive, dont l'extrémité est réalisée selon un rayon R
1, notamment compris entre 8 et 15 mm et d'une longueur L
2 d'environ 13 mm. Elle se prolonge vers la partie cylindrique 3 qui est d'un diamètre
D
1 d'environ 30 mm et d'une longueur L
1 d'environ 35 mm.
[0016] En ce qui concerne ladite première partie tronconique 4, celle-ci a une grande base
B dont le diamètre correspond au diamètre D
1 de la partie cylindrique 3 de laquelle elle est issue. Sa petite base b est d'environ
10 mm notamment.
[0017] Ladite petite base b coïncide avec la petite base b' de la seconde partie tronconique
5, issue de ladite première partie 4. La grande base B' de ladite seconde partie tronconique
5 est d'un diamètre D
2 d'environ 30 mm notamment.
[0018] La première partie tronconique 4 est d'une hauteur L
3 d'environ 20 mm, notamment, alors que la seconde partie tronconique 5 est d'une hauteur
L
5 d'environ 10 mm, notamment.
[0019] Lesdites parties tronconiques 4 et 5 définissent la zone centrale concave 6, qui
présente, en ce qui la concerne, une hauteur L
4 d'environ 10 mm, notamment, et un rayon de courbure R
4, de l'ordre de 12 mm, notamment..
[0020] En fait, le double tronc de cône de révolution, constitué par lesdites parties 4
et 5, en forme de diabolo, est donc d'une hauteur totale de 40 mm, notamment.
[0021] En ce qui concerne l'anneau 7 formant la partie externe, celui-ci est d'un diamètre
D
2 d'environ 30 mm, notamment, se confondant avec la grande base B' de ladite seconde
partie tronconique 5, de laquelle il est issu. Il est d'une épaisseur L
6 d'environ 5 mm, notamment.
[0022] Comme on le remarquera sur la figure 1, toutes les zones angulaires de jonction des
différentes parties sont arrondies suivant un rayon R
3 de manière à permettre une introduction facile sans appréhension ni risque de blessure.
[0023] Cet anneau 7 permet, non seulement comme déjà cité une préhension manuelle de l'élément,
évitant en outre la migration de celui-ci dans le vagin, mais également, il facilite
l'introduction et l'extraction de la sonde. De plus, sa faible épaisseur autorise
une utilisatrice à travailler en sous-vêtement.
[0024] De plus, et ce qui est très important, ce même anneau 7 évite surtout la butée de
la sonde sur le promontoire osseux, ce qui nuirait à son efficacité.
[0025] Selon une autre caractéristique de l'invention, l'élément 1 présente un poids compris,
notamment, entre 350 et 500 grammes. La fonction de poids est un élément essentiel
de la sonde qui en association avec la partie tronconique de sortie 4, s'étirant,
notamment, sur 20 mm de longueur, permet d'obtenir le contrôle de la résistance au
poids.
[0026] Cette sonde étant passive, sans aucune énergie extérieure, le contrôle de la résistance
au poids est effectué uniquement par la patiente, ce qui constitue l'auto-rééducation
périnéale recherchée.
[0027] Selon une autre caractéristique de l'invention, l'anneau 7 formant la partie externe
comporte un système de fixation à un contrepoids permettant d'augmenter le travail.
[0028] En fait, cette particularité est intéressante lorsque le travail est effectué ou
contrôlé par un thérapeute qui dispose d'une tirette possédant en bout, soit une petite
ventouse, soit un embout magnétique permettant de venir se fixer sur la face extérieure
de l'anneau, afin de mesurer les efforts et les progrès.
[0029] Avantageusement, la sonde est réalisée en métal traité contre l'oxydation et parfaitement
lisse. Dans ce but, il pourra s'agir, par exemple, d'acier étiré et chromé ou inoxydable
ou encore de titanium, au moins en surface.
[0030] Ceci a pour but de garantir un environnement stérile et une facilité de nettoyage.
La surface de la sonde ne porte aucune arête et est parfaitement lisse, ce qui favorise
son introduction sans apport de lubrifiant et explique son confort de maintien.
[0031] Le poids de la sonde peut surprendre lorsqu'on la soupèse dans la main. En réalité,
les muscles périnéaux forment un hamac musculaire extrêmement solide, si bien que
le poids de la sonde est parfaitement adapté à la résistance musculaire.
[0032] Par ailleurs, ce poids varie en fonction de la position de la patiente et est donc
parfaitement adapté aux réentraînements à l'effort. En effet :
- en position couchée, le poids de la sonde est nul,
- en position assise, c'est-à-dire environ à 90 °, le poids de la sonde est divisé par
deux,
- en position debout, et uniquement dans cette position, la sonde exerce son poids vers
le bas, et il faut verrouiller le périnée pour qu'elle reste en place.
[0033] Cette réduction ou augmentation instantanée du poids de la sonde, en fonction de
la position, permet une rééducation musculaire plus rapide.
[0034] Les exercices décrits ci-après suivent cette progression.La mise en oeuvre de la
sonde de la présente invention peut s'effectuer de la façon suivante.
[0035] Un bilan est réalisé au début, puis après dix jours d'exercice avec échelle visuelle
de satisfaction.
1) PREMIERE SEMAINE:
[0036] Travail en position allongée, jambes allongées, bien détendue, introduire la sonde
dans le vagin. Commercer les exercices en plaçant une main sur les abdominaux et l'autre
sur la face latérale des fessiers pour contrôler leur non participation. Le maintien
de la contraction périnéale s'effectue en comptant à voie haute afin d'éviter le blocage
en apnée.
1.1) Premier jour : « proprioception »
a) - contraction 1s - repos 3 s. Répéter dix fois sans chercher à serrer au maximum
mais en contrôlant scrupuleusement l'absence de participation des fessiers, des abdominaux
et de la bascule du bassin. Puis,
b) - repos complet pendant 20s. Puis recommencer l'exerce a) puis b) pendant un total
de cinq minutes. Effectuer cet exercice matin et soir.
1.2) Deuxième jour : « fibres musculaires rapides »
a) - contraction 3s - repos 9s. Répéter dix fois en cherchant à serrer au maximum
la sonde et en contrôlant toujours scrupuleusement l'absence de participation des
fessiers, des abdominaux et de la bascule du bassin.
b) - repos complet pendant 30 s. Puis recommencer l'exercice a) puis b) pendant un
total de cinq minutes. Effectuer cet exercice matin et soir.
1.3) Troisième jour : « fibres musculaires lentes »
a) - contraction 6s - repos 6s. Répéter dix fois sans chercher à serrer à 50 % du
maximum et en contrôlant toujours scrupuleusement l'absence de participation des fessiers,
des abdominaux et de la bascule du bassin.
b) - repos complet pendant 30s. Puis recommencer a) puis b) pendant un total de cinq
minutes. Effectuer cet exercice matin et soir.
1.4) Continuer les exercices matin et soir en alternant les exercices « fibres rapides » et « fibres lentes » jusqu'à la fin
de la première semaine, c'est-à-dire :
- exercices « fibres rapides » les jours pairs, 2, 4, 6,
- exercices « fibres lentes » les jours impairs 3, 5, 7.
2) DEUXIEME SEMAINE :
[0037] Travail en position assise, détendue, dos soutenu, jambes allongées, une main sur
les abdominaux et l'autre sur la face latérale des fessiers pour contrôler leur non
participation. Le maintien de la contraction périnéale s'effectue en comptant à voix
haute afin d'éviter le blocage en apnée.
2.1) Premier, deuxième et troisième jours :
[0038] Reprendre les mêmes exercices et la même chronologie que les trois premiers jours
mais en position assise.
[0039] La position assise permet de faire varier à l'infini le poids de la sonde et de programmer
l'intensité de l'exercice. La modification de l'angle d'assise entre 0° et 90° permet
ainsi de faire varier le poids, donc l'efficacité du dispositif. La position la plus
facile est celle qui se rapproche de 0°, la plus difficile celle à 90°, car la contraction
périnéale est nécessaire pour vaincre le poids de la sonde.
2.2) Continuer les exercices en position assise matin et soir en alternant les exercices « fibres rapides » et « fibres lentes » jusqu'à la fin
de la semaine, c'est-à-dire :
[0040]
- exercices « fibres rapides » les jours pairs 2, 4, 6,
- exercices « fibres lentes » les jours impairs 3, 5, 7.
3) TROISIEME SEMAINE :
[0041] Travail en position debout, sonde en place dans le vagin. Le positionnement des mains
et le comptage à voix haute ne sont plus utiles, car la patiente sait maintenant se
contrôler et éviter les gestes parasites.
[0042] La forme de la sonde permet de l'utiliser avec des sous-vêtements donc pendant une
activité ménagère habituelle par exemple.
3.1) Premier jour : « apprentissage du verrouillage aux efforts brefs » sonde en place.
[0043]
a) - contraction périnéale - 1 toux avec maintien périnéal, position debout jambes
en position normale - repos 10s. Répéter dix fois l'exercice.
b) - repos complet pendant 30 s.
c) - contraction périnéale - 5 toux successives avec maintien périnéal, position debout
jambes en position normale - repos 20s. Répéter dix fois l'exercice.
d) - repos complet pendant 30 s.
e) - contraction périnéale - 1 toux avec maintien périnéal, position debout jambes
écartées - repos 10 s. Répéter dix fois l'exercice.
f) - repos complet pendant 30 s.
g) - contraction périnéale - 5 toux successives avec maintien périnéal, position debout
jambes écartées - repos 20 s. Répéter dix fois l'exercice.
3.2) Effectuer cet exercice matin et soir pendant sept jours.
4) QUATRIEME SEMAINE :
[0044] «
apprentissage du verrouillage aux efforts prolongés » sonde en place.
a) - contraction périnéale - 1 accroupissement avec maintien périnéal - repos 10 s.
Répéter dix fois l'exercice.
b) - repos complet pendant 30 s.
Effectuer l'exercice a) puis b) pendant un total de 10 minutes. Puis :
c) - contraction périnéale - 3 accroupissements successifs avec maintien périnéal
- repos 20 s. Répéter dix fois l'exercice.
[0045] Effectuer cet exercice matin et soir.
5) VINGT-NEUVIEME JOUR :
[0046] «
mise à l'épreuve de départ » : maintien de la sonde en ayant une activité habituelle pendant une demi-heure.
6) TRENTIEME JOUR :
[0047] «
mise à l'épreuve finale » : maintien de la sonde en ayant une activité habituelle pendant une demi-heure.
A ce stade, les exercices peuvent être réalisés en faisant le ménage, la vaisselle,
en passant l'aspirateur... La sonde, bloquée par le périnée, reste en place en montant
les escaliers, en position accroupie...
[0048] Le but est atteint à l'issue de la rééducation, qui vise à obtenir un blocage périnéal
en position debout sans effort. Un périnée rééduqué et efficace se contracte de façon
automatique en position debout lors de l'effort, ce qui permet la disparition des
fuites urinaires.
1. Sonde intra-vaginale d'auto-rééducation périnéale,
caractérisée en ce qu'elle est constituée par un élément (1) de révolution passif et de poids prédéterminé,
comprenant :
- une partie d'extrémité d'introduction arrondie (2), prolongée par,
- une partie cylindrique (3) définissant un corps principal, dont les dimensions correspondent
sensiblement à l'anneau formé par le système musculaire périnéal, et qui se prolonge
par,
- une première partie sensiblement tronconique (4), permettant d'obtenir le contrôle
de la résistance au poids de l'ensemble de l'élément (1), et qui se prolonge par,
- une seconde partie sensiblement tronconique (5), évasée dans une direction opposée
à ladite première partie tronconique (4), définissant avec celle-ci une zone centrale
concave de révolution (6), et qui se prolonge par,
- une partie externe formant un anneau permettant une préhension manuelle de l'élément
(1), et évitant la migration de ce dernier dans le vagin.
2. Sonde intra-vaginale selon la revendication 1, dans laquelle la partie d'introduction
(2) est en forme d'ogive dont l'extrémité est réalisée selon un rayon R1 compris entre 8 et 15 mm.
3. Sonde intra-vaginale selon la revendication 1, dans laquelle la partie cylindrique
(3) est d'un diamètre D1 d'environ 30 mm et d'une longueur L1 d'environ 35 mm.
4. Sonde intra-vaginale selon la revendication 1, dans laquelle ladite première partie
tronconique (4) a une grande base B dont le diamètre correspond à celui D1 de la partie cylindrique (3) de laquelle il est issu, une hauteur L3 d'environ 10 mm, et une petite base b d'environ 10 mm, coïncidant avec la petite
base b' de ladite seconde partie tronconique (5), dont la grande base B' est d'un
diamètre D2 d'environ 30 mm également, lesdites parties tronconiques 4, 5 définissant ladite
zone centrale concave (6) d'une hauteur L4 d'environ 10 mm.
5. Sonde intra-vaginale selon la revendication 1, dans laquelle l'anneau (7) formant
la partie externe est d'un diamètre D2, d'environ 30 mm, se confondant avec la grande base B' de ladite seconde partie tronconique
(5), et d'une épaisseur L6 d'environ 5 mm.
6. Sonde intra-vaginale selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, dans laquelle
l'élément (1) présente un poids compris entre 350 et 500 grammes.
7. Sonde intra-vaginale selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, dans laquelle
l'élément (1) est réalisé en métal traité contre l'oxydation et parfaitement lisse.
8. Sonde intra-vaginale selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, dans laquelle
l'anneau (7) formant la partie externe comporte un système de fixation à un contrepoids
permettant d'augmenter le travail.