[0001] La présente invention concerne un ensemble de fermeture destiné à la rénovation d'une
ouverture d'habitation, notamment une fenêtre, comprenant une menuiserie équipée d'un
coffre de volet roulant, venant se fixer sur le dormant initial de l'ouverture.
[0002] On sait que lors de la rénovation d'une ouverture d'une habitation une option de
travail consiste à maintenir en place le dormant initial et à venir fixer sur celui-ci
une nouvelle menuiserie. Lorsque l'on souhaite équiper cette dernière d'une fermeture,
telle qu'un volet roulant, il est nécessaire au poseur de relever les cotes non seulement
de l'ouverture du dormant initial mais également de celles du tableau dans lequel
sera disposée la menuiserie puisque c'est sur les faces latérales, ou jambages, de
celui-ci que seront fixées les coulisses du volet roulant qui, outre leur fonction
de guidage, assurent le maintien du coffre.
[0003] Un premier inconvénient de la technique de pose habituelle antérieure provient du
fait que la prise des dimensions nécessaires à la fabrication de la fermeture est
différente de celle effectuée pour la fabrication de la menuiserie, ce qui a pour
effet d'augmenter les risques d'erreurs sur les cotes relatives de ces éléments.
[0004] Un second inconvénient provient des éléments techniques mis en oeuvre. En effet,
lors de la phase de mise en place, le poseur commence par fixer le nouveau dormant
sur l'ancien puis, une fois cette opération terminée, il procède à la pose du coffre
de volet roulant. Cette dernière opération s'avère très difficile, à tel point qu'elle
requiert la plupart du temps les efforts conjugués de deux personnes, et ceci sans
exclure pour autant toute prise de risques pour celles-ci ou pour les personnes à
l'entour. Ces difficultés proviennent notamment de ce que le coffre doit être pourvu,
avant sa mise en place, des deux coulisses latérales destinées à guider en cours d'utilisation
le déroulement du tablier du volet roulant, puisque ce sont ces coulisses qui, lorsqu'elles
seront fixées sur les jambages du tableau, assureront le maintien du coffre. Cette
opération de mise en place consiste ainsi à introduire, par l'ouverture libre du dormant,
le coffre ainsi équipé de ses coulisses, ce qui impose d'introduire cet ensemble suivant
la diagonale du dormant, à le redresser une fois passé celui-ci et à le maintenir
en position jusqu'à ce que la fixation des coulisses dans les jambages du tableau
soit effectuée.
[0005] On sait qu'une telle opération est source de risques très importants, d'une part
pour la sécurité des poseurs en raison du poids du coffre et de l'important porte-à-faux
de celui-ci qui est particulièrement difficile à contrôler et qui peut entraîner leur
défenestration, et d'autre part pour la sécurité des passants en cas de chute du coffre.
[0006] Un troisième inconvénient résulte du fait que l'étape de fixation des coulisses sur
les jambages du tableau est en elle-même difficile en raison notamment des défauts
de rectitude habituelle de ceux-ci, ce qui impose de réaliser une compensation et
complique ainsi l'opération de fixation.
[0007] De plus, les coulisses sont habituellement positionnées dans le passage du tableau,
si bien qu'elles créent des obstacles, sources de risques de blessures pour l'occupant
ou de risques d'arrachement pour les coulisses elles-mêmes.
[0008] Enfin le coffre est visible de l'intérieur de la pièce au travers de l'ouvrant de
la nouvelle menuiserie.
[0009] La présente invention propose de remédier à ces multiples inconvénients en permettant
notamment au poseur d'opérer seul, facilement, rapidement et de plus dans d'excellentes
conditions de sécurité pour lui-même et pour son entourage.
[0010] La présente invention a ainsi pour objet un ensemble de fermeture d'une ouverture
d'habitation délimitée sur sa périphérie par un tableau, comprenant une menuiserie
et un coffre de volet roulant,
caractérisé en ce que ledit coffre comporte des moyens d'accrochage aptes à coopérer avec des moyens complémentaires
de la menuiserie pour assurer son maintien en position sur celle-ci.
[0011] Ces moyens d'accrochage pourront être constitués d'un ensemble complémentaire orifices/tenons
et/ou orifice/crochet.
[0012] Les tenons pourront être disposés sur le coffre et l'on réalisera des orifices récepteurs
sur le dormant, ou à l'inverse on pourra disposer les tenons sur le dormant et réaliser
les orifices récepteurs sur le coffre.
[0013] De façon à assurer un maintien satisfaisant du coffre une fois que les tenons auront
pris place dans les orifices récepteurs, les tenons comporteront préférentiellement
un état de surface rugueux, notamment constitué de stries ou d'un filetage.
[0014] De façon à faciliter la mise en place du coffre sur le dormant les tenons pourront
être inclinés par rapport au coffre du haut vers le bas et de l'extérieur vers l'intérieur.
[0015] Pour faciliter le transport du coffre et éviter que les tenons ne soient détériorés
au cours de celui-ci, ils pourront être pourvus de moyens leur permettant d'occuper
deux positions par rapport au coffre, à savoir une position rétractée, ou position
de transport, dans laquelle ils seront logés dans celui-ci, et une position sortie
ou position de mise en place.
[0016] De façon intéressante les tenons pourront être constitués d'éléments cylindriques
filetés qui seront vissés dans une partie solidaire du coffre, et notamment dans un
boîtier fixé sur ce dernier.
[0017] Suivant l'invention on utilisera les coulisses qui sont destinées à assurer le guidage
du tablier du volet roulant lorsque celui-ci passe de la position d'ouverture à la
position de fermeture, pour assurer la fixation du coffre. A cet effet les coulisses
seront solidarisées à leur partie supérieure avec le coffre, notamment par la pénétration
d'un élément vertical du coffre, et particulièrement un élément baïonnette, dans les
coulisses.
[0018] La présente invention permet de faciliter et simplifier le montage en fixant les
coulisses non pas sur le tableau mais sur le dormant de la menuiserie, ce qui permet
d'éviter tous les problèmes de compensation rendus nécessaires par les irrégularités
des jambages du tableau.
[0019] De façon à masquer le coffre aux yeux des habitants du local, le dormant de la menuiserie
sera préférentiellement pourvu d'une imposte dont la hauteur sera voisine de celle
du coffre. Eventuellement cette imposte sera pourvue d'un passage de ventilation.
[0020] De façon à permettre de régler le positionnement de la face supérieure du coffre
par rapport au plafond du tableau, les moyens de maintien du coffre sur la menuiserie
seront avantageusement pourvus de moyens de réglage en hauteur, ces moyens pouvant
être de type pas à pas ou de type continu ou progressif.
[0021] On décrira ci-après, à titre d'exemple non limitatif, une forme d'exécution de la
présente invention, en référence au dessin annexé sur lequel :
- la figure 1a est une vue de face d'un tableau de fenêtre et du dormant initial restant
en position dans celui-ci,
- la figure 1b est une vue en coupe partielle verticale et transversale du tableau et
du dormant initial représentés sur la figure 1,
- la figure 2 est une vue en coupe verticale et transversale du tableau et du dormant
initial représentés sur les figures 1a et 1b sur lequel on a mis en place une nouvelle
menuiserie et une nouvelle fermeture, constituée par un volet roulant dont le coffre
est représenté en position de mise en place,
- la figure 3 est une vue en coupe verticale et transversale des éléments de la figure
2 après mise en place du coffre et des coulisses associées à celui-ci,
- la figure 4 est une vue en coupe d'un tenon de maintien du coffre sur le dormant,
- la figure 5 est une vue en coupe d'un crochet de maintien du coffre sur le dormant,
- la figure 6 est une vue en perspective arrière du coffre représenté sur les figures
précédentes,
- la figure 7 est une vue en coupe transversale partielle d'un mode de maintien du coffre
sur le dormant,
- la figure 8 est une vue en coupe horizontale d'un mode d'accrochage à l'aide d'un
tenon dont la position sur le coffre est réglable de façon continue,
- les figures 9a et 9b sont des vues de côté d'une autre variante de mise en oeuvre
de moyens d'accrochage d'un coffre sur le dormant d'une fenêtre, constituée d'un téton
rétractable, respectivement représenté en position de transport (position rétractée)
et en position d'assemblage (position sortie),
- la figure 10 est une vue en coupe transversale partielle d'un coffre et d'une ouverture
sur laquelle celui-ci est accroché.
[0022] On a représenté sur les figures 1a, 1b, 2 et 3 un tableau 1 d'une ouverture de fenêtre
que l'on souhaite rénover en conservant son dormant initial 3. Cette opération consiste
à disposer sur celui-ci une nouvelle menuiserie 5 composée d'un dormant 5a et d'un
ouvrant 5b ainsi qu'une fermeture constituée d'un volet roulant 7 comprenant un coffre
8 et des coulisses 10.
[0023] La première étape de cette opération consiste en une prise de mesures qui, à l'inverse
des méthodes de l'état antérieur de la technique, est effectuée uniquement sur le
dormant initial 3. On mesure ainsi la cote H et la cote
L soient la hauteur et la largeur respectives de l'ouverture du dormant initial 3 et
éventuellement la cote
e représentant la hauteur de dépassement de la partie supérieure du dormant initial
3 sous le plafond 1a du tableau 1. Suivant l'invention, les dimensions non seulement
de la menuiserie 5 mais également de la fermeture constituée par le volet roulant
7 se déduiront de ces cotes, ce qui a pour effet de diminuer les sources d'erreur,
dans la mesure où toutes les dimensions de la menuiserie 5 et de la fermeture 7 sont
déterminées par rapport aux mêmes références.
[0024] De façon habituelle, le dormant 5a de la menuiserie 5 sera fixée par l'intérieur
de la pièce concernée sur le dormant initial 3, ainsi que représenté sur la figure
2 et les étanchéités seront réalisées.
[0025] Suivant l'invention, ainsi que représenté sur les figures 2 et 6, le fond 8a du coffre
8, c'est-à-dire la face de celui-ci destinée à être appliquée contre le dormant 5a,
est pourvu de deux tenons 9, et la partie supérieure du dormant 5a est pourvue de
deux orifice 12 de dimensions complémentaires de façon à recevoir ces tenons.
[0026] Une telle disposition permet une mise en place du coffre 8 extrêmement facilitée,
dans la mesure où le poseur, après avoir passé le coffre 8 à travers l'ouverture de
la menuiserie 5 (ce qui est une opération facile puisque les coulisses ne sont pas
encore solidarisées au coffre) a seulement à positionner et introduire les deux tenons
9 dans les orifices récepteurs 12 suivant la flèche A de la figure 2, pour que le
coffre 8 se trouve accroché sur le dormant 5, laissant ainsi au poseur tout le temps
qui lui est nécessaire pour pouvoir en toute quiétude procéder à sa fixation définitive.
On comprend qu'une telle opération d'une part minimise les risques de chute tant pour
le poseur que pour le coffre et, d'autre part, peut être effectuée dans la plupart
des cas par un seul poseur.
[0027] Afin de faciliter le maintien du coffre 8 ainsi posé, les tenons 9 posséderont préférentiellement
un état de surface rugueux destiné à leur conférer une bonne adhérence dans les orifices
12, et pourront notamment, ainsi que représenté sur la figure 4, être pourvus de petites
rainures circulaires 13.
[0028] Bien entendu l'accrochage du coffre 8 sur le dormant 5a pourrait être obtenu en disposant
les tenons 9 sur ce dernier et en réalisant les orifices récepteurs 12 sur le coffre
8. On pourrait également faire appel à tout autre mode de fixation.
[0029] On pourrait ainsi, au lieu des tenons 9, doter le fond 8a du coffre 8 de crochets
14, ainsi que représenté sur la figure 5, ou de tout autre dispositif assurant une
fonction de maintien du coffre 8 par accrochage sur le dormant 5a.
[0030] L'enroulement du tablier (non représenté sur le dessin) à l' intérieur du coffre
8 est tel que la sortie de celui-ci se situe près du dormant 5a ainsi que représenté
sur la figure 3. De façon connue, les extrémités latérales de la base 8b du coffre
8 sont pourvues de baïonnettes 15 qui prennent respectivement place dans un logement
longitudinal 10a de chaque coulisse 10 et qui assurent ainsi la solidarisation, dans
le sens transversal à la coulisse, du coffre 8 avec cette dernière.
[0031] Suivant l'invention le dormant 5 est tel que, lorsque les baïonnettes 15 sont enfilées
dans les coulisses 10 qui leur sont associées, ces dernières se trouvent en appui
contre la partie verticale du dormant, si bien que les coulisses sont fixées, notamment
par vissage, sur ce dernier. Un tel mode de fixation est particulièrement intéressant
dans la mesure où il permet d'éviter les opérations de compensation qui sont nécessaires
suivant le système habituel afin de pallier les inégalités de surface des jambages
du tableau 1 lorsque les coulisses sont fixées sur ce dernier.
[0032] Ces différentes opérations réalisées, il suffit au poseur de disposer les différents
habillages notamment destinés à masquer le dormant initial 3.
[0033] Ainsi que représenté sur les figures 2 et 3 la partie supérieure du dormant 5 pourra
comporter une imposte 11 qui permettra de masquer le coffre 8 à la vue des habitants
de la pièce concernée. Cette imposte 11 pourra éventuellement supporter des orifices
de ventilation.
[0034] On remarquera que, suivant les situations, la partie horizontale supérieure 3b du
dormant initial 3 peut dépasser sous le tableau d'une hauteur
e plus ou moins importante suivant la situation propre à chaque habitation, si bien
que, en fonction du positionnement relatif en hauteur des tenons 9 sur le dormant
5a la distance
e' entre la face supérieure 8c du coffre 8 et le plafond 1a du tableau 1 peut varier.
Afin de compenser une telle variation on peut jouer sur le positionnement en hauteur
des tenons 9 par rapport à la face supérieure 8c du coffre 8, de façon à les positionner
par rapport aux orifices récepteurs 12 du dormant 5a pour que, une fois les tenons
9 mis en place dans les orifices 12, la face supérieure 8c du coffre soit voisine
du plafond 1a du tableau 1, ainsi que représenté sur la figure 7.
[0035] A cet effet, ainsi que représenté sur les figures 4 et 6, les tenons 9 pourront être
fixés sur le coffre 8 au moyen de vis 16 qui prendront place dans des trous filetés
17 réalisés dans le fond 8a de celui-ci. De façon à permettre un ajustement du positionnement
en hauteur du coffre 8 par rapport au dormant 5a, on pourra, ainsi que représenté
sur les figures 4 et 6, disposer les trous filetés 17 verticalement suivant un axe
yy' de façon qu'ils soient espacés d'une distance égale à un pas de réglage a. Si
l'on souhaite disposer d'un écartement
e' maximal de 1 cm, on peut ainsi prévoir un pas de réglage
a de l'ordre du centimètre.
[0036] Bien entendu il est possible de conserver les tenons 9 fixes sur le coffre 8 et prévoir
sur le dormant une série de trous récepteurs superposés.
[0037] On peut également faire en sorte que, quel que soit le débordement
e du dormant initial, la face supérieure 8b du coffre 8 vienne quasiment affleurer
le plafond du tableau 1 en montant les tenons sur des moyens réglables en continu,
notamment des moyens de coulissement, ainsi que représenté à titre d'exemple sur la
figure 8.
[0038] Dans cet exemple de mise en oeuvre de l'invention le fond 8a du coffre 8 est creusé
de deux rainures verticales 20 à section droite en forme de T qui débouchent sur l'extérieur,
à l'intérieur desquelles sont montés des coulisseaux respectifs 22 de forme complémentaire.
Les tenons 9 sont creusés d'une cavité longitudinale 24 et leur fond est traversé
par une vis 26 qui vient se visser dans un trou fileté du coulisseau 22. On peut ainsi
positionner le tenon 8 par déplacement vertical du coulisseau 22 dans la rainure 20
et, une fois que celui-ci est dans la position souhaitée, c'est-à-dire une position
qui permette notamment de faire tangenter la face supérieur 8c du coffre avec le plafond
1a du tableau, ainsi que représenté sur la figure 7, on serre la vis 26 bloquant ainsi
le coulisseau 22 contre la paroi interne de la rainure 20.
[0039] On a représenté sur les figures 9a, 9b et 10 une variante de mise en oeuvre des moyens
d'accrochage du coffre 8 sur une menuiserie, à savoir le dormant 5a d'une fenêtre.
[0040] Suivant celle-ci on fixe sur les joues latérales 8d du coffre 8, par exemple au moyen
de rivets 28, un bloc de fixation 30 qui est percé de deux trous filetés 32 qui sont
décalés verticalement d'une distance
a égale au pas de réglage que l'on souhaite adopter, et sont inclinés du haut vers
le bas et de l'extérieur vers l'intérieur du coffre 8 d'un angle d'environ 10°. Ces
trous filetés sont destinés à recevoir un tenon fileté 9' dont l'extrémité externe
est creusée d'une empreinte 34, notamment cruciforme, destinée à former prise à un
tournevis, et l'extrémité interne est pourvue d'une tête 36 formant butée.
[0041] En position de transport, ainsi que représenté sur la figure 9a, le tenon 9' est
en position rétractée si bien qu'il ne dépasse pas du coffre 8 ce qui permet de le
protéger durant la manutention du coffre. Lorsque l'utilisateur souhaite mettre en
place ce dernier sur le dormant 5a de la menuiserie, il introduit un tournevis dans
l'empreinte 34 et procède au dévissage du tenon 9' ce qui a pour effet de l'extraire
du coffre et de le mettre en position déployée, ainsi que représenté sur la figure
9b.
[0042] Dans cette position l'inclinaison facilite la mise en place du coffre sur le dormant
et le frottement des filets du filetage de la vis 9' contre la paroi verticale de
celui-ci prévient tout glissement. Ainsi que dans le mode de mise en oeuvre de la
figure 6, le décalage vertical
a des trous 32 permet à l'installateur de choisir celui qui est en mesure d'assurer
le meilleur positionnement vertical du coffre par rapport au plafond 1a du tableau
1.
1. Ensemble de fermeture d'une ouverture d'habitation délimitée sur sa périphérie par
un tableau (1), comprenant une menuiserie (5) et un coffre (8) de volet roulant, caractérisé en ce que ledit coffre (8) comporte des moyens d'accrochage (9,9',14) aptes à coopérer avec
des moyens complémentaires (12) de la menuiserie (5) pour assurer son maintien en
position sur celle-ci.
2. Ensemble de fermeture suivant la revendication 1 caractérisé en ce que les moyens d'accrochage sont constitués d'un ensemble complémentaire orifices/ tenons
(12,9,9') et/ou orifice/crochet (12,14).
3. Ensemble de fermeture suivant la revendication 2 caractérisé en ce que les tenons (9,9') sont disposés sur le coffre (8).
4. Ensemble de fermeture suivant l'une des revendications 2 ou 3 caractérisé en ce que les tenons (9) comportent un état de surface rugueux, notamment constitué de stries
(13) ou d'un filetage.
5. Ensemble de fermeture suivant l'une des revendications 2 à 4, caractérisé en ce que les tenons (9') sont inclinés du haut vers le bas et de l'extérieur vers l'intérieur
par rapport au coffre.
6. Ensemble de fermeture suivant l'une des revendications 2 à 5 caractérisé en ce que les tenons (9') sont pourvus de moyens leur permettant d'occuper deux positions par
rapport au coffre (8), à savoir une position rétractée, ou position de transport,
dans laquelle ils sont logés dans celui-ci, et une position sortie ou position de
mise en place.
7. Ensemble de fermeture suivant la revendication 6 caractérisé en ce que les tenons (9') sont constitués d'éléments cylindriques filetés qui sont vissés dans
une partie solidaire du coffre (8), et notamment un boîtier.
8. Ensemble de fermeture suivant l'une des revendications précédentes dans lequel le
volet roulant (7) lorsqu'il passe de la position d'ouverture à la position de fermeture
est guidé dans des coulisses latérales (10) caractérisé en ce que la fixation du coffre (8) en position est assurée par l'intermédiaire des coulisses
(10).
9. Ensemble de fermeture suivant la revendication 8 caractérisé en ce que les coulisses (10) sont solidarisées à leur partie supérieure avec le coffre (8).
10. Ensemble de fermeture suivant la revendication 9 caractérisé en ce que la solidarisation de la partie supérieure des coulisses (10) avec le coffre est assurée
par la pénétration d'un élément vertical (15) du coffre et notamment un élément baïonnette
(15) dans les coulisses (10).
11. Ensemble de fermeture suivant l'une des revendications 8 à 10, caractérisé en ce que les coulisses (10) sont fixées sur le dormant (5a) de la menuiserie (5).
12. Ensemble de fermeture suivant l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le dormant (5a) de la menuiserie (5) est pourvu d'une imposte (11) dont la hauteur
est voisine de celle du coffre (8).
13. Ensemble de fermeture suivant l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que les moyens de maintien du coffre (8) sur la menuiserie (5) sont pourvus de moyens
de réglage en hauteur.
14. Ensemble de fermeture suivant la revendication 13, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont de type pas à pas.
15. Ensemble de fermeture suivant la revendication 13, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont de type continu.