[0001] La présente invention concerne une serrure pour le blocage temporaire d'une barrière
ou porte, par rapport à un dormant, du type comprenant :
-- un pêne coulissant entre une première position extrême rétractée (libérant ladite
porte) et une seconde position extrême active (bloquant la porte) ;
-- un moyen de rappel du pêne vers l'une des dites positions extrêmes ;
-- une goupille fixée sur ledit pêne ;
-- un guide rotatif incorporant une partie formant came associée à ladite goupille;
-- une poignée liée audit guide par un mécanisme d'entraînement.
[0002] On connaît déjà de telles serrures, destinées notamment à la fermeture temporaire
ou le blocage en position fermée, de manière temporaire, d'une porte ou d'une barrière.
Plus particulièrement, l'invention est applicable aux serrures de blocage de barrière
de jardin ou de clôture, et encore plus particulièrement de clôture entourant un bassin
de natation ou piscine.
[0003] Les serrures, de manière générale, doivent pouvoir remplir deux fonctions relativement
contradictoires : d'une part de bloquer de manière fiable une porte ou une barrière,
et d'autre part permettre l'ouverture, c'est-à-dire le déblocage, de ladite porte
ou barrière de manière aisée et rapide.
[0004] Dans le cas de barrière de clôture entourant une piscine, ou un lieu à accès réservé,
ces contraintes sont plus fortes. En effet, il importe, pour des raisons de sécurité,
que des personnes non autorisées, et notamment des enfants, ne puissent ouvrir la
porte en position fermée, sans que l'ouverture de la barrière par des personnes autorisées,
ne soit trop compliqué, et en tout cas ne nécessite pas de clé.
[0005] Les serrures connues, dans de telles applications, ne sont pas pleinement satisfaisantes
au regard de ces exigences.
[0006] L'invention propose une serrure améliorée, permettant l'accès aux personnes autorisées,
de manière simple et rapide sans outil ni clé, tout en l'empêchant l'accès à une certaine
catégorie de personnes, notamment des enfants, voire des animaux domestiques dont
la capacité d'adaptation et de compréhension des mécanismes peuvent leur permettre
d'ouvrir une barrière ou une porte.
[0007] À cette fin, selon l'invention, la serrure pour le blocage temporaire d'un élément
pivotant, tel qu'une barrière ou une porte, par rapport à un dormant, du type comprenant
:
-- un pêne coulissant entre une première position extrême rétractée (libérant ladite
porte) et une seconde position extrême active (bloquant la porte) ;
-- un moyen de rappel du pêne vers l'une des dites positions extrêmes ;
-- une goupille fixée sur ledit pêne
-- un guide rotatif incorporant une partie formant came associée à ladite goupille;
-- une poignée liée audit guide par un mécanisme d'entraînement,
est caractérisée en ce que ledit mécanisme d'entraînement est du type débrayable.
[0008] Avantageusement, le mécanisme d'entraînement est actionné par deux mouvements successifs
de la poignée, et plus précisément, un premier mouvement de translation, et un second
mouvement de rotation.
[0009] Particulièrement, ledit mécanisme d'entraînement comporte des moyens de friction
entre la poignée et le guide.
[0010] De manière avantageuse, la serrure comporte un élément entraînant, lié à la poignée,
susceptible de se déplacer en translation et de venir en contact avec un élément entraîné,
lié au guide par l'intermédiaire desdits moyens de friction
[0011] Précisément, ledit élément entraînant est un disque, et en ce que lesdits moyens
de friction sont constitués d'un élément en matériau élastomère, caoutchouc, plastique,
à fort coefficient de frottement, et l'élément entraîné constitue un intermédiaire
entre les moyens de friction et ledit guide.
[0012] Ledit élément entraîné est formé d'une entretoise, fixée au dit guide.
[0013] La serrure comporte un ressort de rappel de l'élément entraînant vers l'une de ses
positions extrêmes.
[0014] Afin d'améliorer le maintien du pêne dans la gâche, même en cas d'application d'une
force, intentionnelle ou accidentelle, sur le montant portant la serrure, ou sur le
portillon ou barrière mobile, la serrure comporte en outre des moyens de guidage et
de maintien du pêne, constitués d'une part d'une plaque de guidage fixés sur la barrière
(portillon) mobile et comprenant une découpe de forme allongée, et d'autre part d'un
manchon fixé sur la serrure, dans lequel est susceptible de se déplacer en translation
ledit pêne, le manchon étant apte à pénétrer dans ladite découpe, et incluant en outre
un élément en saillie apte à porter contre ladite plaque.
[0015] Plus précisément, ledit manchon comporte une première partie cylindrique prolongée
par une collerette en forme de tronc de cône relativement aplati.
[0016] L'invention sera bien comprise à la lumière des dessins annexés, représentant des
formes de réalisation de l'invention, montrées à titre illustre actif, mais nullement
limitatif.
[0017] La figure 1 est une vue en perspective, en transparence, de la serrure de l'invention
dans une première position.
[0018] La figure de est une vue en perspective, en transparence, de la serrure de l'invention
dans une seconde position.
[0019] La figure 3 est une vue en coupe de la serrure de la figure 1, selon un plan vertical.
La figure 4 est une vue en coupe selon la ligne 4 -- 4 de la figure 3
[0020] La figure 5 est une vue en coupe de la serrure de la figure 2, selon un plan vertical.
[0021] La figure 6 est une vue en coupe de dessus selon la ligne 6-6 de la figure 4.
[0022] La figure 7 est une vue éclatée des différents constituants de la serrure de l'invention.
[0023] La figure 8 est une vue en perspective montrant une barrière et le dormant, associés
à la serrure de l'invention.
[0024] La figure 9 est une vue schématique partielle montrant de dessus la serrure et une
partie de la barrière associée, pourvues d'un moyen de guidage et de maintien de la
serrure.
[0025] La figure 10 est une vue de face dudit moyen de guidage.
[0026] La figure 11 est une vue de dessus schématique d'un moyen de guidage additionnel.
[0027] En référence aux figures 1 à 4, la serrure de l'invention comporte un corps cylindrique
1, en forme de tube métallique dont la partie supérieure est recouverte d'un capuchon
2 formant poignée d'actionnement de la serrure comme il sera décrit ci-après. Le corps
1 présente un axe longitudinal X-X, vertical lorsque la serrure est en place, sur
une barrière ou une porte, non représentée et connue en elle-même.
[0028] Il est fait référence ci-après à la notion de « vertical », en référence aux figures
montrant la serrure dans sa position telle qu'elle est fixée ou montée sur une barrière
ou une porte (non représentée). Ainsi, les notions de « inférieure » et « supérieure
», se réfèrent à la direction verticale en soi.
[0029] À la base du corps 1, est monté à translation radiale un pêne 3 cylindrique dans
un fourreau 4 de forme complémentaire. Le pêne 3 est susceptible de se déplacer en
translation dans le fourreau 4 entre deux positions extrêmes :
-- une première position extrême rétractée dans ledit fourreau 4 (figures 1 et 3)
ou la pêne 3 dépasse peu ou d'une toute petite partie de sa longueur par rapport au
fourreau 4 ;
-- une seconde position extrême active, où le pêne 3 dépasse plus largement du fourreau
4 (figures 2 et 5).
[0030] Le pêne 3 est susceptible de s'engager par son extrémité distale, opposée au corps
1, dans un orifice ou une encoche (non présentés), de forme générale complémentaire,
prévu dans un dormant (non représenté) associé à ladite barrière ou porte sur laquelle
est fixée la serrure de l'invention.
[0031] Ainsi, de manière connue en soi dans son principe, la pêne 3, dans sa position active,
empêche l'ouverture de la barrière, tandis que dans sa position rétractée, il libère
le mouvement de rotation de ladite barrière.
[0032] La pêne 3 subit une force de rappel vers sa position active par un ressort de compression
5 (figures 3 et 5) disposé au fond du fourreau 4 et portant sur l'extrémité proximale
du pêne 3.
[0033] Le passage du pêne 3, d'une position extrême à l'autre, est réalisé par l'action
de l'utilisateur sur la poignée supérieure 2, par l'intermédiaire d'un mécanisme d'entraînement
décrit ci-après plus en détail et qui comporte, en partant de la poignée 2 :
-- un disque d'entraînement 6 solidaire d'un manchon 7 cylindrique monté à coulissement
sur un arbre central 8 selon l'axe longitudinal X-X du corps cylindrique 1. L'arbre
central 8 est solidaire à sa partie supérieure de ladite poignée 2 ;
-- un élément torique 9 en matériau à fort coefficient de frottement, notamment en
relation avec des pièces en métal, est disposé sur un premier disque entraîné 10 (figures
3, 4 et 6);
-- un second disque entraîné 11 est disposé de manière concentrique avec et est lié
au premier disque entraîné 10 par des entretoises 11A, 11B et 11C ; le disque entraîné
11 comporte une découpe ou ouverture, formant came 12 ;
-- une goupille 13 d'axe parallèle à l'axe X-X, est susceptible de dépasser par son
extrémité supérieure libre et de porter contre les bords de ladite came 12, et est
fixée par son extrémité inférieure sur le pêne 3.
[0034] Le fonctionnement du dispositif est le suivant, en partant de la position active
du pêne 3 (figures 2, 5 et 6), où la serrure bloque la barrière, par la coopération
de l'extrémité libre du pêne 3 avec l'encoche ou l'orifice prévu sur le dormant.
[0035] L'utilisateur avec la paume de sa main (non représentée) appuie sur le capuchon ou
poignée 2 en forme de dôme selon l'axe vertical X-X, dans une direction descendante,
et ce à l'encontre du ressort de rappel 14 (figures 1 et 2) prévu concentriquement
au manchon 7. Le ressort 14 porte par son extrémité supérieure sur la partie intérieure
concave de la poignée 2, et par son extrémité inférieure sur une cloison discale 15
fixe solidaire du corps cylindrique 1.
[0036] Le mouvement descendant de la poignée 2, de quelques millimètres, entraîne celui
du manchon 7 et du disque d'entraînement 6. Le mouvement de translation axiale longitudinale
est poursuivi jusqu'à ce que le disque d'entraînement 6 porte contre l'élément torique
9.
[0037] L'utilisateur, tout en maintenant la pression sur la poignée 2 à l'encontre du ressort
de rappel 14, effectue alors un second mouvement, de rotation autour de l'axe X-X.
Le disque d'entraînement 6 porte sur l'élément torique 9 et, par frottement, entraîne
également celui-ci en rotation. L'élément torique 9 qui porte contre le premier disque
entraîné 10, entraîne ce dernier en rotation, également par friction.
[0038] Les matériaux respectifs du disque d'entraînement 6, du premier disque entraîné 10,
et de l'élément torique 9 sont choisis pour réaliser un frottement important, permettant
l'entraînement par contact et pression du disque entraîné 10. L'élément torique 9
constitue un organe d'entraînement par friction, en position intermédiaire entre le
disque d'entraînement 6 et le premier disque entraîné 10.
[0039] Le disque entraîné 10, dont son mouvement de rotation entraîne la rotation du second
disque entraîné 11. Compte tenu de la forme de la découpe formant came 12, la goupille
13 en suivant les bords de la came se déplace en translation radiale (perpendiculairement
à l'axe X-X). Le déplacement de la goupille 13 entraîne la translation du pêne 3,
vers sa position rétractée, à l'encontre du ressort de rappel 5, et telle que montrée
sur les figures 1, 3 et 4.
[0040] L'utilisateur, tout en maintenant la pression et la position de la poignée (en translation
d'abord et en rotation ensuite comme expliqué ci-dessus), entraîne avec sa main et
son bras la barrière en rotation de quelques degrés sur son axe vertical. Ceci libère
la barrière du dormant.
[0041] L'utilisateur peut alors relâcher la poignée 2. Par l'action du ressort de rappel
14, le disque d'entraînement 6 reprend sa position initiale et ne porte plus contre
l'élément torique 9 de friction. Le pêne 3 est alors libre, sous l'action du ressort
de rappel 5, de revenir à sa position active en saillie (figures 2, 5 et 6).
[0042] La fermeture de la barrière sur le dormant ne nécessite pas d'action sur la poignée
2 par l'utilisateur. En effet, ce dernier en repoussant la barrière vers le dormant,
fait que l'extrémité libre du pêne 3 porte contre le dormant par un galet ou roulette
15 monté libre à rotation selon un axe parallèle à l'axe X-X. Le galet 15 dépasse
de l'extrémité libre du pêne 3 de manière à porter contre le dormant. L'inertie de
la barrière dans son mouvement de fermeture s'oppose à la force de rappel du ressort
de rappel 5 et repousse la pêne 3, qui s'appuie sur le dormant, vers sa position rétractée.
Une fois la barrière dans sa position de fermeture par rapport au dormant, la pêne
est alors libre sous l'action du ressort de rappel 5, de reprendre sa position en
saillie, par pénétration du pêne dans le l'encoche ou l'orifice prévu sur le dormant.
[0043] On décrit ci-après, en référence aux figures 8 à 11, une caractéristique avantageuse
de l'invention, et visant à améliorer la sécurité et le contrôle de l'accès à une
zone, telle qu'une piscine par exemple.
[0044] Même en position fermée de la porte de la barrière, il peut arriver qu'une action
mécanique accidentelle ou intentionnelle, sur le dormant, où est disposée la serrure,
entraîne le désengagement du pêne avec la gâche.
[0045] A cette fin, il est prévu sur le portillon où est disposée la gâche, un système de
guidage du pêne visant à empêcher le dégagement de celui-ci dans les conditions mentionnées
ci-dessus.
[0046] Sur la figure 8, a été représenté un ensemble barrière fixe et portillon ou porte
mobile. L'ensemble comporte un premier montant 16 sur lequel est fixée à un élément
de barrière fixe 17, et sur lequel est articulée, selon un axe vertical, une barrière,
porte ou portillon 18. le portillon 18 comporte un montant 19 à son extrémité distale
(opposée à l'articulation du portillon sur le montant fixe 16).
[0047] En position fermée du portillon 18, comme montré sur la figure 8, l'ensemble comporte
un second montant fixe 20, sur lequel est fixée une autre barrière fixe 21, et pourvu
d'un piétement 22.
[0048] Le second montant fixe inclut en sa partie supérieure une serrure 23 de l'invention
telle que décrite précédemment, et comportant un pêne 24 faisant saillie dudit montant,
et apte à coopérer et venir se loger dans une gâche 25 prévue sur le montant distal
19 du portillon 18.
[0049] Le système de guidage de l'invention est constitué de deux éléments.
[0050] Le premier élément est une plaque de guidage 26, montrée sur les figures 9 et 10,
de préférence métallique, coudée à environ 90°, et comportant une première partie
27 sensiblement dans l'axe du portillon 18, et une seconde partie 28, sensiblement
transversale audit axe.
[0051] Comme montré sur la figure 10, en vue de face, c'est-à-dire dans la direction de
l'axe longitudinal du portillon, la seconde partie 28 de l'élément de guidage 26 comporte
une découpe 29 de forme allongée, constitué d'une première partie 30 en entonnoir,
une partie centrale sensiblement cylindrique 31, et une partie terminale 32 élargie.
[0052] Le second élément du système de guidage de l'invention, et qui coopère avec la plaque
de guidage 26, est prévu sur la serrure 23, sous la forme d'un manchon 33. Ce dernier
comporte une première partie cylindrique 34 prolongée par une collerette 35 en forme
de tronc de cône relativement aplati. A l'intérieur du manchon 33 est susceptible
de se déplacer en translation le pêne 24.
[0053] Lors du mouvement du portillon en fermeture, comme montré par la flèche F de la figure
9, le manchon 33 pénètre dans la découpe 29 prévue sur l'élément de guidage 26 : d'abord
dans la partie 30 formant entonnoir, puis la partie centrale 31, puis dans la partie
élargie 32 et vient finalement se loger le manchon 33. En cette position fermée du
portillon, la collerette 35 porte contre la face interne de l'élément 26, tournée
vers le portillon 18. Entretemps, bien entendu, le pêne 24 s'est d'abord rétracté
dans le manchon 33, puis ensuite il a repris sa position d'extension, sous l'effet
du ressort disposé à l'intérieur de la serrure, en pénétrant dans la gâche 25 prévue
sur le portillon.
[0054] Ainsi, en position engagée du manchon 33 (solidaire de la serrure et donc du montant
dormant 23) dans l'élément de guidage 26, même en exerçant une force sur le montant
dormant 23, il n'est pas possible de dégager le pêne de la gâche.
[0055] Il est possible de prévoir un autre système de guidage, similaire, en partie basse
:
■ du montant 23 sous la forme d'un second manchon 36, voir figure 11 ;
■ du montant distal 19 du portillon, sous la forme d'une seconde plaque de guidage
(non présentée) similaire à la plaque 26 montrée sur la figure 9.
[0056] Ainsi, la liaison entre le dormant et le battant (portillon) s'en trouve plus fiable
en position fermée du portillon.
1. Serrure pour le blocage temporaire d'un élément pivotant (18), tel qu'une barrière
ou une porte, par rapport à un dormant (23), du type comprenant :
-- un pêne (3) coulissant entre une première position extrême rétractée (libérant
ladite porte) et une seconde position extrême active (bloquant la porte) ;
-- un moyen de rappel (5) du pêne (3) vers l'une des dites positions extrêmes;
-- une goupille (13) fixée sur ledit pêne (3) ;
-- un guide rotatif (11) incorporant une partie formant came (12) associée à ladite
goupille (13) ;
-- une poignée (2) liée audit guide (11) par un mécanisme d'entraînement (6, 9, 10)
du type débrayable,
-- un élément entraînant (6), lié à la poignée (2), susceptible de se déplacer en
translation et de venir en contact avec un élément entraîné (10), lié au guide (11),
caractérisée en ce que le passage du pêne (3), d'une position extrême à l'autre, est réalisé par l'action
de l'utilisateur sur la poignée (2) par l'intermédiaire du mécanisme d'entraînement
(6, 9, 10), ce mécanisme d'entraînement étant actionné par deux mouvements successifs
de la poignée (2)
2. Serrure selon la revendication 1, caractérisée en ce que le mécanisme d'entraînement réalise un premier mouvement de translation, et un second
mouvement de rotation
3. Serrure selon la revendication 2, caractérisée en ce que ledit élément entraînant (6) est un disque, en contact avec l'élément entraîné (10)
par des moyens de friction (9) en matériau élastomère, caoutchouc, plastique, à fort
coefficient de frottement.
4. Serrure selon la revendication 3, caractérisée en ce que les moyens de friction (9) sont constitués d'un élément torique (9)
5. Serrure selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce que ledit élément entraîné (10) est formé d'une entretoise (11A, 11 B, 11 C), fixée au
dit guide (11).
6. Serrure selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'elle comporte des moyens (28) de guidage et de maintien du pêne (3), constitués d'une
part d'au moins une plaque de guidage (28) fixée sur la barrière (18) mobile et comprenant
une découpe (29) de forme allongée, et d'autre part d'au moins un manchon (33) fixé
sur la serrure, dans lequel est susceptible de se déplacer en translation ledit pêne
(3), le manchon (33) étant apte à pénétrer dans ladite découpe (29), et incluant en
outre un élément en saillie (35) apte à porter contre la dite plaque (28).