(19)
(11) EP 1 234 908 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
28.08.2002  Bulletin  2002/35

(21) Numéro de dépôt: 01400442.8

(22) Date de dépôt:  02.03.2001
(51) Int. Cl.7D06F 67/08
(84) Etats contractants désignés:
AT BE CH CY DE DK ES FI FR GB GR IE IT LI LU MC NL PT SE TR
Etats d'extension désignés:
AL LT LV MK RO SI

(30) Priorité: 23.02.2001 FR 0002232

(71) Demandeur: Electrolux Systèmes de Blanchisserie
10430 Rosières (FR)

(72) Inventeur:
  • Grandpierre, Cyril Marc Michel
    10000 Troyes (FR)

(74) Mandataire: Poulin, Gérard 
BREVALEX 3, rue du Docteur Lancereaux
75008 Paris
75008 Paris (FR)

   


(54) Sécheuse-repasseuse à cuvette de repassage chauffante et fluide caloporteur


(57) Dans une sécheuse repasseuse à cuvette chauffante (10), on réalise la cuvette de façon à définir, entre deux parois parallèles (18, 22), une chambre fermée (26) contenant un fluide caloporteur. Le fluide est mis en mouvement par un système de brassage intégré à la cuvette, de façon à assurer l'établissement d'une température uniforme sur toute la longueur de celle-ci.




Description

Domaine technique



[0001] L'invention concerne une sécheuse-repasseuse dans laquelle le linge est repassé entre une cuvette de repassage chauffante et un rouleau tournant.

[0002] La sécheuse-repasseuse selon l'invention peut être utilisée dans tous les cas où des quantités relativement importantes de linge doivent être repassées fréquemment. Ainsi et uniquement à titre d'exemple, une telle machine peut être utilisée dans les établissements hospitaliers, les maisons de retraite, les pensions, les hôtels, les restaurants, etc..

Etat de la technique



[0003] Dans les sécheuses-repasseuses à cuvette, le repassage du linge est effectué entre une cuvette de repassage métallique, en forme de secteur cylindrique d'axe généralement horizontal, et un rouleau presseur, recouvert de feutrine, dont l'axe est confondu avec celui de la cuvette et dont la partie inférieure est en appui sur ladite cuvette. Lorsque la machine est en fonctionnement, le rouleau presseur est entraîné en rotation autour de son axe. Par conséquent, les pièces de linge à repasser introduites entre la cuvette et le rouleau, d'un côté de la machine, ressortent de l'autre côté.

[0004] Pour que le repassage du linge s'effectue dans les meilleures conditions possibles, la cuvette de repassage est dotée de moyens de chauffage. Selon les machines, ces moyens de chauffage peuvent être soit totalement intégrés à la machine, soit placés à l'extérieur de celle-ci.

[0005] Lorsque les moyens de chauffage de la cuvette de repassage sont intégrés à la sécheuse-repasseuse, ils peuvent être de différents types, selon les machines. Ainsi, ces moyens de chauffage peuvent notamment être constitués par des rampes à gaz, des résistances électriques, des dispositifs de chauffage infrarouge, etc..

[0006] Les machines de ce type présentent l'avantage d'être simples et peu coûteuses et de présenter un excellent rendement.

[0007] En revanche, elles ont pour inconvénient que la cuvette est chauffée de manière uniforme sur toute sa longueur, quelles que soient les zones où les pièces de linge sont introduites lors du repassage. Par conséquent, après le repassage d'une pièce de linge dans une zone donnée de la cuvette de repassage, cette zone se trouve à une température inférieure à la valeur requise pour le repassage, alors que les autres zones de la cuvette, qui continuent à être chauffées, se trouvent au contraire à une température supérieure à cette valeur. Par conséquent, la pièce de linge suivante sera mal repassée si elle est introduite dans la même zone que la précédente ou brûlée si elle est introduite dans une zone différente. En effet, le gradient thermique s'accroît encore si plusieurs pièces de linge sont introduites successivement sensiblement dans la même zone.

[0008] Les sécheuses-repasseuses dans lesquelles la cuvette de repassage est chauffée par des moyens situés à l'extérieur de la machine utilisent un fluide caloporteur. Ce fluide caloporteur est chauffé dans une chaudière située à l'extérieur de la machine, avant d'être acheminé dans la cuvette par une pompe également placée à l'extérieur de la machine.

[0009] A l'inverse des sécheuses-repasseuses dans lesquelles les moyens de chauffage de la cuvette sont intégrés dans la machine, les sécheuses-repasseuses à fluide caloporteur permettent d'assurer une bonne répartition de la chaleur sur toute la longueur de la cuvette, quelles que soient les zones dans lesquelles sont introduites les pièces de linge.

[0010] En revanche, ces machines ont pour inconvénients de nécessiter des installations extérieures lourdes, coûteuses et complexes.

[0011] Lorsque plusieurs sécheuses-repasseuses sont placées dans un même bâtiment, ces inconvénients conduisent parfois les utilisateurs à alimenter simultanément ces machines en fluide caloporteur à partir d'un circuit unique intégrant une seule chaudière et une seule pompe. Toutefois, de telles installations ne sont possible que lorsqu'on utilise simultanément plusieurs sécheuses-repasseuses et elles restent plus coûteuses et plus complexes que les installations utilisant des machines à chauffage intégré.

Exposé de l'invention



[0012] L'invention a précisément pour objet une sécheuse-repasseuse à cuvette chauffante, dont la conception originale lui permet de bénéficier à la fois des avantages de coût et de rendement propres aux machines à chauffage intégré et des avantages de répartition uniforme de la chaleur sur toute la longueur de la cuvette des machines utilisant un chauffage par fluide caloporteur.

[0013] Conformément à l'invention, ce résultat est obtenu au moyen d'une sécheuse-repasseuse comprenant une cuvette de repassage en forme de secteur cylindrique pourvue d'une paroi intérieure apte à venir en contact avec du linge à repasser, et des moyens de chauffage de ladite paroi, caractérisée en ce que la cuvette comprend de plus une paroi extérieure doublant extérieurement, à distance, la paroi intérieure à proximité immédiate des moyens de chauffage, de façon à délimiter avec ladite paroi intérieure une chambre fermée remplie d'un fluide caloporteur apte à transmettre à la paroi intérieure la chaleur produite par les moyens de chauffage, et des moyens de brassage aptes à créer une circulation du fluide caloporteur à l'intérieur de ladite chambre.

[0014] La machine selon l'invention présente des moyens de chauffage intégrés. Elle bénéficie ainsi des avantages économiques et de l'excellent rendement propres à ce type de machine.

[0015] Par ailleurs, l'utilisation d'un fluide caloporteur mis en circulation par des moyens de brassage également intégrés à la machine permet d'assurer une répartition efficace de la chaleur sur toute la longueur de la cuvette de repassage, comme dans les machines utilisant une chaudière extérieure.

[0016] Dans un mode de réalisation préféré de l'invention, les moyens de brassage comprennent des cloisons disposées en chicane dans la chambre fermée, pour délimiter entre les parois intérieure et extérieure un trajet en va-et-vient sensiblement parallèle à un axe du secteur cylindrique formé par la cuvette. Les moyens de brassage comprennent également des moyens d'entraînement tels qu'une pompe pour faire circuler le fluide caloporteur selon ce trajet.

[0017] Les moyens de chauffage, qui peuvent prendre une forme quelconque comme dans les machines à chauffage intégré existantes, sont avantageusement placés à l'extérieur de la chambre fermée.

[0018] Par ailleurs, la paroi intérieure de la cuvette est avantageusement réalisée en acier inoxydable et la paroi extérieure en acier ordinaire.

Brève description des dessins



[0019] On décrira à présent, à titre d'exemple non limitatif, un mode de réalisation préféré de l'invention, en se référant aux dessins annexés, dans lesquels :
  • la figure 1 est une vue en coupe transversale qui représente très schématiquement une sécheuse-repasseuse conforme à l'invention ;
  • la figure 2 est une vue en coupe transversale, représentant schématiquement à plus grande échelle, la cuvette de repassage de la machine de la figure 1 et les moyens de chauffage associés ; et
  • la figure 3 est une vue en perspective, avec arrachement partiel, représentant la cuvette de repassage.

Description détaillée d'un mode de réalisation préféré



[0020] Comme l'illustre très schématiquement la figure 1, la sécheuse-repasseuse selon l'invention comprend principalement une cuvette de repassage 10 et un rouleau 12 recouvert de feutrine. Ce type de machine est bien connu de l'homme du métier, de sorte que seules les caractéristiques nécessaires à une bonne compréhension de l'invention seront décrites.

[0021] La cuvette de repassage 10 est montée sur un châssis fixe (non représenté). Elle est réalisée en un métal tel que de l'acier inoxydable et présente, conformément à l'invention, une structure particulière qui sera décrite ultérieurement. De façon générale, la cuvette de repassage 10 présente la forme d'un secteur cylindrique dont l'axe 14 est sensiblement horizontal et dont la partie en creux est tournée vers le haut.

[0022] Le rouleau 12 se présente sous la forme d'un cylindre creux dont la surface périphérique extérieure est recouverte de feutrine. Le rouleau 12 est monté coaxialement à la cuvette 10. Il est supporté par le châssis de la machine, de façon à pouvoir tourner autour de l'axe 14. Un motoréducteur (non représenté) permet d'entraîner le rouleau 12 en rotation autour de son axe 14 dans le sens des flèches sur la figure 1. En outre, des moyens élastiques (non représentés), interposés entre le châssis et la cuvette 10, appliquent cette dernière contre la partie basse du cylindre 12.

[0023] Dans les sécheuses-repasseuses de ce type, les pièces de linge à repasser sont introduites l'une après l'autre d'un côté de la machine (à gauche sur la figure 1) entre la cuvette 10 et le rouleau 12. Chaque pièce de linge sort repassée de la machine du côté opposé (à droite sur la figure 1).

[0024] Comme on l'a représenté schématiquement sur la figure 1, la sécheuse-repasseuse selon l'invention comprend également des moyens de chauffage 16 de la cuvette de repassage 10, intégrés à la machine. Ces moyens de chauffage 16 peuvent être constitués par tout moyen de chauffage utilisé habituellement sur les sécheuses-repasseuses à cuvette à chauffage intégré. Ainsi, et uniquement à titre d'exemple, il peut s'agir de rampes à gaz, de résistances électriques, de dispositifs infrarouge, etc..

[0025] Comme l'illustre plus en détails la figure 2, la cuvette de repassage 10 comprend, conformément à l'invention, deux parois parallèles, distantes l'une de l'autre de façon à délimiter entre elles une chambre fermée d'épaisseur sensiblement uniforme.

[0026] De façon plus précise, la cuvette 10 comprend une paroi intérieure 18, en forme de secteur cylindrique, réalisée de préférence en acier inoxydable. La surface intérieure 20 de la paroi intérieure 18 est une surface lisse qui vient directement en contact avec le linge à repasser. Cette paroi 18 est, de préférence, relativement mince. A titre d'illustration nullement limitative, la paroi intérieure 18 peut présenter une épaisseur comprise entre 1,5 mm et 2 mm, selon la taille de la machine.

[0027] La cuvette de repassage 10 comprend également une paroi extérieure 22 qui double la paroi intérieure 18, du côté de sa face inférieure convexe, à distance de celle-ci. La distance sensiblement uniforme séparant les parois 18 et 22 peut être, par exemple, d'environ 5 mm. La paroi extérieure 22 est réalisée en un métal tel que de l'acier ordinaire. Elle est sensiblement plus épaisse que la paroi intérieure 18. Ainsi, l'épaisseur de la paroi extérieure varie, par exemple, entre 4 mm et 6 mm selon la taille de la machine.

[0028] La paroi intérieure 18 est fixée sur la face supérieure de la paroi extérieure 2 par l'intermédiaire de deux cales rectilignes 24a disposées le long des bords longitudinaux des deux parois et de deux cales en arc de cercle 24b (figure 3) disposées le long des bords arqués des deux parois. Les cales 24a et 24b peuvent notamment être soudées sur la face supérieure de la paroi extérieure 22, après quoi les bords de la paroi intérieure 18 sont eux-mêmes soudés sur les cales 24a, 24b.

[0029] On délimite ainsi entre les parois 18 et 22 une chambre fermée 26, étanche vis-à-vis de l'extérieur. Cette chambre 26 est remplie au moins en partie d'un fluide caloporteur. Ce fluide caloporteur peut être constitué par tout fluide utilisé habituellement dans les sécheuses-repasseuses dont la cuvette est chauffée par un fluide caloporteur. Ce fluide est, par exemple et de façon non limitative, un liquide tel que de l'huile. Pour tenir compte des dilatations thermiques du fluide caloporteur contenu dans la chambre 26, celle-ci peut être mise en communication avec un vase d'expansion (non représenté) également intégré à la machine.

[0030] Comme l'illustre schématiquement la figure 2, les moyens de chauffage 16 sont placés à l'extérieur de la cuvette 10, en dessous de celle-ci et à proximité immédiate de la paroi 22. Les moyens de chauffage 16 chauffent donc directement la paroi extérieure épaisse 22 de la cuvette. La chaleur est ensuite transmise à la paroi intérieure mince 18 par le fluide caloporteur contenu dans la chambre 26.

[0031] Pour que la chaleur soit uniformément répartie sur la face intérieure 20 de la paroi 18, lors du repassage, la sécheuse-repasseuse conforme à l'invention comprend, en outre, des moyens de brassage également intégrés à la machine. Ces moyens de brassage sont agencés de façon à créer une circulation du fluide caloporteur à l'intérieur de la chambre 26, à la fois parallèlement à l'axe 14 de la cuvette, afin d'homogénéiser la température, et entre les parois 22 et 18, afin de transmettre à la paroi intérieure 18 la chaleur dégagée par les moyens de chauffage 16. Un mode de réalisation des moyens de brassage va à présent être décrit à titre d'exemple en se référant à la figure 3.

[0032] Sur cette figure, on voit que les moyens de brassage comprennent à la fois des cloisons disposées dans la chambre 26 et des moyens d'entraînement 30, tels qu'une pompe, pour faire circuler le fluide caloporteur selon un trajet délimité par les cloisons.

[0033] De façon plus précise, les cloisons précitées comprennent une cloison en arc de cercle 28a, qui s'étend à proximité de l'une des cales en arc de cercle 24b, parallèlement à celle-ci, de façon à délimiter avec celle-ci un canal 32 en arc de cercle. Ce canal 32 est divisé en deux parties de même longueur par une cloison 28b, orientée parallèlement à l'axe 14 du secteur cylindrique formé par la cuvette. Les cloisons précitées comprennent de plus une série de cloisons rectilignes 28c, orientées parallèlement les unes aux autres selon l'axe 14 du secteur cylindrique formé par la cuvette. Ces cloisons rectilignes 28c sont régulièrement réparties entre les deux cales rectilignes 24a, de façon à délimiter entre elles, et avec ces dernières, des canaux rectilignes 34. Une sur deux des cloisons rectilignes 28c est raccordée à la cloison en arc de cercle 28a et interrompue à une certaine distance de la cale en arc de cercle 24b la plus éloignée de cette cloison 28a. Les autres cloisons rectilignes 28c sont raccordées à cette dernière cale en arc de cercle 24b et interrompues à une certaine distance de la cloison en arc de cercle 28a. En outre, parmi les cloisons rectilignes 28c raccordées à la cloison en arc de cercle 28a, on trouve les deux cloisons 28c les plus proches des cales rectilignes 24a, et la cloison en arc de cercle 28a est interrompue entre ces deux cloisons 28c et les cales 24a. Par conséquent, les deux parties du canal en arc de cercle 32 séparées par la cloison 28b communiquent respectivement avec les deux canaux rectilignes 34 adjacents aux cales rectilignes 24a.

[0034] On délimite ainsi, entre les parois 18 et 22, un trajet en va-et-vient orienté parallèlement à l'axe 14 du secteur cylindrique formé par la cuvette.

[0035] La pompe 30 est reliée à chacune des deux parties du canal 32, de part et d'autre de la cloison 28b, respectivement par une tuyauterie d'aspiration 36 et une tuyauterie de refoulement 38.

[0036] Lorsque la pompe 30 est actionnée, une circulation du fluide hydraulique est ainsi engendrée dans la chambre 26, selon le trajet illustré par des flèches sur la figure 3. Ce trajet, délimité par les cloisons 28a, 28b et 28c, se caractérise principalement par un mouvement de va-et-vient du fluide parallèlement à l'axe 14 du secteur cylindrique formé par la cuvette 10, pratiquement sur toute la longueur de celle-ci.

[0037] Il est à noter que les cloisons 28a, 28b et 28c présentent une hauteur de préférence sensiblement égale à celle des cales 24a, 24b, c'est-à-dire sensiblement égale à l'épaisseur de la chambre 26. Cet agencement permet d'éviter toute circulation du fluide caloporteur autre que celle imposée par les cloisons. Cet agencement permet aussi aux cloisons 28a, 28b et 28c de servir d'appui à la paroi intérieure 18, relativement mince. La géométrie cylindrique de la surface intérieure 20 de la paroi 18 est ainsi préservée en dépit de l'épaisseur relativement faible de cette paroi.

[0038] Grâce aux caractéristiques qui viennent d'être décrites, la sécheuse-repasseuse conforme à l'invention permet de garantir une excellente qualité de repasseuse du fait que la chaleur est uniformément répartie sur toute la surface de la cuvette par le fluide caloporteur en mouvement.

[0039] De plus, la machine conforme à l'invention est une machine simple et de coût relativement limité, du fait qu'elle ne nécessite pas l'utilisation d'une chaudière extérieure.

[0040] Bien entendu, l'invention n'est pas limitée au mode de réalisation qui vient d'être décrit à titre d'exemple. Ainsi, les moyens de brassage permettant de mettre en circulation le fluide de refroidissement dans la chambre 26 peuvent être différents des moyens décrits. Il en est de même des épaisseurs relatives des deux parois de la cuvette et des moyens pour relier ces parois l'une à l'autre en délimitant entre elles une chambre fermée. On peut notamment envisager que les cloisons soient réalisées dans une tôle mince, emboutie, placée entre les cloisons 18 et 22.


Revendications

1. Sécheuse-repasseuse comprenant une cuvette de repassage (10) en forme de secteur cylindrique pourvue d'une paroi intérieure (18) apte à venir en contact avec du linge à repasser, et des moyens de chauffage (16) de ladite paroi, caractérisée en ce que la cuvette (10) comprend de plus une paroi extérieure (22) doublant extérieurement, à distance, la paroi intérieure (18) à proximité immédiate des moyens de chauffage (16), de façon à délimiter avec ladite paroi intérieure (18) une chambre fermée (26) remplie d'un fluide caloporteur apte à transmettre à la paroi intérieure (18) la chaleur produite par les moyens de chauffage (16), et des moyens de brassage (28a, 28b, 28c, 30) aptes à créer une circulation du fluide caloporteur à l'intérieur de ladite chambre (26).
 
2. Sécheuse-repasseuse selon la revendication 1, dans laquelle les moyens de brassage comprennent des cloisons (28a, 28b, 28c) disposées en chicane dans la chambre fermée (26), pour délimiter entre les parois intérieure (18) et extérieure (22) un trajet en va-et-vient sensiblement parallèle à un axe (14) dudit secteur cylindrique, et des moyens d'entraînement (30) pour faire circuler le fluide caloporteur selon ledit trajet.
 
3. Sécheuse-repasseuse selon la revendication 2, dans laquelle les cloisons (28a, 28b, 28c) ont une hauteur sensiblement égale à l'épaisseur de la chambre fermée (26), de façon à servir d'appui à la paroi intérieure (18).
 
4. Sécheuse-repasseuse selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans laquelle les moyens de chauffage (16) sont placés à l'extérieur de la chambre fermée (26).
 
5. Sécheuse-repasseuse selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans laquelle la paroi intérieure (18) est réalisée en acier inoxydable et la paroi extérieure (22) en acier ordinaire.
 




Dessins










Rapport de recherche