Dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes, notamment d'ascenseur

Abstract

 L'invention concerne un dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes, d'ascenseur notamment, comprenant :

• un premier ensemble de connexion solidarisé à la gâche de ladite porte, comportant deux lames conductrices (2, 3) reliées chacune à un fil électrique (8, 9) d'un câble secteur (7), lui-même relié à l'organe d'activation de l'ascenseur ;
• un second ensemble de connexion complémentaire du premier, solidarisé au pêne de la porte, et destiné à fermer le circuit électrique du premier ensemble de connexion afin de générer un signal autorisant ou au contraire interdisant l'activation de l'ascenseur ;

caractérisé en ce que ledit premier ensemble de connexion comprend :

• une partie standard (1), constituée par les deux lames conductrices (2, 3), dont le voisinage de l'une des extrémités est surmoulée (4) dans un matériau non conducteur, de telle sorte à constituer un bloc monolithique standard, l'extrémité libre desdites lames situées au voisinage du surmoulage étant connectée aux fils électriques (8, 9) du câble secteur (7) ;
• un support protecteur (12, 13) non conducteur de l'électricité, destiné à assurer le positionnement sur la gâche de la porte de ladite partie standard.

Description

[0001] L'invention concerne un dispositif de connexion destiné à être mis en oeuvre au niveau d'un mécanisme de fermeture de portes d'ascenseur notamment.

[0002] Les normes de plus en plus drastique relatives au fonctionnement des ascenseurs, imposent notamment la mise en place de dispositifs de sécurité, propres à s'assurer de la fermeture correcte des portes au niveau des différents étages, préalablement au fonctionnement et notamment à la progression effective de l'ascenseur.

[0003] En effet, outre la fermeture mécanique de la porte, ces normes requièrent dorénavant la genèse d'un signal électrique, acheminé au niveau de l'unité centrale de gestion gérant le fonctionnement effectif de l'ascenseur, et notamment la motorisation assurant sa progression au niveau des différents étages.

[0004] Ce signal électrique est généré par un circuit électrique, solidarisé à la gâche de la porte de l'étage considéré, et susceptible d'être fermé par un circuit électrique complémentaire, associé au pêne de ladite porte.

[0005] Ainsi, lorsque la porte est correctement fermée, le circuit électrique du pêne, typiquement constitué d'un shunt vient fermer le circuit électrique associé à la gâche de la porte, et générant de par cette fermeture un signal électrique propre à autoriser le fonctionnement effectif de l'ascenseur.

[0006] Parmi les différents types de connecteurs de sécurité ainsi mis en oeuvre, on connaît un dispositif constitué d'un capot isolant, auquel aboutit le câble de connexion à l'unité centrale de gestion de l'ascenseur, et intégrant deux lames métalliques conductrices rigides et pré-pliées, constituant le circuit électrique précité. Ces deux lames sont solidarisées au support non conducteur par emboîtage, la connexion électrique avec les fils électriques dudit câble précité étant assuré par vissage.

[0007] Le capot comporte en outre des picots dirigés vers l'intérieur du volume qu'il définit, propres à assurer le positionnement correct en termes de côte desdites lames, en vue de leur coopération avec le shunt, typiquement constitué d'une prise associée au pêne de la porte.

[0008] Afin de permettre la fermeture efficace du circuit, c'est à dire la coopération du shunt avec l'extrémité libre des deux lames, le capot supérieur du support présente deux orifices oblongs, permettant le passage effectif de celui-ci.

[0009] Si certes, ce connecteur de sécurité assure de manière satisfaisante la fonction qui lui est dévolue, il s'avère cependant coûteux à réaliser, compte tenu de la multiplicité des pièces qui le constituent, et engendre en outre une technique d'assemblage longue à mettre en oeuvre, compte-tenu notamment des moyens de fixation des lames au sein du support, et des moyens de connexion des fils électriques auxdites lames.

[0010] L'objet de la présente invention est de proposer un connecteur de sécurité du type en question, à la fois simple à réaliser et a mettre en oeuvre, de telle sorte à baisser de manière drastique les coûts de revient.

[0011] Un autre objet de la présente invention est de permettre l'adaptation de ce connecteur de sécurité à tout type d'environnement, lui conférant de fait un caractère modulaire.

[0012] Ce dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes d'ascenseur notamment, comprend :

• un premier ensemble de connexion solidarisé à la gâche de ladite porte comportant deux lames conductrices reliées chacune à un fil électrique d'un câble secteur, lui-même relié à l'organe d'activation de l'ascenseur ;
• un second ensemble de connexion complémentaire du premier, solidarisé au pêne de la porte, et destiné à fermer le circuit électrique du premier ensemble de connexion afin de générer un signal autorisant ou au contraire interdisant l'activation de l'ascenseur.

[0013] Il se caractérise en ce que ledit premier ensemble de connexion comprend :

• une partie standard, constituée par les deux lames conductrices, dont le voisinage de l'une des extrémités est surmoulée dans un matériau non conducteur, de telle sorte à constituer un bloc monolithique standard, l'extrémité libre desdites lames situées au voisinage du surmoulage étant connectée aux fils électriques du câble secteur ;
• un support protecteur non conducteur de l'électricité, destiné à assurer le positionnement sur la gâche de la porte de ladite partie standard.

[0014] En d'autres termes, l'invention consiste tout d'abord à réaliser un bloc standard, constitutif du circuit électrique proprement dit, associé à un dispositif de connexion, mettant en oeuvre la technique du surmoulage, et à associer à celui-ci un capot ou support de protection et de positionnement sur la gâche de la porte de l'ascenseur considéré.

[0015] Selon l'invention, le surmoulage assure également la tenue du câble secteur, relié à l'organe d'activation de l'ascenseur

[0016] Selon l'invention, le support est constitué de deux parties complémentaires, assurant outre le maintien du câble secteur, également la fixation de la partie standard selon une configuration propre à assurer le contact effectif du shunt lors de sa mise en place, et le positionnement de l'extrémité libre desdites lames selon les côtes déterminées de fonctionnement.

[0017] Avantageusement, la partie standard est munie d'orifices de fixation additionnels sur l'une des parties du capot ou socle.

[0018] La manière dont l'invention peut être réalisée et les avantages qui en découlent ressortiront mieux de l'exemple de réalisation qui suit donné à titre indicatif et non limitatif à l'appui des figures annexées.

[0019] La figure 1 est une représentation schématique en perspective du dispositif de connexion conforme à l'invention.

[0020] La figure 2 est une représentation schématique en perspective illustrant la partie standard reliée au câble secteur.

[0021] La figure 3 est une représentation schématique en section représentant le connecteur conforme à l'invention.

[0022] La figure 4 est une représentation schématique en section illustrant le positionnement des lames de la partie standard au sein du support.

[0023] La figure 5 est une représentation schématique en section de l'une des deux lames constitutives de la partie standard, conformément à une forme particulière de réalisation de l'invention.

[0024] Les figures 6, 7 et 8 sont des représentations schématiques vue de face, des lames conformes à d'autres formes de réalisation de l'invention. On a donc représenté schématiquement en relation avec la figure 1, une partie du dispositif de connexion conforme à la présente invention.

[0025] La figure 9 est une représentation schématique vue du dessus d'une autre forme de réalisation de l'invention, dont la figure 10 est une vue en section.

[0026] Il est rappelé à cet égard que si l'exemple qui suit est plus particulièrement décrit en relation avec un dispositif de sécurité pour portes d'ascenseur, il est bien entendu qu'il est susceptible d'être applicable à tout dispositif de sécurité propre à s'assurer la fermeture correcte d'une porte, quelle qu'elle soit.

[0027] Selon une première caractéristique fondamentale de l'invention, le dispositif de connexion et de sécurité comprend tout d'abord une partie standard (1) intégrant un circuit électrique constitué de deux lames conductrices métalliques (2) et (3), dont l'une des extrémités libres est connectée à un fil électrique conducteur, respectivement (8) et (9), acheminé à ce niveau par le câble secteur (7).

[0028] Ce câble secteur transmet l'information du circuit ainsi réalisé, à une unité centrale de gestion assurant le fonctionnement de l'installation considéré, notamment dans l'exemple décrit, le fonctionnement du ou des moteurs d'activation et de progression de l'ascenseur.

[0029] Ces deux lames conductrices (2) et (3) son identiques. Elles sont rigides et présentent une pliure, typiquement de l'ordre de 15°, de telle sorte à s'étendre selon deux directions concourantes, ainsi qu'on peut bien l'observer sur les figures 1 à 4.

[0030] L'extrémité libre desdites lames (2) et (3), opposée à leur extrémité assurant la connexion aux fils conducteurs (8) et (9), est munie d'une pastille ou rivet (25), par exemple du type bi-métallique, optimisant la qualité de la conduction électrique à ce niveau, lors de la fermeture de la porte par le shunt, comme décrit précédemment.

[0031] Selon une caractéristique de l'invention, ces deux lames sont surmoulées au voisinage de l'extrémité reliée au fil conducteur (8) et (9), par la technique du surmoulage bien connue, de sorte qu'il n'y a pas lieu de la décrire ici en détail.

[0032] Ce surmoulage assure également le maintien de la gaine du câble secteur (7) à ce niveau.

[0033] Le matériau mis en oeuvre pour le surmoulage est typiquement du polyamide. Ce faisant, on isole les deux lames l'une de l'autre, et corollairement on assure leur positionnement précis, et en l'espèce parallèlement l'une à l'autre. Plus spécifiquement, ce surmoulage permet d'assurer l'isolation électrique d'une lame par rapport à l'autre, mais également leur positionnement géométrique respectif, au sein du dispositif de connexion. Seule une partie des lames respectives (2) et (3) émerge à l'extérieur du surmoulage pour permettre leur connexion effective aux fils conducteurs (8) et (9).

[0034] Selon une caractéristique avantageuse de l'invention, le bloc de surmoulage (4) ainsi réalisé peut présenter un orifice de positionnement (6) au niveau du socle (13) et du capot (12) constituant le support non conducteur du dispositif, pour permettre le positionnement précis de la partie standard ainsi réalisée, en vue notamment de la bonne coopération entre l'extrémité libre desdites lames (2) et (3) et le shunt de fermeture du circuit électrique ainsi constitué.

[0035] En outre, le bloc (4) peut également présenter des trous oblongs (5) de part et d'autre, assurant le cas échéant une zone de passage pour un moyen de fixation additionnel de type vis.

[0036] Cette partie standard (1) est destinée à être reçue dans le support précité, comprenant donc une coque protectrice représentée plus en détail en relation avec la figure 2.

[0037] Celle-ci comprend typiquement deux parties (12) et (13), susceptibles de venir s'emboîter ou s'encliqueter l'une dans l'autre, notamment au moyen d'organes d'encliquetage (15) et (16), voire au moyen d'éléments additionnels non représentés.

[0038] Le bloc de surmoulage (4) proprement dit, est positionné au sein de l'ensemble coque + capot, au moyen de différentes saillies (17), et le cas échéant, au moyen d'un ergot de positionnement, respectivement (23) et (24) venant traverser l'orifice (6) décrit précédemment.

[0039] Cette coque est également munie d'une cloison transversale, respectivement (20) et (21), destinée à assurer la séparation effective des deux lames, et notamment leur cloisonnement, pour diminuer sinon limiter la formation de l'arc électrique susceptible de se constituer lors de la fermeture du circuit électrique constitué par les lames par le shunt associé au pêne de la porte considérée.

[0040] Outre sa fonction d'isolation, cette coque protectrice assure également, en coopértion avec le surmoulage, le maintien du câble secteur (7), par le biais d'orifices et de saillies appropriées référencés (14) sur la figure 2. Il permet également le passage du fil de terre contenu dans le conducteur (7) et destiné à être relié électriquement à la gâche.

[0041] La forme de cette coque protectrice peut être diverse, fonction de l'environnement au niveau duquel est susceptible d'être mis en place ce dispositif de connexion et de sécurité.

[0042] Elle est solidarisée à la gâche par tout moyen, tel que notamment par vissage.

[0043] La face supérieure du capot (12) comporte en outre deux orifices oblongs (22), destinés, à l'instar des dispositifs connus de l'art antérieur, à permettre le passage du shunt pour coopérer avec les deux lames métalliques (2) et (3).

[0044] En outre, le capot (12) et le socle (13) sont munis de saillies s'étendant vers l'intérieur, respectivement (18) et (19), destinées à permettre le positionnement de la partie inclinée des lames métalliques (2) et (3), selon une côte bien déterminée dans l'espace, en vue de permettre une fermeture du circuit électrique par contact simultané ou quasiment simultané des deux extrémités libres des lames avec le shunt, monté sur le pêne de la porte considérée.

[0045] Cette coque protectrice est également avantageusement réalisée en polyamide, éventuellement chargé.

[0046] On a représenté en relation avec la figure 4, une vue schématique illustrant le positionnement des lames dans l'espace. Ainsi, la lame représentée en traits discontinus illustre son positionnement avant la pose du capot (12). La lame représentée en trait continu illustre sa place définitive, en appui contre le picot ou saillie (18), la lame étant donc ici en position de repos, c'est à dire, en l'absence du shunt.

[0047] De fait, une fois montées avec le bloc polyamide (4) de surmoulage, les lames de contact (2) et (3) sont en légère pression permanente avec les picots ou saillies (18) du capot (12), compte tenu de leur effet ressort. Le bloc (4) de surmoulage assure donc une fonction déterminante de positionnement des lames au sein de la coque protectrice.

[0048] Compte-tenu de la géométrie identique de ces picots, ils permettent d'assurer un mouvement des lames simultanées. Corollairement, l'établissement du courant et son interruption s'effectue également au même instant t.

[0049] On a représenté en relation avec les figures 5 à 8, différentes configurations possibles des lames proprement dites. Celles-ci sont donc conductrices d'électricité, et sont notamment réalisées en tout matériau conducteur de type CUPRO BERILIUM, BRONZE CHRYSOCALE, voire en acier inoxydable.

[0050] Comme déjà dit, leur extrémité libre est munie d'un rivet bimétallique (25), cuivre / argent, afin d'assurer un meilleur contact électrique lors de la fermeture par le shunt.

[0051] Ce rivet est par exemple serti à l'extrémité libre de la lame, ainsi qu'on peut l'observer en figure 4.

[0052] La connexion effective des lames aux fils conducteurs (8) et (9) peut s'effectuer de différentes manières.

[0053] Une première solution consiste à dénuder l'extrémité libre des deux fils conducteurs (8, 9), et à sertir au niveau de cette zone dénudée un clip qui vient s'encliqueter sur l'extrémité de la lame émergeant du bloc de surmoulage (4). Dans cette hypothèse, ladite lame présente avantageusement au niveau de cette extrémité une zone non lisse (26), constituée par une succession de plis, destinée à optimiser le contact avec le clip de connexion sur le fil. On peut également envisager de surmouler l'assemblage clip-languette + fils + câble.

[0054] Dans une autre variante, l'extrémité libre de la lame est munie d'ailes de sertissage (27), qui peuvent être directement serties sur les zones dénudées des fils.

[0055] Dans cette hypothèse, les lames peuvent être réalisées en bandes enroulées sur bobine, à l'instar des connexions traditionnelles.

[0056] De la même manière, la liaison du fil de masse (terre) avec le bâti acier sur lequel vient se fixer le dispositif de connexion peut présenter différentes variantes.

[0057] Dans une première forme de réalisation, telle que représentée en relation avec les figures 2 et 3, l'extrémité libre du fil de terre est dénudée et reçoit un clip de connexion, raccordé sur une languette sertie à cette effet sur le bâti acier précité.

[0058] Dans une autre variante, représentée en relation avec les figures 9 et 10, le bloc de surmoulage intègre un contact élastique conducteur (28), relié électriquement au fil de terre, et qui vient prendre appui au final quand ledit dispositif est fixé sur le bâti acier de la gâche.

[0059] On conçoit tout l'intérêt du dispositif conforme à l'invention, dans la mesure où il permet de simplifier de manière drastique la réalisation, et sa mise en place définitive au niveau des portes dont on souhaite s'assurer, par le biais de la genèse d'un signal électrique, la fermeture correcte.

Revendications

1. Dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes, d'ascenseur notamment, comprenant :

- un premier ensemble de connexion solidarisé à la gâche de ladite porte, comportant deux lames conductrices (2, 3) reliées chacune à un fil électrique (8, 9) d'un câble secteur (7), lui-même relié à l'organe d'activation de l'ascenseur ;

- un second ensemble de connexion complémentaire du premier, solidarisé au pêne de la porte, et destiné à fermer le circuit électrique du premier ensemble de connexion afin de générer un signal autorisant ou au contraire interdisant l'activation de l'ascenseur ;

caractérisé en ce que ledit premier ensemble de connexion comprend :

- une partie standard (1), constituée par les deux lames conductrices (2, 3), dont le voisinage de l'une des extrémités est surmoulée (4) dans un matériau non conducteur, de telle sorte à constituer un bloc monolithique standard, l'extrémité libre desdites lames situées au voisinage du surmoulage étant connectée aux fils électriques (8, 9) du câble secteur (7) ;

- un support protecteur (12, 13) non conducteur de l'électricité, destiné à assurer le positionnement sur la gâche de la porte de ladite partie standard.

2. Dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes selon la revendication 1, caractérisé en ce que le surmoulage assure également le maintien du câble secteur (7) au niveau de la partie standard (1).

3. Dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes selon l'une des revendication 1 et 2, caractérisé en ce que le support est constitué de deux parties complémentaires (12, 13), assurant outre le maintien du câble secteur (7), également la fixation de la partie standard (1) selon une configuration propre à assurer le contact effectif du shunt lors de sa mise en place, et le positionnement de l'extrémité libre desdites lames (2, 3) selon les côtes déterminées de fonctionnement.

4. Dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que le bloc de surmoulage (4) de la partie standard est muni d'orifices de fixation (5) additionnels sur l'une des parties du capot ou socle.

5. Dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que le bloc de surmoulage (4) de la partie standard est muni d'orifices de positionnements (6), destinés à coopérer avec des saillies ou ergots (23, 24) ménagés au sein du capot (12) et du socle (13).

6. Dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que le capot (12) et le socle (13) sont munis d'ergots ou de saillies (17) de positionnement du bloc de surmoulage, et partant de la partie standard (1) au sein du support.

7. Dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que le capot (12) et le socle (13) sont chacun munis d'une cloison (20, 21), destinées à assurer un cloisonnement effectif d'une lame par rapport à l'autre, en termes de conduction électrique.

8. Dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que le capot (12) et le socle (13) sont solidarisés entre eux par clipsage ou encliquetage.

9. Dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que l'extrémité des lames (2, 3) destinée à être connectée aux fils conducteurs (8, 9) présente une zone non lisse (26), constituée par une succession de plis, destinée à optimiser le contact avec le clip de connexion sur le fil.

10. Dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que l'extrémité des lames (2, 3) destinée à être connectée aux fils conducteurs (8, 9) est munie d'ailes de sertissage (27), susceptibles d'être directement serties sur les zones dénudées desdits fils.

11. Dispositif de connexion pour un mécanisme de fermeture de portes selon l'une des revendications 1 à 10, caractérisé en ce que le bloc de surmoulage intègre un contact élastique conducteur (28), relié électriquement au fil de terre issu du câble secteur (7), et qui vient prendre appui au final quand ledit dispositif est fixé sur le bâti acier de la gâche.

Dessins