[0001] La présente invention concerne les boîtiers de dispositif d'éclairage et/ou de signalisation
pour véhicule automobile, ainsi que les dispositifs d'éclairage et/ou signalisation
les intégrant, du type projecteur ou feu. Dans la suite du présent texte, on fera
référence davantage à des projecteurs, par soucis de concision, mais sans aucun caractère
limitatif.
[0002] Dans le domaine automobile, les contraintes d'aspect sur les pièces visibles une
fois montées dans le véhicule sont très élevées. C'est le cas, notamment, des projecteurs
de conception récente dits à glace lisse, qui permettent à l'observateur de voir des
pièces optiques derrière la glace, comme le masque ou le réflecteur, ce qui n'est
pas (moins) le cas des projecteurs de conception souvent plus ancienne dits à glace
striée.
[0003] De fait, avec les projecteurs à glace lisse tout particulièrement, il devient inacceptable
d'avoir présentes dans le projecteur des poussières ou particules qui sont susceptibles
de devenir visibles à l'oeil nu pour l'observateur. Or, il y a de nombreuses raisons
pour lesquelles, notamment dans le processus d'assemblage du projecteur, il y ait
des poussières volantes qui entrent dans le projecteur: il peut s'agir par exemple
de résidus d'ébavurage de pièces plastiques, des résidus fibreux d'emballage de composants.
Ces poussières ont tendance, sous l'effet de manipulations du projecteur lors de son
assemblage, lors de son transport ou lors de son montage sur véhicule, à tomber sous
l'effet de la gravité, en partie basse du boîtier du projecteur, souvent à la jonction
entre le boîtier et la glace, et elles deviennent alors visibles sur le produit fini,
ce qui n'est pas satisfaisant sur le plan esthétique. Comme le plus souvent, ces poussières
sont en plastique, elles ont en effet tendance, sous l'effet de forces électrostatiques,
à migrer vers la zone frontale visible du projecteur sous l'effet de chocs, manipulations
ou vibrations.
[0004] L'invention a alors pour but de remédier à ce problème, notamment en cherchant des
moyens pour éviter ou limiter tout problème d'aspect de dispositifs d'éclairage ou
de signalisation lié à la présence visible de poussières à l'intérieur desdits dispositifs.
[0005] L'invention a tout d'abord pour objet un boîtier de dispositif d'éclairage et/ou
signalisation pour véhicule automobile, conçu de telle façon qu'au moins une partie
de ses parois internes et/ou au moins une partie de la surface de ses composants internes
est munie d'un revêtement aux propriétés adhésives.
[0006] Ce revêtement sert alors de piège pour toutes les particules, fibres, résidus regroupés
ci-après sous la dénomination de poussières volantes : quand le projecteur est manipulé,
les poussières s'envolent dans l'espace défini par le projecteur, Puis, sous l'effet
de la gravité, elles tendent à « retomber », notamment en partie basse du projecteur.
Le revêtement selon l'invention va permettre de fixer les poussières qui viennent
à son contact, de façon efficace, et dans des zones non visibles une fois le projecteur
fini, à savoir les parois internes du projecteur, et/ou sur la surface de tout composant
donc des surfaces qui restent cachées une fois le projecteur assemblé, vu de l'extérieur.
[0007] Il peut s'agir, par exemple, de la surface interne de la bonnette ou du couvercle
fermant un trou pratiqué dans le boîtier pour permettre de monter et changer la lampe,
ou encore de la face arrière du masque (le masque étant un composant « cosmétique
» du projecteur, qui assure la continuité de surface entre le réflecteur et la paroi
du boîtier, et qui peut avoir un aspect brillant similaire à celui d'un réflecteur,
ou mat).
[0008] Quand on dépose le revêtement sur les parois internes du boîtier, on privilégie un
dépôt au moins en partie basse dudit boîtier (dans le contexte de l'invention, les
adjectifs « haut » ou « bas » sont relatifs à la position du projecteur une fois monté
dans le véhicule) : c'est dans effet dans cette zone que les poussières ont tendance
à s'accumuler.
[0009] Selon l'invention, le revêtement conserve avantageusement dans le temps ses propriétés
adhésives : il est important qu'il soit adhésif lors de l'assemblage du projecteur,
mais il est également avantageux qu'il conserve au moins partiellement ses propriétés
jusqu'au montage du projecteur dans le véhicule. De préférence, on choisit le revêtement
pour qu'il garde ses propriétés adhésives, au moins partiellement, au moins quelques
mois après avoir été posé, par exemple au moins 6 mois, voire durant toute la durée
de vie du projecteur (même si ses propriétés adhésives peuvent décroître dans le temps,
soit parce qu'il se modifie chimiquement au cours du temps, soit parce qu'il devient
au moins localement « saturé » de poussières, et qu'il n'est donc plus actif). Mais
ses propriétés adhésives sont surtout importantes quand les risques de contamination
par des poussières sont les plus fortes, à savoir à l'assemblage et au montage du
projecteur.
[0010] Avantageusement, le revêtement peut être continu ou discontinu : il peut s'agir d'une
couche d'épaisseur variable ou constante, ou d'un revêtement discontinu, par exemple
sous forme de gouttelettes, ou d'une couche très fine avec des zones où l'épaisseur
devient nulle.
[0011] Sa nature et ses caractéristiques dépendent généralement de son mode d'obtention
:
- selon une première variante, le revêtement est à base d'adhésif double face. On peut
alors, par exemple, le déposer sous forme de bandes sur le pourtour et/ou sur la paroi
la plus basse du projecteur.
- selon une seconde variante, le revêtement est déposé sous forme liquide ou semi-liquide,
qui se solidifie ou se gelifie après dépôt, de préférence rapidement quelques minutes
au plus et en tout cas avant 5 minutes. Il peut alors s'agir d'une préparation associant
éventuellement au produit actif, adhésif un ou plusieurs solvants ou additifs. Il
est préférable, bien sûr, que le produit actif et ses éventuels solvants ou additifs
soient choisis compatibles chimiquement avec la surface qu'il doit recouvrir, qui
est généralement en matière plastique, du type Polypropylène PP, Polycarbonate PC....).
Plusieurs modes d'application sont possibles : on peut utiliser une technique de tamponnage
avec un tissus ou une mousse imbibée du produit, une technique de « pistolletage »,
au pinceau, ou par un système de spray. On privilégie généralement la technique permettant
une automatisation la plus aisée du traitement, notamment ici le tamponnage ou le
spray.
[0012] On dépose donc de préférence le revêtement sur le boîtier seul du projecteur, avant
intégration des pièces optiques visibles du type lampe, réflecteur ou lentille : on
s'assure ainsi que le revêtement ne sera présent que sur des zones cachées du projecteur
une fois fini, sans avoir besoin de système de dépôt avec masquage.
[0013] Concernant le choix de la nature chimique du revêtement, les inventeurs ont découvert
qu'un produit particulièrement efficace et simple à mettre en oeuvre est à base de
précurseur de colle thermodurcissable ou thermoplastique dite bi composant, mais sans
adjonction du second composant qui sert d'agent réticulant ou durcisseur ou catalyseur
: on utilise un seul des précurseurs des colles dites bi composant, au lieu de faire
le mélange des deux composants comme il faudrait le faire pour avoir une colle qui
durcit. Il peut s'agir d'un précurseur de colle polyuréthane, prépolymère polyol sans
ajout de l'isocyanate ou silicone, sans ajout de son agent catalyseur. Il peut aussi
s'agir de précurseur de résine thermoplastique du type acrylique, polyamide, polyester.
[0014] L'invention a également pour objet un dispositif d'éclairage et/ou de signalisation
pour véhicule automobile, comprenant le boîtier décrit plus haut, qui est notamment
associé à une glace de fermeture pour délimiter l'espace intérieur du dispositif en
question.
[0015] Avantageusement, on peut prévoir un moyen additionnel complémentaire pour s'assurer
que l'essentiel des poussières volantes seront effectivement piégées en zone non visible
dans le projecteur : on munit alors de préférence le dispositif d'éclairage /signalisation
d'au moins une cavité destinée à piéger des particule du type poussières et disposée
à proximité de la jonction entre le boîtier (1) et la glace de fermeture. On peut
aussi utiliser ce type de cavité indépendamment du revêtement adhésif : on a ainsi
un piège « mécanique » complétant ou remplaçant l'effet du piège « chimique » obtenu
avec le revêtement adhésif.
[0016] On utilise ainsi des « pièges » physiques cette fois, consistant à disposer à la
jonction entre zones cachées et zone visibles du projecteur des sortes d'encoches/
de zones formant des labyrinthes formant des cavités, où les poussières qui n'auraient
pas déjà été piégées par le revêtement adhésif vont avoir tendance à « tomber » sous
l'effet de la gravité, sans pouvoir en ressortir ensuite. C'est en effet dans ou à
proximité de ces zones de jonction, qu'il est le plus intéressant de mettre ces moyens
qui font barrière aux poussières, car elles ne sont pas toujours « étanches » aux
poussières, les poussières pouvant localement au moins passer du ou des compartiments
« cachés » du projecteur à sa partie visible, côté glace de fermeture.
[0017] Selon une variante préférée, la cavité est délimitée au moins en partie par une marche
pratiquée dans la paroi inférieure interne du boîtier. Selon une autre variante, qui
peut se cumuler avec la précédente, elle peut aussi être délimitée au moins en partie
par la paroi d'un composant interne du dispositif, notamment un prolongement d'un
masque ou écran.
[0018] L'invention a également pour objet des dispositifs d'éclairage/signalisation qui
présentent ce type de cavité, indépendamment de la présence ou non des revêtements
aux propriétés adhésives décrits plus haut.
[0019] De façon préférée, les dispositifs selon l'invention utilisent à la fois des revêtements
aux propriétés adhésives (piège « chimique ») et des cavités (piège « physique »),
afin de garantir une solution améliorée au problème technique posé.
[0020] L'invention a également pour objet le procédé de traitement d'un boîtier de dispositif
d'éclairage et/ou signalisation pour véhicule automobile, où l'on dépose un revêtement
aux propriétés adhésives sur au moins une partie de ses parois internes et/ou au moins
une partie de la surface de ses composants internes, en vue de piéger d'éventuelles
particules ou poussières.
[0021] L'invention a également pour objet le véhicule muni du dispositif d'éclairage et/ou
signalisation précédemment décrit.
[0022] L'invention sera détaillée ci-après avec des exemples non limitatifs, à l'aide des
figures suivantes :
- fig.1 : une représentation d'un traitement d'un boîtier de projecteur selon l'invention
- Fig.2 : une représentation d'un détail du boîtier traité selon la figure 1
- fig.3 : une coupe verticale d'une représentation schématique d'un projecteur selon une seconde
variante de l'invention
- fig.4 : une coupe verticale d'une représentation schématique d'un projecteur selon une
troisième variante de l'invention
Exemple 1
[0023] Un boîtier de projecteur est traité selon l'invention de la manière suivante :
Comme représenté à la figure 1, le boîtier 1, qui est en polypropylène chargé, est
traité avant l'assemblage des pièces optiques (lampes, réflecteurs ...) et la fixation
de la glace de fermeture. Certains des composants du projecteur peuvent avoir été
préalablement fixés au boîtier, comme des fils de connexion électrique ou des couvercles
de trous 2 à l'arrière du boîtier pour permettre de rendre accessible l'intérieur
du projecteur une fois assemblé. On vient, à l'aide d'un pistolet sous air comprimé
3, pulvériser sur la paroi interne 4 du boîtier une solution de l'un des composants
de la colle polyuréthane bi composant vendue par la société National sous la dénomination
commerciale Bondmaster U232 : au lieu de faire le mélange du composant de type polyol
et du composant du type isocyanate pour avoir de la colle, on ne pulvérise que le
composant de type polyol (résine prépolymère). Alternativement, on peut utiliser le
composant polyol de la colle polyuréthane vendue par la même société sous la dénomination
commerciale Bondmaster U432. Le dépôt est de préférence effectué sur tout l'intérieur
du boîtier, il sèche en quelques minutes, pour constituer un revêtement transparent
et collant au doigt. L'assemblage se poursuit ensuite de façon connue, en atmosphère
non contrôlée. Juste avant montage sur véhicule, on vérifie qu'aucune poussière n'est
visible au travers de la glace. Puis on démonte la glace : on constate alors que des
poussières et particules ont été piégées par le revêtement collant, comme le montre
la figure 2, qui est un agrandissement d'une zone traitée du boîtier, les poussières
étant représentées sous forme de petites taches claires 5 sur le boîtier 1 de couleur
sombre. Les poussières ont une taille variable, mais certaines au moins visibles à
l'oeil nu.
Exemple 2
[0024] On renouvelle le traitement avec un revêtement de nature différente : il s'agit d'un
des composants de la colle bicomposant à base de silicone vendue par la société GE
silicone sous la dénomination commerciale SEA210A/210 B. Le traitement n'utilise que
l'agent collant à base de silicone, mais pas le deuxième composant qui est un catalyseur.
Les résultats sont identiques à celui de l'exemple 1 : le projecteur a un aspect satisfaisant,
et des poussières ont bien été piégées par le revêtement.
[0025] On peut aussi traiter, en même temps que le boîtier ou à part, les couvercles/capots
utilisés pour fermer les trous 2 prévus dans le boîtier.
Exemple 3
[0026] Cet exemple consiste à associer au dépôt d'un revêtement adhésif de l'exemple 2 une
modification dans la conception du boîtier du projecteur, comme représenté à la figure
3. La figure 3 est une vue schématique en coupe verticale d'un projecteur, représentant
le boîtier 1 (les mêmes références sont utilisées que dans les autres figures pour
désigner le même composant), le réflecteur 6, la lampe 7, la glace de fermeture du
boîtier 8, le masque 9, la gorge de collage 10 de la glace 8 sur le boîtier 1. Cette
gorge correspond donc à la zone de jonction glace/boîtier du projecteur. La paroi
interne de la paroi la plus basse 10 du boîtier 1 a été modifiée localement : on a
créé un dénivelé, une marche 11, aux bords arrondis de préférence, à proximité de
la gorge de collage. De fait, on a ainsi une cavité 12, essentiellement délimitée
d'un côté par le palier inférieur de cette marche et du côté opposé par la face arrière
du masque 9.
[0027] Par ailleurs, comme mentionné, plus haut, on a déposé avant l'assemblage le revêtement
décrit à l'exemple 2 sur les parois internes du boîtier (le dépôt du revêtement sur
la paroi du boîtier délimitant la cavité 12 est optionnel).
[0028] Ainsi, les poussières présentes dans le projecteur, en cas de choc ou vibration,
tendent à se coller au revêtement. Et les particules qui auraient échappé à ce collage
vont tendre à glisser sur la paroi basse du boîtier jusqu'à la cavité 12, sans pouvoir
ensuite en ressortir facilement en direction de la glace 8.
Exemple 4
[0029] C'est une variante de l'exemple 3, illustré à l'aide de la figure 4, qui de façon
schématique représente une coupe verticale d'un projecteur. On retrouve les mêmes
éléments qu'à la figure 3, mais il s'agit ici d'un projecteur à module optique de
type elliptique, donc avec également une lentille de Fresnel 13 disposé devant la
lampe 7. La cavité 11 est dans cette configuration délimitée également par une marche
10 dans le profil de la paroi basse du projecteur, la hauteur de la marche étant plus
faible qu'à l'exemple 3. Ici, la forme du masque 9 a été également modifiée : elle
a été prolongée en partie basse (partie 9a), de façon à doubler/couvrir la zone la
plus basse de la glace 8 à proximité de la gorge de collage 10. La cavité 12 forme
donc une enveloppe définie par le pallier inférieur de la marche pratiquée dans le
boîtier, par le prolongement 9a du masque et par la face arrière dudit masque 9 :
les poussières qui entrent dans la cavité 12 vont, si elles tendent à se diriger vers
la glace, buter contre le masque 9 et retomber dans la cavité.
[0030] Dans cet exemple comme le précédent, le revêtement adhésif peut être dépose sur toutes
les parois internes du boîtier, ou seulement sur son pourtour ou seulement en partie
basse, y compris ou excluant la paroi du boîtier délimitant la cavité11.
[0031] On peut bien sûr modifier la géométrie de la cavité 12 ou de la marche 11 tout en
restant dans l'esprit de l'invention : la marche n'est pas nécessairement à bords
arrondis, et peut être oblique, non strictement perpendiculaire par rapport aux paliers
inférieur et/ou supérieur du boîtier qui la délimitent. La cavité peut être locale,
ou être disposée tout le long et à proximité de la jonction glace/boîtier.
1. Boîtier (1) de dispositif d'éclairage et/ou signalisation pour véhicule automobile,
caractérisé en ce qu'au moins une partie de ses parois internes et/ou au moins une partie de la surface
de ses composants internes est munie d'un revêtement aux propriétés adhésives.
2. Boîtier selon la revendication 1, caractérisé en ce que le revêtement est apte à piéger des particules (5) ou fibres ou des poussières.
3. Boîtier selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le revêtement est continu ou discontinu.
4. Boîtier selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le revêtement est à base d'adhésif double face.
5. Boîtier selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que le revêtement est déposé sous forme liquide ou semi liquide, notamment par tamponnage,
pistolletage, au pinceau, ou par un système de spray.
6. Boîtier selon l'une des revendications 1 à 3 ou selon la revendication 5, caractérisé en ce que le revêtement est à base de précurseur de colle thermodurcissable sans adjonction
d'agent réticulant/durcisseur/catalyseur.
7. Boîtier selon l'une des revendications 1 à 3 ou selon la revendication 5, caractérisé en ce que le revêtement est à base de précurseur de colle polyuréthane ou silicone ou de résine
thermoplastique du type acrylique, polyamide, polyester.
8. Dispositif d'éclairage et/ou de signalisation pour véhicule automobile, caractérisé en ce qu'il comprend le boîtier (1) selon l'une des revendications précédentes, qui notamment
est associé à une glace de fermeture (8).
9. Dispositif d'éclairage et/ou de signalisation selon la revendication 8, caractérisé en ce qu'il comprend au moins une cavité (12) destinée à piéger des particule du type poussières
et notamment disposée à proximité de la jonction entre le boîtier (1) et la glace
de fermeture (8).
10. Dispositif d'éclairage et/ou de signalisation selon la revendication 9, caractérisé en ce que la cavité (12) est délimitée au moins en partie par une marche (11) pratiquée dans
la paroi inférieure interne du boîtier (1).
11. Dispositif d'éclairage et/ou de signalisation selon la revendication 9 ou la revendication
10, caractérisé en ce que la cavité (12) est délimitée au moins en partie par la paroi d'un composant interne
du dispositif, notamment un prolongement (9a) d'un masque (9) ou écran.
12. Procédé de traitement d'un boîtier de dispositif d'éclairage et/ou signalisation pour
véhicule automobile, caractérisé en ce qu'on dépose un revêtement aux propriétés adhésives sur au moins une partie de ses parois
internes et/ou au moins une partie de la surface de ses composants internes, en vue
de piéger d'éventuelles particules ou poussières.
13. Véhicule automobile caractérisé en ce qu'il est muni du dispositif d'éclairage et/ou signalisation selon l'une des revendications
8 à 11.