[0001] L'invention concerne une ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant, comportant
une plaque de fixation présentant une ouverture d'accès à un coulisseau monté mobile
axialement dans un boîtier s'étendant perpendiculairement à l'arrière de la plaque
de fixation.
[0002] La présente invention concerne, plus particulièrement, le domaine des ferrures de
verrouillage pour ouvrant coulissant.
[0003] L'on connaît, d'ores et déjà, de nombreuses ferrures de verrouillage répondant à
la description ci-dessus. Ainsi, de telles ferrures comportent un boîtier prévu apte
à s'inscrire dans l'épaisseur du montant avant d'un ouvrant coulissant, à l'arrière
d'une plaque de fixation.
[0004] Quoi qu'il en soit, le boîtier est constitué, substantiellement, par ladite plaque
de fixation et deux parois parallèles s'étendant perpendiculairement à l'arrière de
cette plaque, sachant que ces parois sont pourvues, sensiblement, à hauteur de leur
chant d'extrémité libre, d'un retour délimitant, ainsi, avec la plaque de fixation
interne, un canal de guidage d'un coulisseau. En somme, celui-ci s'inscrit entre les
retours précités et la face arrière de ladite plaque de fixation interne. Une telle
conception est par exemple décrite dans le document EP-0859107.
[0005] La plaque de fixation interne comporte, par ailleurs, une ouverture longitudinale
permettant d'accéder, directement, au coulisseau lequel est alors pourvu d'une poignée
cuvette. Ce coulisseau agit sur un porte-pêne dans lequel vient s'engager, de manière
réglable, le pêne de verrouillage.
[0006] Tout particulièrement, lors de l'assemblage de la ferrure, le coulisseau est monté
dans le boîtier depuis l'une ou l'autre extrémité de ce dernier.
[0007] Ce type de ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant pose un problème de tenue
mécanique du boîtier en forme de profilé en « U ».
[0008] On remarquera, encore, qu'il est connu, par le document FR-2.761.719, une ferrure
de verrouillage pour ouvrant coulissant comportant un boîtier, là encore défini par
deux parois parallèles s'étendant perpendiculairement à l'arrière d'une plaque de
fixation et entre lesquelles vient se déplacer longitudinalement un coulisseau. Celui-ci
est prévu apte à être actionné au moyen d'un organe de manoeuvre accessible au travers
d'une ouverture ménagée dans ladite plaque de fixation. Il agit sur un porte-pêne
prévu apte à recevoir un pêne de verrouillage qui, sous l'action dudit coulisseau,
est susceptible d'être amené à coopérer avec une gâche après fermeture de l'ouvrant
coulissant.
[0009] Cette ferrure de verrouillage comporte également deux organes d'accrochage prévus
pour être mis en place aux extrémités du boîtier après avoir inséré dans ce dernier
le coulisseau précité. En fait, le boîtier est, là encore constitué, de parois parallèles
s'étendant perpendiculairement à l'arrière de la plaque de fixation.
[0010] Ces organes d'accrochage sont adaptés pour coopérer avec le chant de la lumière habituellement
ménagée au niveau de l'ouvrant coulissant pour la réception de ladite ferrure de verrouillage.
L'un au moins de ces organes d'accrochage est prévu élastiquement escamotable. Dans
la mesure où ces organes d'accrochages sont définis de manière à agir dans des directions
longitudinales opposées, cela permet, par exemple, l'accrochage de l'un de ces organes
sur le chant de ladite lumière, à l'une des extrémités longitudinales de cette dernière.
Tandis que par rapport à l'extrémité opposée de cette lumière, l'autre organe d'accrochage
est à même de s'effacer élastiquement pour, après franchissement du bord correspondant
de cette lumière, venir en prise, par rappel élastique, avec le chant de cette dernière.
[0011] Ainsi, cet organe d'accrochage élastiquement escamotable, présente une section ajustée
pour être montée coulissante à une extrémité dans le boîtier, entre, d'une part, les
parois parallèles et, d'autre part, la plaque de fixation et les retours qui équipent,
à leur extrémité libre, lesdites parois parallèles.
[0012] Sur ses parois latérales longitudinales, cet organe d'accrochage comporte, plus particulièrement,
des rainures longitudinales dans lesquelles sont repoussés, après engagement dans
l'extrémité du boîtier, des crevés réalisés au niveau des parois parallèles de ce
dernier.
[0013] Quant au rappel élastique, il est assuré par un ressort venant s'insérer, en partie,
dans un évidement ménagé au niveau de la face arrière de cet organe d'accrochage.
Il prend, par ailleurs, appui contre une languette d'arrêt s'étendant transversalement
dans le boîtier. Cette languette est, là aussi, définie par découpage dans l'une des
parois parallèles.
[0014] En fin de compte, le boîtier est fragilisé en raison des ouvertures nécessaires,
en face arrière et/ou à ses extrémités, pour le montage mobile du coulisseau et il
ne peut procurer qu'une rigidité relative.
[0015] C'est dans le cadre d'une première démarche inventive que l'on a imaginé monter le
coulisseau dans le boîtier de la ferrure, depuis l'ouverture longitudinale que comporte
normalement la plaque de fixation et qui sert habituellement de manière exclusive
à en assurer la manoeuvre.
[0016] Ainsi, l'invention concerne une ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant,
comportant une plaque de fixation présentant une ouverture longitudinale d'accès à
un coulisseau monté mobile axialement dans un boîtier s'étendant perpendiculairement
à l'arrière de la plaque de fixation, caractérisée en ce que le coulisseau est conçu
flexible dans le sens longitudinal pour assurer son insertion, par flexion, dans le
boîtier au travers de l'ouverture longitudinale dans la plaque de fixation.
[0017] Selon une autre particularité de l'invention, le coulisseau comporte des moyens intégrés
de réception d'un porte-pêne.
[0018] Selon l'invention, le boîtier est conçu pour autoriser une mobilité relative du coulisseau
et lui permettre, d'une part, d'atteindre, depuis une position de déverrouillage,
une position de verrouillage et inversement, et, d'autre part, d'occuper une position
de montage-démontage, dans laquelle une des extrémités dudit coulisseau est susceptible
de s'extraire ou, lors du montage, de venir s'insérer dans ledit boîtier au travers
de l'ouverture dans ladite plaque de fixation, alors que l'autre extrémité dudit coulisseau
est engagée dans ledit boîtier.
[0019] Dans ce cas, le boîtier peut, avantageusement, être constitué de manière monobloc
et comporter deux parois latérales parallèles, des parois d'extrémité et un fond,
celui-ci le refermant en partie arrière, sachant qu'en partie avant, il comporte,
de manière solidaire un couvercle que vient définir la plaque de fixation.
[0020] Par ailleurs, selon l'invention, au moins l'une des parois latérales parallèles du
boîtier comporte une ouverture pour le passage de la queue d'un pêne de verrouillage,
de manière apte à permettre la coopération de ce dernier avec ledit porte-pêne associé
au coulisseau monté dans le boîtier.
[0021] Tout particulièrement, l'ouverture dans ladite paroi parallèle latérale dans le boîtier
est définie d'une longueur autorisant au pêne de verrouillage une course, entre une
position de verrouillage et une position de déverrouillage, sous l'impulsion du coulisseau.
[0022] En somme, cette lumière dans la paroi latérale parallèle du boîtier traversé par
la queue du pêne de verrouillage, vient, en coopération de ce dernier, limiter la
course du coulisseau qui, au départ, dispose d'une course plus importante pour pouvoir
être engagé dans le boîtier.
[0023] Selon une autre particularité de l'invention, le boîtier comporte, à chacune de ses
extrémités longitudinales, un organe d'accrochage défini à même d'agir dans des directions
longitudinales opposées et conçu pour coopérer avec le chant d'une lumière ménagée
dans un ouvrant coulissant pour la réception de ladite ferrure de verrouillage, l'un
au moins de ces organes d'accrochage est défini élastiquement escamotable.
[0024] De manière plus particulière, à une de ses extrémités ledit boîtier de ferrure de
verrouillage est prolongé par un boîtier de réception de l'organe d'accrochage élastiquement
escamotable.
[0025] Selon une autre particularité de l'invention, la paroi définissant le fond du boîtier
comporte au moins un décrochement intérieurement audit boîtier, permettant, en particulier,
de rigidifier ce dernier.
[0026] L'objet de la présente invention sera mieux compris à la lecture de la description
qui va suivre se rapportant aux dessins ci-joints, dans lesquels :
La figure 1 est une représentation schématisée et en perspective de la ferrure de
verrouillage selon l'invention ;
La figure 2 est une vue éclatée et en perspective de cette ferrure de verrouillage
pour ouvrant coulissant ;
La figure 3 est une représentation schématisée en élévation du boîtier de la ferrure
de verrouillage ;
La figure 4 est une représentation schématisée en plan de cette ferrure de verrouillage
;
La figure 5 est une représentation en élévation de cette ferrure de verrouillage.
La figure 6 est une vue de détail et en coupe selon VI-VI de la figure 4.
[0027] Tel que représenté dans les figures des dessins ci-joints, la présente invention
a trait à une ferrure de verrouillage 1 pour ouvrant coulissant.
[0028] Elle comporte une plaque de fixation 2 présentant une ouverture longitudinale 3 d'accès
à un coulisseau 4 monté mobile axialement dans un boîtier 5 s'étendant perpendiculairement
à l'arrière de la plaque de fixation 2.
[0029] Le coulisseau 4 agit sur un porte-pêne 6 lequel peut recevoir un pêne de verrouillage
7, représenté schématiquement dans la figure 4.
[0030] Selon l'invention, le coulisseau 4 est conçu flexible dans le sens longitudinal pour
assurer, par flexion, son insertion dans le boîtier 5 au travers de l'ouverture longitudinale
3 de la plaque de fixation 2. Ainsi, ce coulisseau 4 peut être conçu en matière plastique.
La présente invention n'est toutefois pas limitée à une telle conception de ce coulisseau
4.
[0031] Avantageusement, le boîtier 5 est constitué de manière monobloc et comporter deux
parois parallèles latérales 8, 9, reliées, en partie arrière par un fond 10.
[0032] Ce boîtier 5 est encore refermé de part et d'autre par des parois d'extrémité 11,
12, sachant qu'en partie avant il comporte un couvercle que défini la plaque de fixation
2.
[0033] Selon une particularité de l'invention, l'ouverture longitudinale 3 dans la plaque
de fixation 2 est de longueur inférieure à celle du coulisseau 4.
[0034] Ainsi, selon un premier mode de réalisation, l'on vient replier, par flexion, le
coulisseau 4 pour l'introduire dans le boîtier 5 en passant par cette ouverture 3;
[0035] Selon un autre mode de réalisation, la course de ce coulisseau 4 dans le boîtier
5 est définie de sorte que, non seulement, il puisse passer d'une position de verrouillage
dans une position de déverrouillage et inversement, mais, en outre, pour que, dans
un déplacement additionnel pour atteindre une position de montage-démontage, l'une
13 des extrémités du coulisseau 4 soit à même de s'extraire ou de s'engager dans ladite
ouverture longitudinale 3, alors que l'autre extrémité 14 de ce coulisseau 4 est encore
maintenue engagée ou a déjà été insérée dans le boîtier 5 au travers de cette ouverture
3.
[0036] L'on comprend bien que, dans un tel mode de réalisation, cette insertion s'effectue
par une opération de basculement du coulisseau 4 dans le boîtier 5.
[0037] Evidemment, cette course additionnelle dans le boîtier 5 du coulisseau 4 peut être
déterminée ou limitée, en fonction de la flexibilité de ce dernier. Autrement dit,
au travers de cette flexibilité du coulisseau 4 cette course additionnelle peut-être
plus faible en comparaison à un coulisseau qui serait rigide.
[0038] Par ailleurs, on observera que cette flexibilité du coulisseau 4 permet d'envisager
un assemblage sans jeu excessif, de ce dernier dans le boîtier 5.
[0039] De manière toute particulière, ledit coulisseau 4 est défini par deux parties d'extrémité
15, 16 reliées par une lame centrale 17 flexible.
[0040] Avantageusement, l'une des parties d'extrémité 15 définit un boîtier de réception
18 du porte-pêne 6 dont vient à être équipé le coulisseau 4 avant montage dans le
boîtier 5. En somme, le porte-pêne 6 est conçu pour être inséré dans ce boîtier de
réception 18, avant engagement du coulisseau 4 dans le boîtier 5. Il va de soi que
les opérations de montage s'en trouvent facilités. En effet, après avoir positionné
le porte-pêne 6 dans ce boîtier 18 du coulisseau 4, il suffit, dans le cadre d'une
ultime opération, d'engager celui-ci dans son logement que définit le boîtier 5 de
la ferrure pour finaliser l'assemblage de cette dernière.
[0041] A ce propos, au moins l'une des parois parallèles latérales 8, 9 de ce dernier comporte,
au droit dudit porte-pêne 6, une ouverture 19 pour permettre à la queue 20 du pêne
de verrouillage 7 de venir coopérer avec le porte-pêne 6.
[0042] Selon l'invention, cette ouverture 19 est définie pour autoriser à la queue 20, donc
au pêne de verrouillage 7, une course correspondant à son passage de la position de
verrouillage dans la position de déverrouillage et inversement.
[0043] En somme, au travers de sa coopération avec la queue 20 du pêne de verrouillage 7,
cette ouverture 19 vient limiter la course de déplacement du coulisseau 4, course
éventuellement plus importante pour permettre le montage, comme cela été expliqué
plus haut.
[0044] Selon une autre particularité de l'invention, la partie d'extrémité 15 du coulisseau
4, constituant un boîtier de réception 18 du porte-pêne 6, comporte une ouverture
27 d'accès à une vis de serrage 29 pour le blocage de la queue 20 du pêne de verrouillage
dans ledit porte-pêne 6. Plus particulièrement, cette ouverture 28 dans la partie
d'extrémité 15 du coulisseau 4 est définie pour être rendue accessible lorsque ce
dernier est repoussé dans une position, par exemple de déverrouillage comme visible
dans la figure 4.
[0045] De manière particulière, le fond 10 du boîtier 5 comporte au moins un décrochement
21 intérieurement audit boîtier 5, permettant, en particulier, de rigidifier ce dernier.
[0046] Selon une autre particularité de l'invention, le coulisseau 4 comporte des moyens
d'indexation de sa position de verrouillage et de déverrouillage, prévus aptes à coopérer
avec des moyens d'indexation complémentaire que reçoit le boîtier 5.
[0047] Tout particulièrement, à son extrémité 14, opposée à la partie d'extrémité 15 comportant
le porte-pêne 16, ledit coulisseau 4 peut être prolongé d'une ou plusieurs lames élastiques
22 munies d'au moins un bossage d'indexation 23 à même de coopérer avec des évidements
24, constituant les moyens d'indexation complémentaires que comporte le fond 10 du
boîtier 5. Là encore, en raison du caractère flexible du coulisseau 4, ces lames élastiques
22 peuvent être obtenues par moulage en matière plastique dudit coulisseau 4.
[0048] Comme visible sur les figures des dessins ci-joints, les évidements 24 sont conçus
au niveau du décrochement 21 que comporte ce fond 10, à une extrémité 25 de ce boîtier
5.
[0049] A ce propos, la paroi d'extrémité 12 que comporte ce dernier à cette extrémité 25
présente, avantageusement, une ou des ouvertures 26 que peuvent traverser la ou les
lames élastiques 22, par exemple pour conférer au coulisseau 4 cette mobilité relative
additionnelle par rapport au boîtier 5 pour permettre le montage.
[0050] A noter, encore, que des moyens de rappels élastiques 27 peuvent agir entre cette
paroi d'extrémité 12 et l'extrémité correspondante 14 du coulisseau 4 pour assurer
un rappel automatique de ce dernier, par exemple en position de verrouillage.
[0051] Selon l'invention, encore, la ferrure de verrouillage 1 comporte deux organes d'accrochage
30, 31 définis à même d'agir dans des directions longitudinales opposées et conçues
pour coopérer avec le chant de la lumière, dans un ouvrant coulissant, dans laquelle
est destinée à être rapportée ladite ferrure de verrouillage 1.
[0052] Tout particulièrement, au-delà de l'une des parois d'extrémité 11, le boîtier 5 est
prolongé par un boîtier 32 de réception d'un organe d'accrochage 31 défini élastiquement
escamotable.
[0053] Ainsi, dans ce boîtier de réception 32, cet organe d'accrochage 31 est monté coulissant
contre l'action de moyens de rappels élastiques 33 ce qui lui permet de s'effacer
par rapport au chant correspondant de la lumière dans l'ouvrant coulissant quand on
vient y emboîter ladite ferrure de verrouillage.
1. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant, comportant une plaque de fixation
(2) présentant une ouverture longitudinale (3) d'accès à un coulisseau (4) monté mobile
axialement dans un boîtier (5) s'étendant perpendiculairement à l'arrière de la plaque
de fixation (2), caractérisée en ce que le coulisseau (4) est conçu flexible dans le sens longitudinal pour assurer son insertion,
par flexion, dans le boîtier (5) au travers de l'ouverture longitudinale (3) dans
la plaque de fixation (2).
2. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant, selon la revendication 1, caractérisée par le fait que le coulisseau (4) comporte deux parties d'extrémité (15, 16) reliées par une lame
centrale (17) flexible.
3. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant, selon l'une quelconque des revendications
précédentes, caractérisée par le fait que le coulisseau (4) est conçu en matière plastique.
4. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant, selon l'une quelconque des revendications
précédentes, caractérisée par le fait que le boîtier (5) est constitué de manière monobloc et comporte deux parois parallèles
latérales (8, 9), reliées, en partie arrière, par un fond (10), ce boîtier (5) étant
encore refermé, de part et d'autre, par des parois d'extrémité (11, 12), sachant qu'en
partie avant il comporte un couvercle défini par la plaque de fixation (2).
5. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant, selon la revendication 4, caractérisée par le fait que le boîtier (5) est conçu pour autoriser une mobilité relative du coulisseau (4) et
lui permettre, d'une part, d'atteindre, depuis une position de déverrouillage, une
position de verrouillage et inversement, et, d'autre part, d'occuper une position
de montage-démontage, dans laquelle une (13) des extrémités (13, 14) dudit coulisseau
(4)est susceptible de s'extraire ou, lors du montage, de venir s'insérer dans ledit
boîtier (5) au travers de l'ouverture (3) dans ladite plaque de fixation (2), alors
que l'autre extrémité(14) dudit coulisseau (4) est engagée dans ledit boîtier (5).
6. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant, selon l'une quelconque des revendications
2 à 5, caractérisée par le fait que l'une des parties d'extrémité (15) du coulisseau (4) définit un boîtier de réception
(18) d'un porte-pêne (6).
7. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant, selon la revendication 6, caractérisée par le fait qu'au moins l'une des parois latérales parallèles (8, 9) du boîtier (5) comporte une
ouverture (19) pour le passage d'une queue (20) d'un pêne de verrouillage (7), de
manière apte à permettre la coopération de ce dernier avec ledit porte-pêne (6) associé
au coulisseau (4) monté dans le boîtier (5).
8. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant, selon la revendication 7, caractérisée par le fait que l'ouverture (19) dans ladite paroi parallèle latérale (8, 9) du boîtier (5) est définie
d'une longueur autorisant au pêne de verrouillage (7) une course, entre une position
de verrouillage et une position de déverrouillage, sous l'impulsion du coulisseau
(4).
9. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant, selon l'une quelconque des revendications
précédentes, caractérisée par le fait que le coulisseau (4) comporte des moyens d'indexation (23) de sa position de verrouillage
et de déverrouillage, prévus aptes à coopérer avec des moyens d'indexation complémentaire
(24) que comporte le boîtier (5).
10. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant, selon la revendication 9, caractérisée par le fait que les moyens d'indexation (23) sont constitués par une ou plusieurs lames élastiques
(22) prolongeant, à une extrémité (14), le coulisseau (4), et munies d'au moins un
bossage d'indexation (23) à même de coopérer avec des évidements (24), constituant
les moyens d'indexation complémentaires que comporte le boîtier (5), notamment au
niveau de son fond (10).