(19)
(11) EP 1 207 509 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
22.05.2002  Bulletin  2002/21

(21) Numéro de dépôt: 01490035.1

(22) Date de dépôt:  19.09.2001
(51) Int. Cl.7G09F 3/03, G08B 13/24
(84) Etats contractants désignés:
AT BE CH CY DE DK ES FI FR GB GR IE IT LI LU MC NL PT SE TR
Etats d'extension désignés:
AL LT LV MK RO SI

(30) Priorité: 17.10.2000 FR 0013293

(71) Demandeur: Ibled, Stéphane
59910 Bondues (FR)

(72) Inventeur:
  • Ibled, Stéphane
    59910 Bondues (FR)

(74) Mandataire: Hénnion, Jean-Claude 
Société Civile Cabinet Ecrepont, 27bis rue du Vieux Faubourg
59800 Lille
59800 Lille (FR)

   


(54) Procédé de fabrication d'un dispositif de sécurité, et dispositif de sécurité obtenu


(57) L'invention se rapporte à un procédé de fabrication d'un dispositif de sécurité comprenant un corps (2) notamment en matériau plastique équipé d'un marqueur (3) de surveillance et un lien (4) coopérant avec le corps du dispositif pour former une boucle fermée.
Ce procédé est caractérisé en ce que, pendant qu'on extrude le corps (2), on y insère le marqueur (3).







Description


[0001] L'invention se rapporte à un procédé de fabrication d'un dispositif de sécurité.

[0002] Elle se rapporte également aux moyens pour la mise en oeuvre dudit procédé et au dispositif de sécurité obtenu.

[0003] Il est de plus en plus courant de fixer un dispositif de sécurité sur un textile ou sur l'une des chaussures d'une paire ou encore sur un article de valeur.

[0004] En effet, ces articles sont couramment volés et il est nécessaire d'y apporter un remède.

[0005] Un dispositif de sécurité est composé d'une pièce en matière plastique dans laquelle est logé un marqueur de surveillance, telle une lamelle métallique, qui en coopérant avec un dispositif de détection placé à l'entrée du magasin et à la sortie des caisses déclenche une alarme si le dispositif de sécurité n'a pas été retiré ou neutralisé par la caissière.

[0006] Pour que le marqueur de surveillance ou la lamelle métallique puisse être associée au dispositif, le dispositif est en deux parties, avec au moins l'une des parties présentant un logement de taille suffisante pour recevoir le dit marqueur de surveillance.

[0007] Les deux parties sont solidaires généralement par soudure.

[0008] Ce dispositif de sécurité est généralement fixé sur l'article à protéger à l'aide d'un clou verrouillé en translation sur le corps du dispositif à l'aide de billes coopérant avec une gorge présentée par le clou.

[0009] Un système généralement magnétique permet de déplacer la ou les billes et de détacher le dispositif de sécurité.

[0010] Outre ce dispositif de sécurité, il est connu, pour réunir deux articles tels que les deux chaussures d'une paire, de faire appel à un lien plastique pourvu à chaque extrémité d'un moyen de liaison telle une excroissance formant butée coopérant avec une cavité.

[0011] Du fait des contraintes de mise en place, la section du lien est réduite et donc le lien plastique est relativement fragile.

[0012] Il faut donc faire appel d'une part à ce lien pour associer les deux chaussures et d'autre part à un dispositif de sécurité monté sur l'une des chaussures.

[0013] Ces dispositifs de sécurité sont mis en place dans chaque magasin ce qui engendre un coût de manutention important.

[0014] Egalement, l'investissement en machine de déverrouillage est non négligeable.

[0015] On connaît une variante de ces dispositifs de sécurité (EP-A-962.910) suivant laquelle variante la pièce plastique se prolonge par un lien plastique qui, remplaçant le clou précité, est de section plus importante.

[0016] Une seule opération de moulage permet donc d'obtenir à la fois la pièce plastique et le lien.

[0017] Les articles ainsi sécurisés sont classiquement posés sur des étagères ou suspendus sur des cintres.

[0018] Ainsi classiquement ces dispositifs sont réalisés aux moyens de moules qui sont plus ou moins complexes à réaliser et donc engendre un coût de revient non négligeable.

[0019] Compte tenu du nombre de pièces à réaliser, il est nécessaire de disposer d'un grand nombre de moules d'où un coût augmenté.

[0020] Comme indiqué plus haut, en outre il faut une opération pour introduire le marqueur de surveillance et au moins une autre opération pour assembler les deux parties du boîtier.

[0021] L'invention a pour objectif de remédier aux inconvénients précités.

[0022] A cet effet, l'invention a pour objet un procédé de fabrication d'un dispositif de sécurité comprenant un corps en matériau plastique équipé d'un marqueur de surveillance sous forme d'un élément filiforme, ce procédé étant caractérisé en ce que pendant qu'on extrude le corps sous forme d'un profilé, on y insère le marqueur de surveillance puis on fractionne ledit profilé.

[0023] L'invention a également pour objet le dispositif de sécurité et les moyens pour la mise en oeuvre du dispositif de sécurité obtenu.

[0024] L'invention sera bien comprise à l'aide de la description ci-après faite à titre d'exemple non limitatif en regard du dessin qui représente schématiquement :
  • figure 1 : une vue de face et une coupe transversale d'un dispositif selon l'invention,
  • figure 2 : une coupe longitudinale du dispositif selon l'invention,
  • figure 3 : un profilé en cours de production,
  • figure 4 : un détail du dispositif,
  • figure 5 : une variante du dispositif,
  • figure 6 : une installation de production.


[0025] En se reportant au dessin, on voit un dispositif de sécurité.

[0026] Classiquement, ce dispositif 1 de sécurité comprend un corps 2 notamment en matériau plastique équipé d'un marqueur 3 de surveillance et un lien 4 coopérant avec le corps du dispositif pour former une boucle fermée.

[0027] Selon l'invention, on extrude le corps 2 du dispositif et au cours de cette opération d'extrusion, on introduit l'élément 3 marqueur tel un fil ou une lame métallique.

[0028] Ce fil métallique est donc mis en continu .

[0029] On peut introduire plusieurs fils à la fois par exemple disposé suivant les deux bords longitudinaux du corps.

[0030] Le ou les éléments marqueurs 3 sont ainsi noyés dans le corps 2 du dispositif .

[0031] Avantageusement lorsqu'il s'agit de lames métalliques 3, les lames 3 sont introduites avec des orientations différentes par exemple à 90° en sorte d'améliorer la détection.

[0032] Le fil métallique est alors quasi invisible au niveau des extrémités du corps.

[0033] Le profilé 100 provenant d'une extrudeuse 101 est ensuite sectionné progressivement pour constituer des corps 2 indépendants sur lesquels on pourra par la suite accrocher le lien 4.

[0034] Avantageusement, entre l'opération d'extrusion et l'opération de sectionnement du profilé 100 et donc entre les deux postes 102, 103 où ces opérations sont effectuées, on constitue une zone 104 dite d'accumulation pour passer ainsi d'un mode d'avance continue en sortie d'extrudeuse à un mode d'avance discontinue pour l'opération de sectionnement.

[0035] Par exemple on définit une zone tampon où le profilé peut prendre une courbe de rayon de courbure variable par exemple du seul fait de son propre poids.

[0036] On dispose donc alors entre l'extrudeuse et le poste de coupe d'un moyen dit d'accumulation 104.

[0037] Par exemple le profilé se déplace sans support inférieur. Au niveau du poste 103, pour permettre la découpe du profilé par des moyens de coupe se déplaçant de haut en bas et donc ayant un mouvement alternatif ce qui nécessite un arrêt momentanée de l'avance du profilé, on disposera au plus tard en amont des moyens 111 de coupe, des moyens 115 d'avance au pas de pèlerin qui constitueront des moyens de passage d'un mode d'avance continue à un mode d'avance discontinue.

[0038] Avantageusement lors de cette extrusion, on constitue des zones tubulaires 6 ou canaux 6 permettant ensuite d'y positionner les extrémités du lien 4.

[0039] Le lien 4 est avantageusement un lien métallique, notamment, un fil ressort.

[0040] Le lien 4 est, dans une forme de réalisation, conformé en U avec ses deux extrémités 4A recourbées vers l'arrière, l'angle Z formé entre la partie recourbée et la branche principale du U étant de l'ordre de 45°.

[0041] La longueur des branches du U du lien 4 n'est pas nécessairement identique.

[0042] Le lien peut être dans un plan ou dans plusieurs plans.

[0043] Le corps du dispositif présente donc au moins deux canaux 6 pour y engager les extrémités recourbées 4A du lien en U et les retenir.

[0044] De préférence les extrémités recourbées du lien sont acérées pour se verrouiller dans la matière dès la première traction de retrait.

[0045] En prévoyant un nombre de canaux 6 supérieur à deux, on obtient ainsi un choix de positionnement du lien ou de la distance entre les deux branches du U.

[0046] La figure 2 montre trois canaux mais le nombre peut varier.

[0047] Avantageusement, les deux canaux 6 comportent des butées 7 assurant que tout retrait des extrémités précitées après engagement est impossible.

[0048] On forme donc des butées 7 au niveau des canaux 6 par déplacement de matière au travers du corps 2.

[0049] Pour cela, par exemple, on utilise des moyens 105 d'appui localisés tels des pointes 105 venant en appui sur l'extérieur du corps du dispositif de sécurité et cela au niveau des canaux 6 tubulaires de sorte que l'on puisse fermer localement le tube.

[0050] Si la matière formant le corps est encore suffisamment plastique, une simple pression suffira, en cas contraire, les pointes seront chauffées.

[0051] Selon la position des moyens 105 d'appui localisé par rapport aux canaux et la dimension de ces moyens 105 d'appui, on ferme totalement les canaux ou on déplace la matière latéralement pour ne l'obturer que partiellement afin de laisser passer les extrémités recourbées du lien en acier ressort.

[0052] Avantageusement, c'est donc par fusion locale au travers de la paroi de ces parties tubulaires que l'on réalise des butées 7 pour le lien et/ou des butées 20 pour fermer l'une des extrémités de ces tubes (figure 2) opposée à celle recevant le lien.

[0053] Ces butées 20 empêche que le lien soit pousser au delà d'une certaine longueur dans les canaux qui traversent le corps du dispositif .

[0054] Cela interdit également d'introduire un outil pour plier les extrémités du lien 4 pour lui permettre d'être retiré.

[0055] Par matériau plastique on comprendra les matériaux qui permettent d'obtenir des produits finis par extrusion.

[0056] Ce lien permet d'attacher le dispositif à un objet mais également permet de réunir deux ou plusieurs objets tels que deux chaussures d'une paire de chaussures ou des articles vendues par lots.

[0057] Comme on peut le voir en figure 4 on a représenté une forme particulière de l'une des extrémités d'un lien.

[0058] La branche 106 principale du lien est donc recourbée à 180° avec un rayon de courbure très faible. La partie recourbée est dans une première partie 107 parallèle à la branche principale puis se termine par une partie 108 extrême sécante à l'axe de la branche principale, l'extrémité libre s'écartant de la branche principale 106.

[0059] Du fait du faible rayon de courbure et de la longueur de la partie recourbée, cela permet de passer le lien facilement dans un oeillet de chaussure sans devoir commencer par la partie acérée.

[0060] En effet lorsque l'on engage le lien par la partie arrondi dans un anneau étroit et lorsque l'on atteint la partie extrême 108 , la première partie 107 va venir se rapprocher de la branche principale 106 puis la croiser pour permettre le passage de la partie extrême 108.

[0061] S'agissant d'une déformation élastique, après passage de l'anneau, l'extrémité du lien reprend sa position initiale.

[0062] On a fait figurer en pointillé une des positions de la partie recourbée lors d'un passage dans un anneau.

[0063] Selon une autre caractéristique de ce dispositif de sécurité 1, le corps 2 est pourvu d'un moyen 5 d'accrochage pour être suspendu.

[0064] Le moyen d'accrochage se présente sous la forme d'un crochet 5 ou sous la forme d'une lumière 5.

[0065] La forme en crochet ou la forme de la lumière sera obtenue par découpe en sortie de l'extrudeuse.

[0066] Un emporte-pièce formera alors le moyen d'accrochage.

[0067] Le moyen d'accrochage 5 est situé à l'opposé de la boucle formée par le lien 4.

[0068] Comme indiqué plus haut, le corps 2 du dispositif résulte du sectionnement d'un profilé.

[0069] Celui-ci peut être réalisé par un outil 110 comportant deux lames 111 à écart fixe délimitant les deux extrémités du corps du dispositif qui, généralement, pour des questions d'esthétique seront courbes mais de préférence il est prévu de régler la distance entre les coupes de sorte que la longueur sera facilement modifiable.

[0070] Par exemple, les lames 111 sont portées par un seul outil de coupe lequel comporte des moyens 112 de réglage de la distance entre les lames.

[0071] Une autre solution consiste à monter sur le même actionneur la lame qui effectue la coupe de la partie arrière d'un corps et la lame qui effectue la coupe de la partie avant du corps suivant de sorte que le réglage de la longueur du corps se fait par réglage de l'avance du profilé.

[0072] L'actionneur peut également porter l'emporte pièce qui effectue la découpe du crochet ou de la lumière.

[0073] Du fait qu'il n'est plus possible de déverrouiller l'une des extrémités du lien par un système magnétique, le retrait du dispositif de l'article auquel il est associé ne peut se faire que par destruction dudit dispositif.

[0074] Une ligne de pré-découpe ou un évidement dans le corps du dispositif est prévu pour être découpé avec des ciseaux et/ou un objet coupant.

[0075] On prévoit donc la réalisation d'un canal 200 supplémentaire permettant cette découpe longitudinale.

[0076] Après avoir sectionné le corps, il est alors facile de rompre le lien en acier ressort en exerçant une succession de pliage-dépliage.

[0077] Le corps 2 est globalement parallélépipédique mais cette section n'est pas limitative.

[0078] L'une ou l'autre ou les deux faces A,B peuvent recevoir un moyen d'identification, telle une étiquette présentant un code barre ou le prix de vente ou la marque du produit.

[0079] L'avantage d'un tel dispositif, c'est qu'il n'apparaît pas nécessairement comme un système de sécurité mais comme un lien classique voire comme un simple moyen de suspension lorsqu'un crochet est prévu.

[0080] Le dispositif peut être mis en place dès la fabrication.

[0081] Il s'applique sur des produits dont il est nécessaire de retirer le dispositif pour son emploi ce qui évite tout risque du retour du dispositif en magasin.

[0082] Il est également d'un faible coût de production en raison du mode de production par extrusion et de sa chaîne de fabrication particulière.

[0083] Un avantage est également obtenu du fait que l'on ne peut pas séparer la lame métallique de sécurité du corps du dispositif car celle-ci est noyée dans la matière.

[0084] Le bord extrême du corps 2 situé en regard du lien pourra être conformé selon l'objet qu'il va entourer pour s'attacher avec sécurité sur le produit par exemple le goulot d'une bouteille.

[0085] L'objet sera ceinturé étroitement par le lien et le corps.

[0086] Le dispositif pourra servir de plaquette de présentation du produit.

[0087] Les moyens de l'installation comprennent donc une extrudeuse 101, un moyen 113 pour introduire, pendant l'extrusion, une ou plusieurs lames 6 métalliques faisant office de marqueur, par exemple, dans des plans différents.

[0088] Il s'agira par exemple d'un système d'approvisionnement de lames à partir de bobine.

[0089] On peut prévoir également que ce marqueur soit introduit sous la forme de lamelles individuelles.

[0090] Dans ce mode de réalisation particulier, le corps sera donc obtenu à partir du fractionnement d'un profilé dans lequel aura été introduit localement des lamelles lors de l'extrusion.

[0091] L'introduction du marqueur doit se faire pendant que la matière est suffisamment molle.

[0092] On a également représenté un poste 114 de pose d'étiquettes.

[0093] La pose de l'étiquette peut se faire à partir d'un rouleau placé en amont de l'outil de coupe.


Revendications

1. Procédé de fabrication d'un dispositif de sécurité comprenant un corps (2) en matériau plastique équipé d'au moins un marqueur (3) de surveillance,
   ce procédé étant caractérisé en ce que pendant qu'on extrude le corps (2)sous forme d'un profilé (100), on y insère le marqueur(3) de surveillance puis on fractionne ledit profilé(100) contenant le marqueur de surveillance.
 
2. Procédé selon la revendication 1 caractérisé en ce que lors de l'extrusion, on réalise des canaux tubulaires (6) pour ensuite y positionner les extrémités d'un lien (4).
 
3. Procédé selon la revendication 1 caractérisé en ce qu'on forme des butées (7,20) au niveau des canaux (6) par déplacement de matière au travers du corps.
 
4. Procédé selon la revendication 1 caractérisé en ce qu'entre l'opération d'extrusion et l'opération de sectionnement du profilé (100) extrudé et donc entre les deux postes où ces opérations sont effectuées, on constitue une zone d'accumulation (104) pour passer ainsi d'un mode d'avance continu en sortie d'extrudeuse à un mode d'avance discontinu.
 
5. Procédé selon la revendication 1 caractérisé en ce qu'on découpe le profilé pour former une lumière ou un crochet.
 
6. Procédé selon la revendication 1 caractérisé en ce qu'on règle la longueur de coupe du profilé en réglant l'avance dudit profilé.
 
7. Moyens pour la mise en oeuvre du procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 6 caractérisés en ce qu'ils comprennent une extrudeuse (101), un moyen (113) pour introduire, pendant l'extrusion, au moins une lame métallique ( 3) faisant office de marqueur et au moins une lame de coupe (111) pour le fractionnement du profilé (100).
 
8. Moyens selon la revendication 7 caractérisés en ce qu'ils comprennent des moyens d'appui (105) localisés venant en appui sur l'extérieur du corps du dispositif de sécurité pour déplacer la matière au niveau des canaux tubulaires (6).
 
9. Moyens selon la revendication 7 caractérisés en ce qu'ils comprennent entre l'extrudeuse (101)et la lame de coupe (111), des moyens d'accumulation (104).
 
10. Moyens selon la revendication 7 caractérisés en ce qu'ils comprennent deux lames (111)de coupe portées par un seul outil (110).
 
11. Moyens selon la revendication 6 ou 8 caractérisé en ce qu'ils comprennent un moyen (115) pour passer d'un mode d'avance continu en sortie d'extrudeuse à un mode d'avance discontinu.
 
12. Dispositif de sécurité obtenu selon l'une quelconque des revendications 1 à 6 caractérisé en ce que le ou les éléments (3) marqueurs sont noyés dans le corps (2) du dispositif lequel dispositif est obtenu par fractionnement d'un profilé(100).
 
13. Dispositif de sécurité comportant un lien (4) selon la revendication 11 caractérisé en ce que le lien (4) est conformé en U avec ses deux extrémités (4A) recourbées vers l'arrière, l'angle formé entre la partie recourbée et la branche principale du U étant de l'ordre de 45°.
 
14. Dispositif de sécurité selon la revendication 13 caractérisé en ce que les extrémités du lien (4) sont acérés.
 
15. Dispositif de sécurité selon la revendication 13 caractérisé en ce que le corps du dispositif est traversé longitudinalement par des canaux (6).
 
16. Dispositif de sécurité selon la revendication 15 caractérisé en ce que les canaux comportent des butées (7,20).
 
17. Dispositif de sécurité selon la revendication 13 caractérisé en ce que le corps du dispositif présente un canal supplémentaire (200) pour une découpe longitudinale.
 
18. Dispositif de sécurité selon l'une quelconque des revendications 12 à 17 caractérisé en ce qu'il présente un moyen 5 d'accrochage.
 




Dessins



















Rapport de recherche