OBJET DE L'INVENTION
[0001] Cette invention concerne des perfectionnements apportés aux machines pour la fabrication
en continu de pièces de béton, du genre comportant un châssis déplaçable sur des rails
constituant une piste sur laquelle des armatures actives précontraintes ou passives
conformant le renforcement des pièces de béton à obtenir, ce châssis soutenant une
surtrémie mobile pour recevoir le béton, une trémie fixe d'entrée d'un moule vibrateur,
un moule avant de rétention, un moule vibrateur pourvu de noyaux pour la comptactation
et la formation des pièces de béton et un moule postérieur ou d'affinage, également
pourvu de noyaux, pour donner la forme définitive et l'affinage des pièces de béton,
les perfectionnements de l'invention concernant les moyens de traction de la machine,
la configuration du châssis de la machine, les ancrages et dimensions données au moule
vibrateur ou moule de rétention et au moule d'affinage, la fixation des noyaux du
moule vibrateur, la fermeture latérale des moules, le guidage, forme et traction de
la surtrémie, la configuration de la trémie d'entrée et le dispositif de guidage des
armatures situé à la partie avant à l'intérieur du moule de rétention.
ANTÉCÉDENTS DE L'INVENTION
[0002] Dans le brevet d'invention espagnol n1 428.477 de Prensoland, S.A., concernant un
"Procédé pour la fabrication continue de poutres, pylônes, plaques et assimilés en
béton", on décrit une installation composée par des rails ancrés au sol, entre lesquels
est disposée, longitudinalement, une série de câbles tendus formant des armatures
sur lesquelles on verse du béton au moyen d'une machine pourvue de trémies et des
moules au-dessous, de sorte que lorsque la machine avance, elle forme des poutres
ou des éléments armés. La machine décrite dans ce brevet comporte l'utilisation de
trois moules: l'un avant ou de rétention, un central ou vibrateur, pourvu de noyaux
ou de parois définissant la section des pièces à obtenir, et l'autre arrière d'affinage;
il prévoit également deux trémies: l'une fixe, qui verse le béton sur les armatures
formées par les câbles et l'autre mobile ou d'entrée qui alimente la précédente.
[0003] Cette machine a plusieurs inconvénients qui rendent son utilisation considérablement
difficile et qui sont signalés ci-après.
[0004] Lorsque les pièces ont été formées sur une piste, il faut soulever toute la machine
à l'aide d'une grue de pont roulant pour la placer au début d'une nouvelle piste;
cela est dû à ce que la machine possède un mécanisme de traction par câble qui ne
permet que son déplacement en avant, ce qui fait que les pièces obtenues peuvent avoir
une longueur maximale égale au parcours de la grue de pont roulant et que la machine
dépend d'elle.
[0005] Les noyaux formant et compactant les pièces de béton sont solidaires du moule vibreur
donc, si l'on souhaite changer le type de pièce à former, il faut dégager complètement
ce moule et le remplacer par un autre et il faut pour cela démonter une bonne partie
de la machine, ce qui rend difficile le centrage et le montage des nouveaux moules.
[0006] Le moule vibrateur avec la trémie fixe ont une capacité élevée ce qui entraîne un
problème important car, lorsque la machine arrive à la fin de la piste, il faut retirer
et jeter le béton qui est resté à l'intérieur pour l'empêcher de faire prise.
[0007] Les moyens de roulement de la machine restent cachés sous son châssis et c'est alors
compliqué pour l'utilisateur de la grue de pont roulant de placer correctement ces
moyens de roulement sur les rails lorsqu'on change la machine de la piste.
[0008] Dans le brevet d'invention également espagnol n1 P9600942, concernant les "Perfectionnements
introduits aux machines pour la fabrication continu de pièces de béton", on décrit
une série de perfectionnements appliqués à diverses parties de la machine évoquée
dans le brevet n1 428.477, ces perfectionnements affectant le transfert de la machine,
la partie inférieure du châssis au moule central ou vibrateur, le dispositif guide-fils,
la surtrémie d'entrée, les fermetures latérales du moule central, le soutien et fixation
du moule d'affinage et les modifications du moule d'affinage.
[0009] Ces modifications, même si, à ce moment-là, elles ont représenté un perfectionnement
de ce genre de machine, n'ont pas été suffisantes car elles avaient des inconvénients
et des difficultés qui sont été solutionnées avec l'invention qui va être décrite.
[0010] En effet, on voit que lorsqu'on transfère une machine, conformément à ce brevet n1
P9600942 et on la place sur la piste, cela entraîne une série d'inconvénients à cause
de la difficulté pour bien voir la position des roues sur le rail et parce qu'elle
est exposée à des coups et des frictions éventuels que les roues de tractions peuvent
produire car elles ne sont pas protégées à la partie arrière de la machine, ce qui
représente, évidemment, qu'il faut faire plus attention lors de ces opérations.
[0011] La partie inférieure du châssis, même si elle peut être soulevée pour avoir un meilleur
accès aux caoutchoucs de fermeture latérale, entraîne des inconvénients pour l'accès
aux mécanismes pour régler en hauteur les quatre roues de soutien et de transfert
de la machine, une régulation nécessaire pour pouvoir l'ajuster à la piste de moulage
et pouvoir produire ainsi des pièces moulées ayant la hauteur appropriée.
[0012] Même si la partie inférieure de la machine est modifiée, le reste de la structure
du châssis créé des difficultés d'accès aux éléments de vibration, de traction par
câble et au groupe hydraulique avec les inconvénients et les pertes de temps qui s'ensuivent
lors des opérations habituelles d'entretien et de possibles réparations.
[0013] Les noyaux du moule vibrateur, comme ils sont démontables, un à un, et qu'ils sont
fixés avec des éléments vissés dont la quantité est limitée, par l'effet de la vibration
qu'ils transmettent, produisent des fatigues aux éléments de fixation qui alors se
relâchent et, dans certains cas, se cassent en entraînant une dispersion de la vibration
non souhaitée affectant nécessairement le produit fabriqué.
[0014] Les noyaux du moule central par leur extrémité postérieure, dans ce brevet, étaient
plus courts que le propre moule afin d'améliorer le moulage, ce qui comporte des difficultés
de la compactation par vibration car elle est interrompue avant que la masse de béton
n'arrive au moule d'affinage, et très souvent des obturations et des éclatements ou
des fissures se produisent dans le béton moulé, à la sortie de la machine.
[0015] Par ailleurs, le moule avant est difficile à nettoyer et à entretenir car les noyaux
sont agencés à son intérieur et sur toute sa longueur, ainsi qu'un clapet d'arrêt
également agencé à son intérieur et le dispositif guide-fils placé à sa partie avant,
et l'accès à l'intérieur de ce moule devient difficile en prolongeant inutilement
les opérations de nettoyage.
[0016] Le dispositif guide-fils situé à la partie avant du moule de rétention est trop éloigné
du moule central ce qui fait que la pression exercée par le béton sur les armatures
et le propre poids de ces dernières les déplace vers la piste en produisant des déviations
non souhaitées des armatures à l'intérieur de la pièce à mouler, ce qui entraîne des
pertes de prestations de cette pièce ou des courbures dûs au déséquilibre des efforts.
[0017] Les côtés du moule central du brevet en question, possède des caoutchoucs de fermeture
qui sont commandés par des cylindres de serrage pourvus de ressorts commandés à la
main par des excentriques de serrage. Ce genre de fermeture, comme elle n'arrive pas
aux côtés des trois moules, a l'inconvénient que, souvent des fuites de coulis de
béton ont lieu à certains d'eux (un coulis qui est nécessaire au moulage), ces fuites
aidant également à ce qu'avec le temps les ressorts de serrage perdent leur élasticité
et alors les fermetures latérales ne sont plus efficaces.
[0018] La surtrémie d'entrée, même si elle est commandé par deux cylindres latéraux laissant
son intérieur libre, a l'inconvénient de rendre son nettoyage difficile car elle est
située dans une zone élevée d'accès difficile et comme elle est formé d'un seul pièces
non démontable, le temps de nettoyage s'allonge.
[0019] Le moule d'affinage est soutenu par quatre roues qui sont appuyées sur des rails
ronds solidaires du châssis de la machine, à cause de sa forme arrondie qui rend difficile
de centrer de façon assez précise le moule par rapport à la machine et qui empêche
de pouvoir faire des corrections, quelques fois nécessaires, pour l'aligner.
[0020] Finalement, le moule d'affinage, dans ce brevet n1 P9600942, possède sur sa partie
arrière, une boîte de relaxation avec une diminution de la coupe des noyaux avec l'idée
de contrer l'expansion du béton à la sortie de la machine et d'améliorer les dimensions
de la pièce à obtenir. Lorsqu'on moule actuellement des bétons plus secs pour obtenir
une plus grande résistance, on a pu vérifier que cette caisse de relaxation produit
des inconvénients car comme il n'y a pas beaucoup ou même pas du tout d'expansion
du béton fausse les dimensions de la pièce finie et même rend difficile l'opération
de moulage qui entraîne une mauvaise finition superficielle de la pièce difficile
à corriger.
[0021] Un autre des problèmes posé par d'autres types de machines connues est que les côtés
du châssis sont agencés très près du sol, ce qui rend très difficile l'accès et le
placement des caoutchoucs de fermeture des côtés des moules, ceci provoquant également
l'accumulation de béton sur les côtés de la machine; cela comporte que le temps de
nettoyage de la machine, généralement avec un jet d'eau sous pression, sera plus grand
et l'opération plus coûteuse car si on ne nettoie pas bien, le béton fait prise et
produit un fonctionnement incorrect de la machine.
[0022] Dans ce genre de machines connues, la surtrémie provoque des rétentions dans le béton,
en rendant son déchargement difficile, à cause de son déplacement par un seul cylindre
hydraulique de poussée qui agit sur sa zone centrale en la divisant pratiquement en
deux. Cette division et le fait que la trémie soit un seul pièces rend les travaux
de nettoyage plus difficiles et les prolonge.
[0023] Un autre des problèmes est situé à la trémie fixe qui alimente le moule vibrateur,
dans lequel sont produites les rétentions de béton, dues en partie à sa forme géométrique
et d'autre part, par la vibration que le moule vibrateur lui transmet déterminant
une compactation préalable du béton à l'intérieur de cette trémie fixe.
[0024] Un problème existant dans les machines actuelles est l'accès difficile aux divers
mécanismes dont dispose la machine, mécanisme de vibration, mécanisme de traction
par câble et groupe hydraulique, ce qui rend difficile les travaux normaux d'entretien
ainsi que l'accès rapide en cas de danger.
[0025] Dans les machines actuelles, le dispositif de guide-fils pour guider les armatures
est situé à la partie avant de la machine à une distance considérable du moule vibrateur
avec lequel les armatures, à cause de leur propre poids (effet caténaire) et au poids
du béton situé dans le moule vibrateur, se déplacent vers le bas de la positon à laquelle
le dispositif guide-fils les a situées au début. Cela produit des problèmes sérieux
pour le produit fabriqué, difficiles à corriger.
DESCRIPTION ET OBJET DE L'INVENTION
[0026] Pour résoudre ces problèmes, des perfectionnements objet de cette invention ont été
conçus qui représentent des avantages fonctionnels importants durant l'utilisation
de la machine en question.
[0027] Conformément à l'invention, les moyens de roulement du châssis sont composés par
des roues montées sur deux essieux, l'un avant et l'autre arrière, et des roues motrices
agencées à l'extrémité postérieure de la machine, montées sur un balancier commandé
par un cylindre hydraulique, ce qui permet de changer la hauteur de ces roues motrices,
en les disposant dans une position de travail ou dans une position d'arrêt. Aussi
bien les roues de l'essieu fixe avant que les roues motrices se trouvent à des positons
visibles, ce qui facilite le positionnement centré de la machine sur les rails.
[0028] Le fait que cette machine comporte ces roues motrices détermine que la machine peut
avancer sur les rails au moyen de son dispositif de traction par câble et reculer
sur les rails d'une nouvelle piste au moyen de la motorisation hydraulique de ces
roues, cette particularité représentant un avantage important car le pont roulant
ne doit être utilisé que pour faire passer la machine de la fin d'une des pistes à
la fin d'une nouvelle piste, la machine reculant au début de celle-ci par ses propres
moyens moteurs, ce qui permet de limiter l'emploi du pont roulant et que la piste
et donc les pièces à façonner peuvent avoir une longueur supérieure au parcours du
pont roulant.
[0029] Conformément à l'invention, les zones latérales du châssis, comprises entre les moyens
de roulement, ont leur extrémité inférieure à un plan plus élevé que les roues pour
y empêcher le dépôt et la prise de béton, en facilitant ainsi l'accès des mécanismes
de fermeture latérale des moules. Par ailleurs, dans l'espace compris entre les moyens
de roulement d'un côté du châssis, il y a des roues munies de boudins guides à position
réglable qui agissent sur les rails de la piste et assurent l'alignement de la machine
par rapport au rail.
[0030] Le châssis de la machine, sur ses faces latérales arrière et avant comprises sur
la partie supérieure de celui-ci a des espaces vastes et suffisants pour avoir accès
aux mécanismes de vibration de traction, au groupe hydraulique et aux côtés du moule
vibrateur avec les avantages que cela représente pour effectuer l'entretien et cela
permet en plus de placer des couvercles rabattables de protection du béton et sécurité
pour le personnel.
[0031] L'invention envisage que le moule de rétention comporte, d'une part un clapet d'arrêt
du béton et de guidage des armatures avec des peignes échangeables commandé par un
cylindre hydraulique qui agit verticalement sur ce clapet et d'autre part, elle est
pourvue de noyaux à très faible longueur situés sur la partie arrière du clapet d'arrêt,
en permettant de loger à l'intérieur du moule un nouveau dispositif efficace de guidage
des armatures qui facilite en large mesure le nettoyage de ce moule.
[0032] Les perfectionnements de l'invention comportent un dispositif de guidage des armatures
formé par une série de platines superposées et démontables, l'inférieure étant appuyée
sur la piste et y glissant dessus lorsque la machine est mise en marche. Ce dispositif
est situé sur la partie intérieure du moule de rétention en guidant en hauteur les
armatures et en évitant dans cette position si proche du moule vibrateur que la pression
du béton et son propre poids pousse ces armatures vers le bas.
[0033] Le moule central ou vibrateur possède des supports réglables en hauteur, par rapport
à ce moule, qui les fixe sur le châssis de la machine en y interposant des éléments
élastiques correspondants, destinés à empêcher la transmission de vibrations du moule
au châssis. Avec ces supports on peut régler parfaitement la hauteur du moule par
rapport à la piste.
[0034] D'autres perfectionnements remarquables de l'invention consiste en ce que les noyaux
du moule central ou vibrateur sont reliés à une platine fixée sur ce dernier, avec
la possibilité de la retirer, de préférence au moyen d'éléments vissés, ce qui permet
d'en changer le profil, la quantité ou le nombre d'alvéoles des pièces à façonner,
en ne changeant que les noyaux, et donc il ne faut pas changer tout le moule, comme
c'est le cas des machines connues à ce jour.
[0035] L'invention envisage de plus que le moule vibrateur soit moins long que dans les
machines connues et que les noyaux agencés à son intérieur n'occupent pas tout le
moule et ils offrent à leur zone intérieure une portion ayant la forme d'un coin ce
qui fait qu'ils pénètrent mieux dans le béton en améliorant leur façonnage et en évitant
que des rétention de béton se forment à l'intérieur de celui-ci, la quantité de béton
retenue dans ce moule étant minimale lorsque la machine arrive à la fin de la piste.
[0036] Ce moule vibrateur est alimenté, de la même façon que les machines connues par une
trémie fixe agencée entre la surtrémie d'alimentation et ce moules, avec les particularités
qu'il se déplace par l'action de deux cylindres hydrauliques qui agissent sur les
côtés de la machine, en empêchant qu'elle gène la décharge du béton à la trémie fixe,
et que la trémie fixe a une forme géométrique telle que les trois côtés sont inclinés,
convergeant vers la zone inférieure, tandis que le côté arrière est vertical, en obtenant
ainsi que se réduise la capacité de la trémie, en évitant que des voûtes se forment
dans le béton en facilitant le descente de ce moule vibrateur.
[0037] Conformément à l'invention, la fermeture latérale arrive aux trois moules, pour empêcher
la sortie du béton sous ses côtés, se fait à l'aide de profils en caoutchouc, qui
sont pressés en direction oblique par un profil angulaire métallique solidaire de
cylindres de commande manuelle qui lui permettent une certaine oscillation pour que
le caoutchouc s'adapte mieux à la surface des pistes en assurant ainsi son herméticité.
[0038] Le moule d'affinage est monté sur une portion dépassant le châssis sur lequel des
glissières métalliques sont agencées auxquelles est couplé le moule au moyen de supports
d'alignement et il est fixé au châssis par sa zone supérieure et par sa face avant,
ce qui permet de réaliser l'extraction de ce moule par la zone supérieure de la machine
tout simplement en le déplaçant vers la partie arrière de cette dernière, celle-ci
restant immobile.
[0039] Ce moule d'affinage possède à son extrémité arrière et sur sa face supérieure une
rainure transversale pas très large dont une face inclinée pour la sortie de l'air
contenu dans le béton, en empêchant ainsi que des nids d'abeilles se forment sur la
surface des pièces à obtenir. Il est également prévu que le moule incorpore à sa partie
arrière une plaque de déflexion à hauteur réglable pour la fabrication de dalle en
béton, ce qui améliore sensiblement leur finition de surface.
[0040] L'invention prévoit des perfectionnements importants dans le mécanisme de traction
de la machine par câble de traînage pour la déplacer à la position de moulage, composé
par un tambour d'entraînement commandé par un moteur réducteur ayant un frein contrôlé
par un variateur électronique de vitesse, ce tambour étant pourvu d'un embrayage et
d'un frein manuel et d'une poulie cannelée déplaçable transversalement pour faciliter
l'enroulement correct du ce câble de traînage.
DESCRIPTION DES DESSINS
[0041] Afin d'aider à mieux comprendre les caractéristiques de l'invention, un jeu de dessins
est annexé à cette description, formant intégralement partie de celle-ci, où les figures
suivantes sont représentées à titre d'exemple illustratif et non limitatif, dans lesquelles
des références identiques désignent des éléments semblables.
La figure 1 illustre une vue en projection latérale , partiellement en coupe, dans
laquelle on observe la plupart des composants de la machine.
La figure 2 est une vue en élévation de la face avant de la machine dans laquelle
on peut observer le tambour du câble de traînage et le clapet d'arrêt avec le dispositif
de guidage des armatures;
La figure 2a est un détail agrandi de la zone supérieure droite de la Fig. 2 dans
laquelle on peut voir les glissières sur lesquelles des roues latérales de support
du la trémie roulent.
La figure 3 représente une vue en élévation de la face arrière de la propre machine,
partiellement en coupe, dans laquelle on note le moule vibrateur avec son équipement
de vibration;
La figure 4 représente une vue en projection latérale du moule de rétention, qui montre
le clapet d'arrêt et le dispositif de guidage des armatures.
La figure 5 représente un détail en élévation du moule d'affinage avec les noyaux
correspondants, dans lequel on apprécie la rainure supérieure pour la sortie de l'air;
La figure 6 est un détail des roues motrices et de leurs moyens de support et de commande;
La figure 7 représente un détail du moule vibrateur où l'on peut apprécier les supports
latéraux de ce moule avec ses coulisseaux et ses vis de réglage ainsi que les éléments
élastiques situés entre ces supports et le châssis de la machine; et
La figure 8 représente un détail avant du tambour de traînage, signalé par une fine
circonférence sur la figure 2, dans lequel on observe le frein, l'embrayage et la
poulie de guidage du câble.
MISE EN OEUVRE PRÉFÉRÉE DE L'INVENTION
[0042] Comme il est illustré dans ces figures, la machine perfectionnée pour la fabrication
continue de pièces de béton, précontraintes ou courbées représentée à titre d'exemple,
possède un châssis (1) sur lequel on monte, plus haut une surtrémie (2) dans laquelle
le béton est chargé et que est celle qui alimente la trémie fixe 83).
[0043] Cette surtrémie (2) à charge mobile, est commandée par deux cylindres hydrauliques
(16) qui agissent sur les côtés de celle-là, des glissières (18) permettant son déplacement
sur lesquelles glissent les roues latérales (17) , en même temps que cette surtrémie
(2), à sa moitié supérieure (19) est un corps démontable qui facilite son nettoyage.
[0044] La trémie fixe (3) possède de plus des couvercles (21) de protection, ses faces latérales
inclinées (20') et convergeant vers la zone inférieure, excepté la latérale arrière
(20) qui est verticale, pour obtenir une réduction de sa capacité et éviter que des
voûtes se forment dans le béton, ainsi que pour faciliter sa descente au moule vibrateur
(5).
[0045] Sur ce châssis (1) et ses zones latérales (4') un moule de rétention (4) , ce moule
vibrateur (5) qui est alimenté par la trémie (3) et un moule d'affinage (7) sont montés
en aval.
[0046] Le moule de rétention (4), agencé sur la zone avant de la machine comprend un clapet
d'arrêt (22) à déplacement vertical, chargé d'empêcher que le béton déposé dans le
moule vibrateur (5) avance. Ce clapet (22), pourvu de peignes de guidage de l'armature
(25), est commandé par un cylindre hydraulique (23) agencé verticalement sur sa zone
centrale et guidé dans son déplacement par le jeu de leviers (24) et l'axe transversal
de compensation (24'). Ce moule (4) possède à sa partie arrière, des noyaux (26) pas
très longs qui restent en contact avec le béton de moule vibrateur (5), ce moule de
rétention étant préparé pour recevoir à son intérieur le dispositif de guidage des
armatures (26a), ce dispositif étant formé par une série de platines superposées et
démontables, l'inférieure étant appuyée sur la piste (42'), en glissant dessus lorsque
la machine est mise en marche.
[0047] La vibration du moule (5) est causée par une ensemble de deux vibrateurs (14) synchronisés
entre eux, montés sur le propre moule et commandés par le moteur (44) solidaire du
châssis de la machine. Cette vibration facilite la compactation et l'extrusion du
béton déposé à l'intérieur de ce moule vibrateur (5) par la trémie (3), en l'obligeant
à passer à travers le moule d'affinage (7) formant le profil définitif de la pièce
à fabriquer.
[0048] Le moule vibrateur (5) comprend à son intérieur des noyaux (6) qui ont à leur extrémité
avant une positon tronconique (28) en laissant un espace libre (5') entre le noyau
(6) et le moule de rétention (4) pour faciliter le passage et le moulage du béton.
Ces noyaux (6) compactent le béton et commencent à façonner les pièces dont le profil
définitif sera fournit par le moule d'affinage (7), et ils sont fixés sur une platine
(27) qui est à son tour fixée sur le moule au moyen d'éléments vissés, ce qui permet
de les retirer et de les remplacer par d'autres ayant un profil, une quantité ou un
nombre d'alvéoles des pièces à former différents. En ne changeant que les noyaux,
il ne faut pas changer tout le moule vibrateur (5) ce qui constitue un avantage à
ajouter à l'invention.
[0049] Le moule vibrateur (5) possède sur les côtés des supports (29) pourvus de coulisseaux
(29') dans lesquels sont logées des vis chargées de les fixer sur le moule (5) et
des vis de réglage (30'), ce qui permet changer la hauteur du moule par rapport aux
supports ce qui représente par conséquent régler la hauteur du moule par rapport à
la piste (42'). Ces supports (29) montent sur le châssis (1) de la machine avec l'interposition
des éléments élastiques (30), qui empêchent la transmission de vibrations du moule
au châssis (1).
[0050] Le moule vibrateur (5) est séparé à sa partie arrière, du moule de rétention (4),
à sa partie avant, du moule d'affinage (7) et à sa partie supérieure, de la trémie
fixe (3) au moyen des joints ou caoutchoucs élastiques (46), (47) et (48), respectivement.
[0051] Le moule d'affinage (7) comporta à l'intérieur des noyaux (8) qui sont ceux qui donneront
la forme définitive aux pièces à obtenir, et ils se trouvent montés sur des glissières
(33') solidaires du châssis (1) au moyen des supports d'alignement (33), et ils peuvent
être agencés à une position avancée d'usage, à laquelle ils sot fixés au châssis par
des vis rabattables (35) ou à une positon plus en arrière, qui permet de les retirer
verticalement de la machine.
[0052] Ce moule d'affinage (7) possède à son tronçon final et sur sa face supérieure, une
rainure transversale (7') pas très large dont une face inclinée pour la sortie de
l'air contenu dans le béton, empêche que des nids d'abeilles se forment à la surface
des pièces à obtenir; lorsque ce moule d'affinage (7) est destiné à la fabrication
de dalles, une planche de déflexion basculante (36) est incorporée à sa partie arrière
supérieure qui est disposée transversalement et à hauteur réglable, qui améliore sensiblement
la finition de surface de ces dalles.
[0053] La fermeture latérale des moules de rétention (4) vibrateur (5) et d'affinage (7),
par leur zone inférieur pour empêcher la sortie du béton se fait au moyen de profils
en caoutchouc (31) qui sont pressés obliquement au moyen d'un profil angulaire métallique
(31') solidaire des cylindres (32) d'entraînement manuel lui permettant une certain
oscillation pour que la caoutchouc s'adapte mieux à la surface des pistes, en assurant
ainsi leur herméticité.
[0054] Sur le châssis (1) un dispositif de traînage par câble est monté, employé pour déplacer
la machine dans le sens d'avancement, ce dispositif comprenant un tambour (37) sur
lequel est enroulé le câble de traînage (49), ce dispositif, lorsqu'il tourne sous
l'action d'un élément de moteur réducteur (43) pourvu de frein provoque l'avancement
de la machine au moyen d'un variateur électronique de vitesse agencé dans le tableau
de commande.
[0055] Ce tambour de traînage (37) est pourvu d'un embrayage (39) qui permet de le libérer
du moteur (43) pour lâcher le câble durant le recul de la machine au début de la piste
et aussi d'un frein (38) qui empêche que le tambour tourne par inertie, lorsqu'il
est en train de lâcher le câble; ce tambour (37) possède également une poulie de guidage
cannelée (40), transversalement déplaçable pour faciliter l'enroulement correct du
câble de traînage (49).
[0056] Le contact de la machine avec les rails (42) se fait au moyen d'éléments de roulement
qui sont composés de roues (9) montées sur deux essieux fixes, l'un avant et l'autre
arrière, et par des roues motrices (10). Ces roues motrices (10) sont montées à l'extrémité
arrière de la machine sur le balancier correspondant (12) qui est commandé par un
cylindre hydraulique (13). Les roues (9) montées sur l'essieu avant d'extrémité et
les roues montées sur l'essieu arrière également d'extrémité restent visibles, ce
qui facilite le centrage de la machine sur les rails au moyen du pont roulant approprié.
[0057] Les roues motrices (10) sont commandées par un moteur hydraulique (11) qui, lorsqu'il
démarre, permet le recul de la machine sur lesdits rails (42) d'une piste, après le
positionnement des roues (10) et le soulèvement de la machine par sa partie arrière
au moyen du balancier (12) et du cylindre (13).
[0058] Tous les éléments de commande hydraulique compris dans la machine sont alimentés
par un groupe hydraulique (45) monté sur le propre châssis (1).
[0059] Cette machine comprend, à sa partie avant et placé à l'intérieur du moule de rétention
(4) et près du clapet (22) le dispositif de guidage des armatures (26a) formé par
une série de platines superposées démontables dont l'inférieure est appuyée sur la
piste et glisse su celle-ci lorsque la machine est mise en marche, en guidant en hauteur
les armatures qui, à leur tour, sont guidées latéralement par les rainures des peignes
du clapet d'arrêt (22). Comme il est placé si près du moule vibrateur (5) ce dispositif
de guidage des armatures (26a) évite que la pression du béton et son propre poids
dévient ces armatures vers le bas ou vers les côtés.
[0060] Ce châssis de la machine (1), sur ses faces latéraux, arrière et avant comprises
à sa partie supérieure, possède des espaces (14') vastes et suffisants pour avoir
accès aux mécanismes de vibration (14) et (44), de traction (37) et (43), au groupe
hydraulique (45) et aux côtés du moule vibrateur (5), ainsi qu'aux mécanismes de traînage
par câble (15) agencés dans un autre espace (15') prévu à la partie avant de ce châssis
(1), ce qui facilite en large mesure les travaux normaux d'entretien, en permettant
en même temps de placer les couvercles rabattables appropriés (1') de protection du
béton et de sécurité pour les personnes.
[0061] Il n'est pas jugé nécessaire de faire une description plus étendue pour qu'un homme
du métier comprenne la portée des perfectionnements décrits et les avantages qui en
découlent.
[0062] Les termes dans lesquels cette description a été rédigée doivent être pris dans leur
sens le plus large et non limitatif.
[0063] Les matériaux, formes, mesures et agencement des éléments seront susceptibles de
variation à condition que cela ne modifie pas les caractéristiques essentielles de
l'invention conformément aux revendications annexées.
1. Perfectionnements introduits à des machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armés du genre de celles comportant un châssis (1), déplaçable
sur des rails (42) définissant une piste (42') sur laquelle sont agencées des armatures
actives précontraintes ou passives formant le renforcement des pièces en béton à obtenir,
ce châssis (1) soutenant une surtrémie à charge mobile (2) pour y recevoir et ultérieurement
alimenter avec du béton une trémie fixe (3) d'entrée d'un moule vibrateur, un moule
avant (4) de rétention, un moule vibrateur (5) pourvu de noyaux (6) pour la compactation
et la formation de pièces en béton et un moule arrière ou d'affinage (7) également
pourvu de noyaux (8) pour donner la forme définitive et l'affinage aux pièces en béton;
caractérisés en ce que les moyens de roulement du châssis sont composés par des roues (9) montées sur deux
essieux fixes, l'un avant et l'autre arrière et, optionnellement par des roues motrices
(10) commandées par un moteur hydraulique (11) et qui sont montées sur un balancier
rabattable (12) correspondant agencé à l'extrémité arrière de la machine un cylindre
hydraulique (13) agissant sur le balancier (12), ce cylindre déterminant, établissant
et réglant la hauteur des roues motrices (10) en les disposant à une position inférieure
de travail ou à une position supérieure d'arrêt.
2. Perfectionnements introduits à des machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armés, conformément aux revendications précédentes, caractérisés en ce que les zones latérales (4) du châssis (1) et dans l'espace compris entre les moyens
de roulement ont leur extrémité inférieure sur un plan plus élevé que les roues (9)
pour empêcher le dépôt et la prise du béton sur ces moyens et faciliter les opérations
de nettoyage et le placement de caoutchoucs latéraux (31) de fermeture.
3. Perfectionnements introduits aux machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armées conformément aux revendications précédentes caractérisés en ce que les zones avant, arrière et latérales du châssis (1) comprises à la partie supérieure
de celui-ci ont des espaces (14') suffisants et larges pour avoir accès à des vibrateurs
(14) et moteur (44), aux mécanismes de traînage par câble (15) disposés dans un autre
espace (15') prévu à la partie avant du châssis (1) au groupe hydraulique (45) et
aux côtés du moule vibrateur (5) en permettant de placer des couvercles rabattables
(1') de protection du béton et de sécurité pour le personnel.
4. Perfectionnements introduits dans des machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armées, conformément aux revendications précédentes, caractérisés en ce que la surtrémie mobile (2) est commandée par deux cylindres hydrauliques (16) qui agissent
sur ses côtés et en ce que les roues latérales de guidage (17) circulent à l'intérieur de glissières (18) qui
évitent que le béton soit taché et aussi en ce que la surtrémie de charge mobile (2) à sa partie supérieure (19), est un pièces démontable
pour faciliter son nettoyage.
5. Perfectionnements introduits dans des machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armées, conformément aux revendications précédentes, caractérisés en ce que la trémie fixe d'alimentation (3) qui possède un côté (20) vertical et un autre incliné
(20') lorsqu'il rencontre le moule vibrateur (5) possède des caoutchoucs (46) semblables
à d'autres équivalents (47) et (48) qui l'isole de la vibration et qui sont protégés
par des couvercles (21) qui leur confèrent une herméticité et ne transmettent pas
les vibrations.
6. Perfectionnements introduits dans des machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armées, conformément aux revendications précédentes, caractérisés en ce que le moule de rétention (4) comprend un clapet (22) d'arrêt du béton et de guidage
des armatures qui est commandé par un cylindre hydraulique (23) qui agit sur celui-là
en direction verticale, ce clapet (22) étant guidé par un axe transversal (24') et
des leviers (24) de compensation et caractérisés également en ce que le clapet d'arrêt (22) est pourvu de peignes de guidage d'armature (25) en acier
traité remplaçables en cas d'usure et aussi en ce que à la partie intérieure de ce moule (4) il possède des noyaux (26) à très faible longueur,
situés à la partie arrière de ce clapet d'arrêt (22) en plus d'être préparé pour y
loger à son intérieur un dispositif de guidage d'armatures démontable (26a).
7. Perfectionnements introduits dans des machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armées, conformément à la revendication 6, caractérisés en ce que le dispositif de guidage des armatures (26a) est formé par une série de platines
superposées et démontables, l'inférieure étant appuyée sur la piste (42'), en glissant
sur elle lorsque la machine se met en marche et en ce que le dispositif de guidage des armatures (26a) est placé à l'intérieur du moule de
rétention (4) en guidant les armatures en hauteur et en évitant dans cette position
que la pression du béton les pousse vers la piste (42').
8. Perfectionnements introduits dans des machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armées, conformément aux revendications précédentes, caractérisés en ce que les noyaux (6) du moule vibrateur (5) se trouvent unis entre eux au moyen d'une platine
(27) en formant un seul ensemble qui est fixé au moule au moyen d'éléments vissés,
avec la possibilité d'extraction et de remplacement par d'autres noyaux ayant un format
différent.
9. Perfectionnements introduits dans des machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armées, conformément aux revendications précédentes, caractérisés en ce que les noyaux (6) du moule vibrateur (5) possèdent à leur extrémité avant une portion
tronconique (28) qui laisse un espace libre (5') entre le noya (6) et le moule de
rétention (4) pour faciliter le passage et le moulage du béton.
10. Perfectionnements introduits dans ces machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armées, conformément aux revendications précédentes, caractérisés en ce que le moule vibrateur (5) possède sur ses côtés des supports (29) pourvus de coulisseaux
verticaux (29') par lesquels passent des vis qui les fixent à ce moule (5) des éléments
élastiques (30) étant placés entre les supports (29) et le châssis (1) de la machine,
destinés à empêcher la transmission de vibrations du moule (5) au châssis (1) et en
disposant de plus des vis de réglage (30') agencés verticalement pour régler la hauteur
du moule (5) à sa séparation correcte de la piste (42').
11. Perfectionnements introduits dans des machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armées, conformément aux revendications précédentes , caractérisés en ce que la fermeture latérale des moules (4), (5), et (7) pour empêcher la sortie du béton
dans l'espace qui reste entre ces moules et la piste (42'), se fait au moyen des profils
en caoutchouc (31) qui sont pressés obliquement contre ces moules par un angle métallique
(31') solidaire de cylindres (32) de serrage, réglables commandés de façon manuelle.
12. Perfectionnements introduits dans des machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armées, conformément aux revendications précédentes, caractérisés en ce que le moule arrière d'affinage (7) se trouve monté sur le châssis (1) au moyen de quatre
supports d'alignement (33) qui sont emboîtés dans des glissières (33') solidaires
de ce châssis (1) qui permettent leur agencement à une position avancée d'usage, ou
à une position plus en recul d'extraction, en disposant de plus de vis (35) rabattables
solidaires du châssis (1) pour fixer la position du moule d'affinage (7).
13. Perfectionnements introduits dans des machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armées, conformément aux revendications précédentes, caractérisés en ce que le moule d'affinage (7) possède à son tronçon final et sur sa face supérieure, une
rainure transversale (7') pas très large dont une face inclinée pour la sortie de
l'air contenu dans le béton et en ce que pour la fabrication de pièces en béton du genre dalle le moule d'affinage (7) incorpore,
à sa partie supérieure, une plaque de déflexion basculante (36) à hauteur réglable
qui améliore la finition de la surface des pièces moulés.
14. Perfectionnements introduits dans des machines pour la fabrication en continu de pièces
en béton précontraintes ou armées, ces machines comprenant un dispositif de traction
par câble de traînage pour son déplacement en position de moulage, composé d'un tambour
(37) monté sur la partie avant du châssis (1) qui est caractérisé en ce qu'il est commandé par un moteur réducteur ayant un frein (43) contrôlé par un variateur
électronique de vitesse, ce tambour (37) étant pourvu de l'embrayage (39) correspondant,
d'un frein (38) et d'une poulie cannelée de guidage (40) déplaçable transversalement
pour faciliter l'enroulement et le déroulement correct du ce câble de traînage (49).