[0001] La présente invention est relative à un poussoir pour pièce d'horlogerie comprenant
une armature cylindrique à l'intérieur de laquelle est disposé longitudinalement et
de manière traversant un poussoir (resp. un correcteur) fait d'une tête présentant
une face inférieure venant buter contre un premier épaulement pratiqué dans l'armature
quand une pression manuelle est exercée sur la tête et d'une tige terminée à son extrémité
par une vis limitant l'ébat axial de cette tige dans l'armature, tige autour de laquelle
est enroulé un premier ressort de rappel du poussoir.
[0002] Des poussoirs exécutés selon la description ci-dessus sont bien connus de l'état
de l'art. Ils équipent par exemple des chronographes ou encore des montres bracelet
pour en corriger, par exemple, le quantième. On les appelle poussoirs quand il dépassent
de la carrure et permettent de corriger une fonction quand on les presse avec un doigt.
Quand la pression cesse, ils reprennent leur position initiale. On les appelle plutôt
correcteurs quand ils sont noyés dans la carrure. En principe à chaque poussoir est
liée la correction d'une seule fonction, une pluralité de fonctions à corriger nécessitant
alors une pluralité de poussoirs à installer sur la carrure d'une pièce d'horlogerie
ce qui fragilise l'étanchéité proprement dite de cette pièce d'horlogerie.
[0003] L'idée de la présente invention est de faire jouer à un poussoir classique un rôle
supplémentaire, ceci pour éviter un perçage de la carrure, ce rôle supplémentaire
consistant en une soupape pour équiper une montre de plongée.
[0004] Pour les raisons évoquées ci-dessus, le document
CH 699 558 A1 propose déjà une couronne de remontoir à vis associée soit à un poussoir soit à une
soupape dans un seul dispositif de commande, une combinaison poussoir-soupape n'étant
nullement décrite ni suggérée.
[0005] Comme le décrit bien le document cité, les montres de plongée comportent souvent,
d'une part une couronne de remontage ainsi que d'autre part une soupape évitant l'explosion
de la montre lorsque le plongeur remonte à la surface. En effet, comme cela est expliqué
dans ledit document, les plongeurs professionnels descendent à des grandes profondeurs
pour effectuer des travaux et sont ensuite remontés à la surface à l'aide d'un caisson
pressurisé qui permet de gérer convenablement les phases de décompression nécessaires
pour la santé du plongeur. Lors de ces phases de décompression des gaz essentiellement
de l'hélium, pénètrent dans le boîtier de la montre de plongée à travers les joints
d'étanchéité qui sont essentiellement adaptés à éviter l'entrée de l'eau ou de poussière
à l'intérieur de la montre. Lorsque la pression dans le caisson diminue, lors des
phases de décompression, une surpression à l'intérieur de la montre peut s'établir
par rapport à la pression environnante, si aucun dispositif de rééquilibrage de la
pression dans le montre n'est prévue sur celle-ci ce qui peut conduite à l'explosion
de la montre. Dans les montres de plongée une soupape est prévue séparément des autres
commandes pour ce rééquilibrage, cette soupape souffrant cependant des mêmes désavantages
que ceux affectant poussoirs ou couronnes quant aux problèmes de l'étanchéité.
[0006] Pour éviter l'inconvénient cité, la présente invention propose un poussoir répondant
à la définition donnée au premier paragraphe de cette description caractérisé de surcroît
en ce que, placé à la suite dudit premier ressort, un second ressort est enroulé autour
de la tige, ce second ressort prenant appui à l'une de ses extrémités sur lesdits
premiers moyens de retenue et à l'autre de ses extrémités sur des seconds moyens de
retenue issus de ladite armature, ce second ressort étant taré à une force correspondant
à la pression de rééquilibrage pour fléchir et jouer le rôle de ressort de soupape
si la pression à l'intérieur de la pièce d'horlogerie est supérieure à la pression
régnant à l'extérieur de ladite pièce.
[0007] Les caractéristiques et avantages de la présente invention ressortiront de la description
qui va suivre, faite en regard des dessins annexés et donnant, à titre d'exemple explicatif,
mais nullement limitatif deux formes avantageuses de réalisation de l'invention, dessins
dans lesquels :
- Les figures 1 à 3 sont des représentations en plan et en coupe d'une première forme
d'exécution du poussoir-soupape selon la présente invention.
- la figure 4 présente une variante d'exécution du poussoir-soupape montré aux figures
1 à 3, et
- les figures 5 et 6 sont des représentations en plan et en coupe d'une seconde forme
d'exécution du poussoir-soupape selon la présente invention.
[0008] Dans le premier mode d'exécution présenté aux figures 1 à 3 le poussoir comporte
une armature cylindrique 50 à l'intérieur de laquelle est disposé longitudinalement
et de manière traversante un poussoir 51 fait d'une tête 9 présentant une face inférieure
11 venant buter contre un premier épaulement 52 pratiqué dans l'armature 50 quand
une pression manuelle est exercée sur la tête 9. L'armature cylindrique 50 est en
deux parties composées en première partie d'un tube 7 fixé dans la carrure que comporte
la pièce d'horlogerie. Ici le tube 7 est vissé dans la carrure par sa partie inférieure
81 et présente, dans sa partie médiane un renflement 82 muni d'une gorge dans laquelle
est logé un joint torique 83 assurant son étanchéité au niveau de la boite. Le tube
7 est terminé par une portion supérieure émergeante 56 de la carrure. Cette portion
émergeante 56 est munie d'un filetage 6. Une couronne 1 constitue la seconde partie
de l'armature 50. Cette couronne 1 est dotée sur sa circonférence intérieure 3 d'une
partie taraudée 5 adaptée à être vissée sur le filetage 6 du tube 7.
[0009] Faisant suite à sa tête 9, en direction de la carrure, le poussoir 51 comprend une
tige 8 dont l'extrémité est terminée par des moyens de retenue limitant l'ébat axial
de cette tige dans l'armature 50. Dans l'exemple illustré les moyens de retenue sont
formés par une vis 53 vissée dans la face d'extrémité de la tige 8 dans le prolongement
axial de la tige de sorte que la tête de la vis 53 vient en butée contre la face d'extrémité
du tube 7 disposée coté carrure. La vis permet ainsi le montage du poussoir sur l'armature
50.
[0010] Autour de la tige 8 de poussoir est enroulé un premier ressort 10 de rappel du poussoir.
Ce ressort 10 est disposé entre la face inférieure 11 de la tête de poussoir 9 et
des premiers moyens de retenue 54 issus partiellement de l'armature 50. Dans ce premier
mode d'exécution ces premiers moyens de retenue 54 comportent un second épaulement
2 ménagé dans la couronne 1, le second épaulement 2 présentant une face supérieure
57 sur laquelle appuie le premier ressort 10 et une face inférieure 58 sur laquelle
appuie la partie supérieure 59 d'une entretoise cylindrique 12 rapportée sur la tige
8. L'entretoise cylindrique 12 présente dans sa partie extrême supérieure une collerette
12a dont la fonction sera décrite ci-après. La tige du poussoir est mobile par rapport
à l'entretoise 12.
[0011] A la suite dudit premier ressort 10, un second ressort 13 est enroulé autour de la
tige 8. Ce second ressort 13 prend appui à l'une de ses extrémités sur lesdits premiers
moyens de retenue 54 et à l'autre de ses extrémités sur des seconds moyens de retenue
55 issus partiellement de l'armature 50.
[0012] Ce second ressort 13 est arrangé pour fléchir et jouer le rôle de ressort de soupape
si la pression régnant à l'intérieur de la pièce d'horlogerie est supérieure à la
pression régnant à l'extérieur de ladite pièce. Ici les seconds moyens de retenue
55 comportent un troisième épaulement 18 arrangé à l'extrémité intérieure du tube
7, ce troisième épaulement présentant une face supérieure 60 surmonté d'un premier
joint torique 15 suivi d'une rondelle d'appui ou bague 14, le second ressort 13 étant
disposé entre ladite bague 14 et le partie inférieure 61 de ladite entretoise 12.
[0013] On notera qu'en pratique et de manière non limitative, le premier ressort 10 présente
une raideur supérieure à celle du second ressort 13.
[0014] Dans ce premier mode d'exécution et selon une première variante préférée, on observe
que l'entretoise cylindrique 12 est fait en matériau déformable pour assurer l'étanchéité
du poussoir. De préférence, l'entretoise cylindrique 12 est réalisée dans un matériau
présentant une dureté shore comprise entre 50 et 100 et de manière encore plus préférée
entre 75 et 90. A titre d'exemple non limitatif, cette entretoise pourra être réalisée
typiquement en caoutchouc nitrile (nitrile butadiene rubber NBR).
[0015] Plus particulièrement la figure 1 présente le poussoir soupape dont la couronne 1
est vissée sur le tube 7, le poussoir 5 étant en position de repos. Dans cette situation
la soupape est fermée, le second ressort 13 étant comprimé entre l'entretoise 12 et
la bague 14.
[0016] La figure 2 illustre la même situation vissée, le poussoir 51 étant activé, la vis
53 de sa tige P actionnant un système de correction propre à la pièce d'horlogerie
pour, par exemple, corriger la date affichée au cadran.
[0017] Les figures 1 et 2 montrent que l'étanchéité du poussoir est assurée, d'une part
l'entretoise déformable 12 dont la collerette 12a est prise en tenaille entre la face
inférieure 58 de l'épaulement 2 et l'extrémité de la portion émergeante 56 du tube
7 et d'autre part au niveau de la liaison tube-boite par le joint torique 83.
[0018] La figure 3 présente le poussoir-soupape dont la couronne 1 est dévissée du tube
7. Dans cette situation le second ressort 13 est détendu et le joint formé par la
collerette 12a de l'entretoise n'est plus actif. Ainsi, le joint 15 est susceptible
de se soulever contre la force de rappel du second ressort 13 quand la pression à
l'intérieur de la boite de montre est plus élevée que celle régnant à l'extérieur
ce qui permet le fonctionnement de la soupape, l'hélium en surpression dans la pièce
d'horlogerie pouvant s'échapper à travers l'espace entre l'entretoise cylindrique
12 et la tige du poussoir respectivement la paroi intérieure du tube 7 puis par la
partie filetée 5 de la couronne 1.
[0019] Comme cela est visible à la figure 3, on notera que l'étanchéité à l'eau est alors
entièrement assurée par le joint 15 et que la soupape est donc également prévue pour
être dévissée sous l'eau.
[0020] Ainsi, lorsque la couronne est vissée sur la partie filetée du tube 7 comme cela
est représenté aux figures 1 et 2, la soupape est inopérante et complètement étanche.
Quand la pièce est d'horlogerie est employée en milieu liquide et à de très grandes
profondeurs le plongeur vissera la couronne 1 ce qui rendra le poussoir soupape complétement
étanche non seulement par l'effet de l'écrasement de la collerette 12a contre l'extrémité
de la portion émergeante 56 du tube 7 mais encore par l'effet supplémentaire du joint
15, le second ressort 13 développant une force additionnelle sur le joint 15 quand
la couronne est vissée.
[0021] La figure 4 présente une seconde variante du premier mode d'exécution dans laquelle
on a adjoint à une entretoise non déformable 12 un second joint torique 16 qu'on a
disposé entre la face inférieure 58 du second épaulement 2 et un dégagement 62 pratiqué
dans l'entretoise 12. On observe que ce second joint 16 appuie sur l'extrémité 63
du tube 7 quand la couronne est vissée sur le tube. Dans cette variante le joint torique
16 joue le rôle de la collerette 12a illustrée aux figures 1 à 3.
[0022] On remarquera dans le second mode d'exécution présenté aux figures 5 et 6 que le
poussoir comporte une armature cylindrique 50 à l'intérieur de laquelle est disposé
longitudinalement et de manière traversante un poussoir 51 fait d'une tête 9 présentant
une face inférieure 11 venant buter contre un premier épaulement 52 pratiquée dans
l'armature 50 quand une pression manuelle est exercée sur la tête 9. L'armature 50
comporte dans ce mode d'exécution un seul tube 7 dont une partie inférieure 80 comprend
une première portion 90 vissée dans la carrure et une seconde portion médiane 91 munie
d'un joint torique 83 assurant son étanchéité par rapport à ladite carrure. Faisant
suite à sa tête 9, le poussoir 51 comprend une tige 8 dont l'extrémité est terminée
par une vis 53 à tête permettant le montage du poussoir et limitant l'ébat axial de
cette tige dans l'armature 50, la tête de la vis 53 venant en butée contre la face
d'extrémité du tube 7 disposée coté carrure.
[0023] Autour de la tige 8 est enroulé un premier ressort de rappel 10, ce ressort étant
disposé entre la face inférieure 11 de la tête 9 et des premiers moyens de retenue
54 issus partiellement de l'armature 50. Ces premiers moyens de retenues comportent
un second épaulement 70 ménagé dans la paroi intérieure du tube 7 et sur lequel repose
une rondelle 71, la face supérieure 72 de cette rondelle servant d'appui au premier
ressort 10.
[0024] A la suite dudit premier ressort 10, un second ressort 13 est enroulé autour de la
tige 8, ce second ressort 13 prenant appui à l'une de ses extrémité sur lesdits premiers
moyens de retenue 54 et à l'autre de ses extrémités sur des seconds moyens de retenue
55 issus partiellement de l'armature 50, ce second ressort étant arrangé pour fléchir
et jouer le rôle de soupape si la pression régnant à l'intérieur de la pièce d'horlogerie
est supérieure à la pression régnant à l'extérieur de ladite pièce. Ici les seconds
moyens de retenue 55 sont les mêmes que ceux cités à propos du premier mode d'exécution,
à savoir un troisième épaulement 18 ménagé à l'extrémité intérieure du tube 7, ce
troisième épaulement présentant une face supérieure 60 surmontée d'un premier joint
torique 15 suivi d'une bague 14, le second ressort 13 étant disposé entre ladite bague
14 et la partie inférieure de ladite rondelle 71.
[0025] Plus particulièrement les figures 5 et 6 montrent un poussoir-soupape dont le poussoir
est en état de repos en figure 5 et en état activé en figure 6. Dans les deux cas
la soupape est potentiellement active quelle que soit la position du poussoir et fonctionne
de la même façon que celle décrite en liaison avec la soupape poussoir illustrée aux
figures 1 à 4. Ainsi, quand la pression à l'intérieur de la boite de montre est plus
élevée que celle régnant à l'extérieur, le joint 15 peut se soulever contre la force
de rappel du second ressort 13 ce qui permet à l'air en surpression dans la pièce
d'horlogerie de s'échapper à travers l'espace entre la tige du poussoir et la paroi
intérieure du tube 7. Les figures 5 et 6 représentent donc une soupape automatique,
alors que les figures 1 à 4 représentent une soupape manuelle
1. Poussoir pour pièce d'horlogerie comprenant une armature cylindrique (50) à l'intérieur
de laquelle est disposé longitudinalement et de manière traversante un poussoir (51)
fait d'une tête (9) présentant une face intérieure (11) venant buter contre un premier
épaulement (52) pratiqué dans l'armature (50) quand une pression manuelle est exercée
sur la tête (9) et d'une tige (8) terminée à son extrémité par des moyens de retenue
(53) limitant l'ébat axial de cette tige (8) dans l'armature (50), tige autour de
laquelle est enroulé un premier ressort (10) de rappel du poussoir, ce ressort étant
disposé entre la face inférieure (11) de la tête (9) et des premiers moyens de retenue
(54) issus partiellement de ladite armature (50), ledit poussoir étant caractérisé en ce qu'il comprend un second ressort (13) enroulé autour de la tige (8), ce second ressort
(13) prenant appui à l'une de ses extrémités sur lesdits premiers moyens de retenue
(54) et à l'autre de ses extrémités sur des seconds moyens de retenue (55) issus partiellement
de ladite armature (50), le second ressort (13) étant arrangé pour fléchir et jouer
le rôle de soupape si la pression régnant à l'intérieur de la pièce d'horlogerie est
supérieure à la pression régnant à l'extérieur de ladite pièce.
2. Poussoir selon la revendication 1, caractérisé en ce que ledit second ressort (13) est placé à la suite dudit premier ressort (10) en direction
de l'extrémité de la tige (8).
3. Poussoir selon la revendication 1, caractérisé en ce que lesdits moyens de retenue comprennent une vis vissée dans le prolongement axial de
la tige (8).
4. Poussoir selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que l'armature cylindrique (50) comporte un tube (7) fixé dans la carrure que présente
la pièce d'horlogerie, ce tube présentant une portion émergeante (56) munie d'un filetage
(6), et une couronne (1) dotée sur sa circonférence intérieure (3) d'une partie filetée
(5) adaptée à être vissée sur le filetage (6) du tube (7), que les premiers moyens
de retenue (54) comportent un second épaulement (2) issu de la couronne (1), ce second
épaulement (2) présentant une face supérieure (57) sur laquelle appuie le premier
ressort (10) et une face inférieure sur laquelle (58) appuie la partie supérieure
(59) d'une entretoise cylindrique (12) rapportée sur la tige (8) et que les seconds
moyens de retenue (55) comportent un troisième épaulement (18) issu du tube (7), ce
troisième épaulement présentant une face supérieure (60) surmontée d'un premier joint
torique (15) suivi d'une bague (14), le second ressort (13) étant disposé entre ladite
bague et la partie inférieure (61) et ladite entretoise (12).
5. Poussoir selon la revendication 4, caractérisé en ce que ladite entretoise cylindrique (12) est faite en matériau déformable.
6. Poussoir selon la revendication 5, caractérisé en ce que le matériau déformable de ladite entretoise cylindrique (12) présente une dureté
shore comprise entre 50 et 100 et de préférence entre 75 et 90.
7. Poussoir selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'un second joint torique (16) est disposé entre la face inférieure (58) du second épaulement
(2) et un dégagement (62) pratiqué dans l'entretoise (12), ledit second joint (16)
appuyant sur l'extrémité supérieure (63) du tube (7) quand la couronne (1) est vissée
sur ledit tube.
8. Poussoir selon la revendication 1 à 3, caractérisé en ce que l'armature cylindrique (50) comporte un seul tube (7) dont une partie inférieure
(80) est fixée dans la carrure que comporte la pièce d'horlogerie, en ce que les premiers moyens de retenue (54) comportent un second épaulement (70) issu du
tube (7) et sur lequel repose une rondelle (71), la face supérieure (72) de cette
rondelle servant d'appui au premier ressort (10) et en ce que les seconds moyens de retenue (55) comportent un troisième épaulement (18) issu du
tube (7), ce troisième épaulement présentant une face supérieure (60) surmontée d'un
premier joint torique (15) suivi d'une bague (14), le second ressort (13) étant disposé
entre ladite bague (14) et la partie inférieure (70) de ladite rondelle (71).
9. Poussoir selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le premier ressort (10) présente une raideur supérieure à celle du second ressort
(13).