[0001] L'invention concerne un levier d'un dispositif pour la fermeture et le serrage d'une
chaussure de sport, ce dispositif comprenant deux organes de liaison aptes à coopérer
ensemble, et étant particulièrement adapté aux chaussures rigides comme une chaussure
de ski. Elle porte aussi sur chacun de ces organes de liaison et sur un dispositif
de fermeture et serrage en tant que tels. Enfin, elle porte sur une chaussure de sport
équipée d'un tel dispositif de fermeture et serrage.
[0002] La figure 1 illustre une chaussure de ski classique 1 de l'art antérieur, composée
d'un collier 2 articulé sur une coque 3. Ces deux parties rigides 2, 3 sont ouvertes
au niveau de la partie antérieure de la chaussure, formant une échancrure qui facilite
le chaussage et le déchaussage malgré la rigidité de la chaussure. Cette dernière
est en outre munie de quatre dispositifs de fermeture et serrage 4, deux sur le collier
2 et deux sur la coque 3, du type de celui illustré sur la figure 2. Chaque dispositif
de fermeture et serrage 4 se compose de deux organes de liaison complémentaires. Le
premier organe comprend une embase 5 apte à une fixation sur la chaussure, portant
un levier 6 de serrage monté mobile en rotation sur l'embase 5 autour d'un axe 7,
apte à entraîner un tirant 8 monté sur le levier 6 autour d'un autre axe 9, et lié
à une partie terminale 10 de l'organe de liaison dont l'extrémité comprend une tirette
transversale de liaison 11. Le second organe comprend une embase 15 pour sa fixation
sur une chaussure, une crémaillère 16 comprenant différentes dents 17 aptes à coopérer
avec la tirette transversale de liaison 11 et représentant différents degrés de serrage.
Chaque organe de liaison de ce dispositif de liaison 4 est fixé sur la chaussure de
part et d'autre de l'échancrure, l'embase 5 du premier organe se trouvant fixé sur
une partie latérale 19 rigide de la chaussure, en vis à vis avec l'embase 15 du second
organe de liaison fixé sur un rabat 20 généralement plus souple apte à recouvrir l'échancrure
de la chaussure.
[0003] Les figures 3 et 4 illustrent une phase de serrage d'un autre dispositif de fermeture
et serrage de l'art antérieur, pour lequel les mêmes références seront utilisées pour
une raison de simplicité. Ce dispositif diffère principalement de celui représenté
sur la figure 2 en ce que sa partie terminale 10 ne comprend pas une unique tirette
mais différentes dents 21 qui peuvent coopérer avec des dents 17 correspondantes du
second organe de liaison non représenté. Ainsi, la figure 3 illustre une phase de
fermeture et serrage, dans laquelle un utilisateur 25 exerce une force d'appui sur
le levier 6, à partir d'une position ouverte du levier 6, alors que la partie terminale
10 est fixée sur l'organe correspondant non représenté, de sorte d'obtenir la rotation
de ce levier 6 autour de son axe de rotation 7 sur son embase 5, jusqu'à atteindre
la position d'équilibre stable de fermeture représentée sur la figure 4. Cette position
fermée finale est une position stable car la structure de l'organe de liaison forme
une fermeture de type genouillère.
[0004] Il ressort de ce fonctionnement que la phase de fermeture et serrage est d'autant
plus efficace et facile que le levier 6 est long, pour faciliter sa préhension et
former un bras de levier important. En revanche, en position fermée, il est avantageux
que le levier 6 soit le moins encombrant possible et donc le plus court possible,
afin d'éviter les risques d'accrochage involontaire qui pourraient entraîner l'ouverture
de la chaussure, voire des chutes du skieur.
[0005] Pour répondre à ces deux exigences contradictoires, une solution de l'art antérieur
propose un levier comprenant une partie mobile permettant de l'allonger puis de le
raccourcir. Avec une telle solution, un utilisateur possède ainsi la possibilité de
pouvoir allonger manuellement le levier quand il le juge utile en phase de serrage,
puis de le laisser en position courte en position fermée. Toutefois, une telle solution
n'est pas conviviale puisque l'allongement du levier est manuel. Ainsi, elle risque
soit de ne pas être utilisée soit de se trouver involontairement dans une mauvaise
position au mauvais moment.
[0006] Ainsi, un objet de la présente invention consiste à proposer un autre dispositif
de fermeture et serrage pour chaussure de sport qui améliore de manière conviviale
la performance du serrage sans nécessiter un encombrement supplémentaire à la surface
d'une chaussure de sport.
[0007] Selon le concept de l'invention, le levier de l'organe de serrage comprend un moyen
d'allongement automatique ou semi-automatique, lui permettant d'atteindre une position
plus longue en position ouverte.
[0008] L'invention est plus précisément définie par les revendications.
[0009] Ces objets, caractéristiques et avantages de la présente invention seront exposés
en détail dans la description suivante d'un mode d'exécution particulier fait à titre
non-limitatif en relation avec les figures jointes parmi lesquelles :
La figure 1 est une vue de côté d'une chaussure de ski de l'art antérieur.
La figure 2 illustre un dispositif de fermeture et serrage de l'art antérieur.
La figure 3 illustre une phase de fermeture et serrage d'un dispositif de fermeture
et serrage de l'art antérieur.
La figure 4 illustre la position fermée du dispositif de fermeture et serrage de l'art
antérieur.
La figure 5 illustre une vue de côté d'un levier d'un dispositif de fermeture et serrage
en position ouverte selon un premier mode d'exécution de l'invention.
La figure 6 illustre une vue de côté en coupe du levier en position fermée selon le
premier mode d'exécution de l'invention.
La figure 7 illustre une vue en perspective de dessus du levier en position ouverte
selon le premier mode d'exécution de l'invention.
La figure 8 illustre une vue en perspective de dessous du levier en position fermée
selon le premier mode d'exécution de l'invention.
La figure 9 illustre une vue de côté d'un levier d'un dispositif de fermeture et serrage
en position ouverte selon un second mode d'exécution de l'invention.
La figure 10 illustre une vue de côté du levier en position fermée selon le second
mode d'exécution de l'invention.
La figure 11 illustre une vue en perspective de côté du levier en position ouverte
selon le second mode d'exécution de l'invention.
La figure 12 illustre une vue en perspective de dessous du levier en position fermée
selon le second mode d'exécution de l'invention.
[0010] Les figures 5 à 8 illustrent un levier 36 d'un organe de liaison d'un dispositif
de fixation et serrage selon un premier mode d'exécution de l'invention. Le levier
36 comprend un logement 37 pour recevoir un axe de rotation pour sa fixation en rotation
sur une embase 35 destinée à une fixation sur la paroi 30 d'une chaussure de ski,
représentée schématiquement. Il comprend de plus un second logement 39 distinct du
logement 37, adaptée pour la fixation d'un tirant non représenté.
[0011] Selon l'invention, le levier 36 comprend de plus une rallonge mobile 40, montée mobile
en translation par rapport au levier 36 de sorte de pouvoir occuper une position allongée
telle que représentée sur les figures 5 et 7 et une position courte telle que représentée
sur les figures 6 et 8. Cette translation est facilitée par des glissières aménagées
sur au moins un de ces deux composants, qui remplissent la fonction de guidage et
maintien de la rallonge mobile lors de son déplacement, au niveau de la surface supérieure
du levier. La rallonge mobile 40 est liée au levier 36 par un moyen d'allongement
qui comprend, dans ce premier mode d'exécution :
- un levier 41, qui peut être sous la forme d'une lame en métal ou plastique, monté
mobile en rotation autour d'un axe transversal 42 disposé vers l'extrémité du levier
36 opposée à son axe de rotation, et s'étendant sous le levier 36 en direction de
la paroi 30 de la chaussure,
- un élément de liaison 43 fixé sur l'extrémité arrière de la rallonge mobile 40 et
traversant une lumière 44 s'étendant longitudinalement sur une partie de la longueur
du levier 36,
- une biellette 45 repliée d'une part à l'extrémité inférieure du levier 41 et à la
partie inférieure de l'élément de liaison 43,
- deux ressorts 46 travaillant en extension longitudinale, comprenant une première extrémité
fixée sur le levier 36 et une seconde extrémité fixée sur la rallonge mobile 40. Ces
deux ressorts 46 sont disposés parallèlement dans des parties creuses 47 aménagées
latéralement dans la surface supérieure du levier 36.
[0012] Le fonctionnement de ce levier 36 va maintenant être expliqué. Dans une position
ouverte, c'est-à-dire une position dans laquelle le levier n'est pas plaqué contre
la paroi 30 de la chaussure pour serrer cette dernière, les ressorts 46 s'approchent
d'une position de repos dans laquelle la rallonge mobile 40 occupe une position allongée,
s'étendant bien au-delà de l'extrémité du levier 36. Dans cette position allongée,
l'élément de liaison 43 lié à la rallonge mobile 40 occupe une position vers l'extrémité
du levier 36 au sein de la lumière 44. Dans cette position, la biellette 45 positionne
le levier 41 dans une position sensiblement perpendiculaire à la paroi 30 de la chaussure.
Ainsi, dans une position ouverte, le levier 36 présente automatiquement une configuration
allongée sous l'effet d'un moyen élastique consistant ici en des ressorts 46. Cette
configuration allongée permet à un utilisateur une préhension plus facile du levier
36 et un bras de levier plus important facilitant sa manipulation en vue d'un serrage.
[0013] Lorsque l'utilisateur actionne ce levier 36 vers le bas pour serrer la chaussure,
le levier 41 vient prendre appui sur la paroi 30 de la chaussure, puis la poursuite
de la pression de serrage par l'utilisateur entraîne la mise en rotation du levier
41 autour de son axe de rotation 42. En remarque, pour faciliter cette rotation, le
levier 41 présente un angle inférieur à 90 degrés avec le plan tangent de la surface
30 lors son appui sur ce plan. Cette rotation entraîne le déplacement en translation
de l'élément de liaison 43 par l'intermédiaire de la biellette 45, ce qui entraîne
le mouvement de translation de la rallonge mobile 40 jusqu'à une position courte dans
laquelle elle se trouve escamotée sur la surface du levier 36, comme représenté sur
les figures 6 et 8. Cette translation de la rallonge mobile 40 s'effectue à l'encontre
de l'effort exercé par les ressorts 46. Lorsque le levier 36 atteint sa position fermée
finale de serrage dans laquelle il s'étend à proximité de la paroi 30 de la chaussure,
il atteint une position stable par un effet mécanique de genouillère selon le principe
décrit précédemment. Les ressorts 46 sont choisis de sorte que l'effort de rappel
qu'ils exercent sur la rallonge mobile 40 dans la position fermée du levier 36 reste
inférieur à l'effort de fermeture de la genouillère. Ainsi, cette position fermée
du levier 36 reste une position stable et sécurisée.
[0014] Lorsque l'utilisateur souhaite ouvrir sa chaussure, il exerce une force vers le haut
sur le levier 36. Dès lors que son effort surmonte l'effort exercé par la genouillère,
le levier 36 remonte alors automatiquement. Ce mouvement d'ouverture du levier 36
est assisté par la force de rappel exercée par les ressorts 46. En effet, ces ressorts
46 exercent une force qui tend à ramener la rallonge mobile 40 dans sa position allongée,
et exercent donc une force sur le levier 41 tendant à sa rotation autour de l'axe
42. Ce levier 41 transmet cet effort, par son appui sur la paroi 30 de la chaussure,
au levier 36, tendant à l'ouverture du levier 36. La solution assiste ainsi l'utilisateur
dans son effort d'ouverture. Ensuite, dès lors que le levier 36 s'ouvre et s'éloigne
de la paroi 30 de la chaussure, plus rien ne s'oppose à l'effort exercé par les ressorts
46 qui ramènent automatiquement la rallonge mobile 40 dans sa position allongée représentée
aux figures 5 et 7.
[0015] En remarque, le levier 41 et la biellette 45 peuvent présenter d'autres géométries
sans sortir du cadre de l'invention. Dans la géométrie illustrée, en forme de V, la
pente formée par la droite joignant les deux axes de rotation extrêmes du levier 41
avec le plan tangent de la paroi 30 de la chaussure est inférieur à 90 degrés lors
de leur appui, pour induire la bonne mise en rotation du levier 41. De plus, plus
les branches du V sont resserrées en position ouvertes, plus l'amplitude du déplacement
de la rallonge mobile est importante.
[0016] Les figures 9 à 12 illustrent un second mode d'exécution de l'invention. Les mêmes
références seront utilisées pour désigner les mêmes composants. Ce mode d'exécution
diffère du précédent par son moyen d'allongement, qui comprend :
- un ressort 56 hélicoïdal travaillant en torsion s'étendant sous la surface du levier
36, et comprenant une première extrémité 52 fixée vers l'extrémité du levier 36 et
une seconde extrémité 53 fixée à l'élément de liaison 43 lié à la rallonge mobile
40,
- un élément de liaison 43 similaire à celui décrit précédemment, mobile en translation
dans une lumière longitudinale 44 aménagée sur le levier 36.
[0017] Ce second mode d'exécution fonctionne selon le même principe que le premier mode
d'exécution, avec toutefois une structure simplifiée. Lors de la fermeture du levier
36, la pression exercée par le levier en direction de la paroi 30 de la chaussure
entraîne la torsion du ressort 56 et le déplacement de la rallonge mobile 40 vers
sa position courte. Inversement, l'ouverture du levier 36 induit le retour du ressort
56 dans sa configuration de repos, ce qui entraîne l'allongement automatique du levier
36. En remarque, le ressort 56 présente de plus une orientation inclinée vers l'embase
lors de son appui sur la paroi 30 pour favoriser sa déformation.
[0018] Bien entendu, le concept de l'invention peut être implémenté avec d'autres géométries
des organes de liaison, et notamment du levier. Notamment, le moyen d'allongement
peut être réalisé par tout autre mécanisme comprenant tout moyen élastique, à base
d'un ou plusieurs ressorts travaillant en compression ou extension ou torsion par
exemple. Avantageusement, le moyen élastique exerce un effort sur la rallonge mobile
tendant à la maintenir ou à la déplacer vers sa position allongée. De plus, la rallonge
mobile peut être mobile par rapport au levier selon d'autres mouvements qu'une simple
translation, comme une rotation par exemple.
[0019] Cette solution présente donc l'avantage de permettre de manière simple et conviviale
l'allongement et le raccourcissement automatique du levier, par sa simple manipulation
habituelle. Elle ne demande pas une manipulation supplémentaire spécifique pour l'allongement
ou le raccourcissement du levier.
[0020] Naturellement, le levier de l'invention reste compatible avec les autres composants
d'un organe de liaison similaire à ceux de l'état de la technique, comprenant notamment
un tirant et une partie terminale, tel que présenté sur les figures 1 à 4. Ainsi,
le concept de l'invention peut s'appliquer très simplement sur un dispositif de fermeture
et serrage similaire à ceux de l'état de la technique.
[0021] De plus, la solution de dispositif de fermeture et serrage de l'invention a été illustrée
dans le cadre d'une chaussure de ski mais pourrait être implémentée sur toute chaussure
de sport, relativement rigide et nécessitant un serrage important.
1. Levier (36) d'un organe de liaison pour dispositif de fermeture et serrage d'une chaussure
de sport, comprenant une rallonge mobile (40), caractérisé en ce que la rallonge mobile (40) est liée au levier (36) par un moyen d'allongement apte à
lui permettre d'occuper automatiquement une position allongée en position ouverte
du levier (36).
2. Levier d'un organe de liaison pour dispositif de fermeture et serrage d'une chaussure
de sport selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le moyen d'allongement comprend un moyen élastique exerçant un effort sur la rallonge
mobile (40) tendant à la déplacer et/ou la maintenir en position allongée.
3. Levier d'un organe de liaison pour dispositif de fermeture et serrage d'une chaussure
de sport selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le moyen élastique comprend au moins un ressort travaillant en extension ou compression
ou torsion.
4. Levier d'un organe de liaison pour dispositif de fermeture et serrage d'une chaussure
de sport selon l'une des revendications 2 ou 3, caractérisé en ce que le moyen d'allongement est au moins partiellement disposé sous le levier et apte
à venir en appui sur la paroi (30) de la chaussure de sport en position fermée du
levier (36), en induisant par cet appui le passage en position courte de la rallonge
mobile (40).
5. Levier d'un organe de liaison pour dispositif de fermeture et serrage d'une chaussure
de sport selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le moyen d'allongement est apte à lui permettre d'occuper automatiquement une position
courte en position fermée du levier (36).
6. Levier d'un organe de liaison pour dispositif de fermeture et serrage d'une chaussure
de sport selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que la rallonge mobile (40) est montée mobile en translation ou rotation sur le levier
(36).
7. Levier d'un organe de liaison pour dispositif de fermeture et serrage d'une chaussure
de sport selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comprend une rallonge mobile (40) mobile en translation sur le levier (36), et
en ce que le moyen d'allongement comprend un élément de liaison (43) fixé à la rallonge mobile
(40) et traversant au moins partiellement le levier au travers une lumière (44) lui
permettant un déplacement en translation.
8. Levier d'un organe de liaison pour dispositif de fermeture et serrage d'une chaussure
de sport selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le moyen d'allongement comprend au moins un ressort (46) dont une première extrémité
est fixée sur le levier (36) et une seconde extrémité fixée sur la rallonge mobile
(40), se trouvant en extension lorsque la rallonge mobile (40) est en position courte.
9. Levier d'un organe de liaison pour dispositif de fermeture et serrage d'une chaussure
de sport selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le moyen d'allongement comprend un levier (41) mobile en rotation sous le levier
(36) autour d'un axe (42) monté sur le levier (36), et lié à une biellette (45) dans
sa partie inférieure, la biellette (45) étant liée à l'élément de liaison (43).
10. Levier d'un organe de liaison pour dispositif de fermeture et serrage d'une chaussure
de sport selon la revendication 8, caractérisé en ce que le moyen d'allongement comprend un ressort (56) de torsion s'étendant sous la surface
du levier (36), et comprenant une première extrémité (52) fixée vers l'extrémité du
levier (36) et une seconde extrémité (53) fixée à l'élément de liaison (43).
11. Organe de liaison pour dispositif de fermeture et serrage (4) d'une chaussure de sport,
comprenant une embase (35) apte à sa fixation sur la paroi (30) de la chaussure de
sport, un levier (36) sur lequel est fixé un tirant relié à une partie terminale apte
à une coopération avec un second organe de liaison, caractérisé en ce que le levier (36) est selon l'une des revendications précédentes.
12. Dispositif de fermeture et serrage pour chaussure de sport comprenant un premier organe
de liaison apte à un montage sur une première partie de la chaussure et un second
organe de liaison apte à un montage sur une seconde partie de la chaussure, les organes
de liaison comprenant chacun un élément de liaison apte à coopérer pour la fermeture
et le serrage d'une chaussure, caractérisé en ce qu'il comprend un organe de liaison selon la revendication précédente.
13. Chaussure de sport comprenant un premier organe de liaison monté sur une première
partie latérale (19) de la chaussure et un second organe de liaison monté sur une
seconde partie (20) de la chaussure positionnée au-delà d'une échancrure, caractérisée en ce qu'elle comprend un organe de liaison selon la revendication 11.