[0001] La présente invention concerne un système antichoc pour un axe d'un mobile d'une
pièce d'horlogerie. L'axe comprend un tigeron, comportant un support, ledit support
étant pourvu d'un logement prévu pour recevoir un système pivot dans lequel le tigeron
est inséré. Le système antichoc comprend en outre des moyens élastiques agencés pour
exercer sur ledit système pivot au moins une force axiale.
[0002] Le domaine technique de l'invention est le domaine technique de la mécanique fine.
ARRIERE PLAN TECHNOLOGIQUE
[0003] La présente invention concerne des paliers pour pièces d'horlogerie, plus particulièrement
du type permettant d'amortir les chocs. Les constructeurs de montres mécaniques ont
conçu depuis longtemps de nombreux dispositifs permettant à un axe d'absorber l'énergie
résultant d'un choc, notamment d'un choc latéral, par butée contre une paroi du trou
du bloc de base qu'il traverse, tout en permettant un déplacement momentané du tigeron
avant qu'il ne soit ramené à sa position de repos sous l'action d'un ressort.
[0004] Les figures 1 et 2 illustrent un dispositif dit à double cône inversé qui est actuellement
utilisé dans des pièces d'horlogerie se trouvant sur le marché.
[0005] Un support 1, dont la base comporte un trou 2 pour le passage de l'axe de balancier
3 terminé par un tigeron 3a, permet de positionner un chaton 20 dans lequel sont immobilisées
une pierre percée 4 traversée par le tigeron 3a et une pierre contre-pivot 5. Le chaton
20 est maintenu dans un logement 6 du support 1 par un ressort 10 qui comprend dans
cet exemple des extensions radiales 9 comprimant la pierre contre-pivot 5. Le support
1 est une pièce de révolution comprenant un rebord circulaire 11. Ce rebord 11 est
interrompu en deux endroits diamétralement opposés par une ouverture 12 de sorte à
créer deux rebords semi-circulaires 11a, 11 b. L'ouverture 12 est ménagée pour partie
dans les deux rebords semi-circulaires 11a, 11 b de façon à matérialiser deux retours
13. Le chaton 20 est maintenu dans un logement 6 du support 1 par des moyens élastiques
tels un ressort 10 qui comprend dans cet exemple des extensions radiales 9 comprimant
la pierre contre-pivot 5. Le ressort 10 est du type axiale et présente une forme de
lyre agencée pour prendre appui sous les retours des rebords semi-circulaires 11a,
11 b. Le logement 6 comporte deux portées 7, 7a en forme de cônes inversés sur lesquelles
prennent appui des portées complémentaires 8, 8a du chaton 20, lesdites portées devant
être exécutées avec une très grande précision. En cas de choc axial, la pierre percée
4, la pierre contre-pivot 5 et l'axe du balancier se déplacent et le ressort 10 agit
seul pour ramener l'axe de balancier 3 dans sa position initiale. Le ressort 10 est
dimensionné pour avoir une limite de déplacement de sorte qu'au-delà de cette limite,
l'axe de balancier 3 arrive en contact avec des butées 14 permettant audit axe 3 d'absorber
le choc, ce que les tigerons 3a de l'axe 3 ne peuvent faire sous peine de casser.
En cas de choc latéral, c'est-à-dire lorsque l'extrémité du tigeron déséquilibre le
chaton 20 hors de son plan de repos, le ressort 10 coopère avec les plans inclinés
complémentaires 7, 7a ; 8, 8a pour recentrer le chaton 20. De tels paliers ont par
exemple été vendus sous la marque Incabloc®. Ces ressorts peuvent être réalisés en
phynox ou laiton et sont fabriqués par des moyens traditionnels de découpage.
[0006] Or, un inconvénient de ces systèmes amortisseurs de chocs est que leur montage n'est
pas aisé. En effet, certaines pièces comme le support 1 et le ressort 10 doivent être
orientées et manipulées d'une certaine façon lors de l'opération de montage pour que
l'assemblage puisse se faire. Ainsi, l'assemblage du système amortisseur de chocs
commence en se munissant d'un support, puis d'un chaton avec ces pierres. Ce dernier
est placé dans le logement du support. Ensuite, on se munit d'un ressort du type axial
et qui présente une forme de lyre. Celui-ci est manipulé pour qu'il puisse prendre
appui sous les retours des rebords semi-circulaires 11 a, 11 b du support.
RESUMÉ DE L'INVENTION
[0007] L'invention a pour but de pallier les inconvénients de l'art antérieur en proposant
de fournir un système amortisseur de chocs dont l'assemblage est automatisable, simple
et sûre.
[0008] A cet effet, l'invention concerne un dispositif amortisseur de chocs pour un axe
d'un élément d'une pièce d'horlogerie comprenant un support comportant une coupelle
de fond surmontée par un rebord périphérique délimité, à l'opposé de ladite coupelle,
par une surface supérieure et comprenant une paroi extérieure, ladite coupelle et
le rebord définissant ensemble un logement, le dispositif comprenant en outre au moins
un module pivot s'étendant selon un axe, ledit au moins un module pivot étant agencé
dans ledit logement et apte à coopérer avec ledit axe, ledit dispositif comprenant
des moyens de fixation comprenant une portée périphérique s'étendant depuis le rebord
vers le centre axiale de la coupelle, des moyens élastiques étant agencés entre le
module pivot et la portée pour exercer une contrainte sur le module pivot,
caractérisé en ce que les moyens élastiques comportent un anneau ressort muni d'au
moins une extension radiale s'étendant vers le centre dudit anneau et d'au moins deux
ergots s'étendant dans une direction inverse, ladite portée comprenant au moins une
encoche pour permettre le montage à baïonnette dudit anneau ressort et en ce que la
portée comprend, de part et d'autre de ladite au moins une encoche, un bec orienté
vers la coupelle de fond permettant de bloquer en rotation lesdits moyens élastiques.
[0009] Dans un premier mode de réalisation avantageux, la portée comprend trois encoches,
ledit anneau ressort comprenant trois ergots.
[0010] Dans un second mode de réalisation avantageux, lesdits moyens élastiques comprennent
un anneau ressort comportant au moins deux bras s'étendant vers le centre axial dudit
anneau ressort pour plaquer ledit module pivot dans le logement du support.
[0011] Dans un troisième mode de réalisation avantageux, les au moins deux bras sont diamétralement
opposées.
[0012] Dans un autre mode de réalisation avantageux, l'anneau ressort comprend trois bras
angulairement répartis.
[0013] Dans un autre mode de réalisation avantageux, lesdits moyens comprennent un anneau
ressort comportant des extensions radiales internes disposées entre des parties annulaires,
lesdites extensions radiales internes étant constituées par la bande formant l'anneau
recourbée vers l'intérieur de l'anneau.
[0014] Dans un autre mode de réalisation avantageux, lesdites extensions radiales internes
sont régulièrement réparties.
[0015] Dans un autre mode de réalisation avantageux, l'anneau ressort comprend trois extensions
radiales internes.
BREVE DESCRIPTION DES FIGURES
[0016] Les buts, avantages et caractéristiques du système antichoc ou dispositif amortisseur
de chocs selon la présente invention apparaîtront plus clairement dans la description
détaillée suivante d'au moins une forme de réalisation de l'invention donnée uniquement
à titre d'exemple non limitatif et illustrée par les dessins annexés sur lesquels
:
- les figures 1 et 2, déjà citées, permettent de représenter de manière schématique
un système amortisseur de chocs de pièce d'horlogerie selon l'art antérieur;
- les figures 3 et 4 représentent de manière schématique un système amortisseur de chocs
de pièce d'horlogerie selon l'invention lorsqu'il est démonté et monté ;
- les figures 5 et 6 représentent différentes solutions des moyens élastiques du système
amortisseur de chocs de pièce d'horlogerie selon l'invention ;
DESCRIPTION DÉTAILLÉE
[0017] La présente invention procède de l'idée générale inventive qui consiste à procurer
un dispositif amortisseur de chocs ou système antichoc simple, facile à monter et
offrant moins de risques de problèmes lors du montage. Ce système amortisseur de chocs
est agencé pour être monté sur une platine et/ou au moins un pont d'un mouvement horloger.
Le mouvement horloger est placé dans une pièce d'horlogerie comprenant une carrure
fermée par un fond et une glace.
[0018] Sur les figures 3 et 4, un dispositif ou palier amortisseur de chocs 100 ou système
antichoc selon un premier mode de réalisation est représenté. Ce dispositif amortisseur
de chocs ou système antichoc 100 est monté dans un élément de base d'un mouvement
de pièce d'horlogerie. En particulier, la platine ou les ponts du mouvement sont l'élément
de base dans lesquels le système antichoc 100 selon l'invention est placé. Ce système
antichoc 100 comprend un support 200. Ce support 200 se présente sous la forme d'une
coupelle 201, pourvue d'un trou 202, surmontée par un rebord périphérique 203 délimité,
à l'opposé de ladite coupelle, par une surface supérieure 213. Ce rebord périphérique
203 présente également une paroi externe 214 et une paroi interne 215. Ce rebord 203
et la coupelle de fond 201 permettent de définir un logement 206 dans lequel un module
pivot 400 est inséré. Le rebord 203 et la coupelle de fond 201 pourront être monoblocs
ou des pièces dissociées. Un module pivot 400 classique comprend un chaton 401 c'est-à-dire
une pièce présentant un orifice central circulaire, une paroi externe et une paroi
interne. Dans l'orifice central est insérée une pierre percée 402 dont le diamètre
correspond à celui de l'orifice central. La paroi interne comprend un épaulement de
sorte qu'une pierre contre-pivot 403 puisse être fixée. Le module pivot 400 est alors
placé dans le logement 206 du support 200 et coopère avec le tigeron d'un axe.
[0019] Le système antichoc 100 comprend en outre des moyens élastiques 300 qui sont agencés
pour coopérer avec le module pivot 400. Cela permet d'amortir les chocs et de ramener
le module pivot 400 dans sa position de repos lorsque les contraintes exercées suite
aux chocs s'estompent. Les moyens élastiques 300 sont fixés sur le support 200. De
préférence, les moyens élastiques 300 sont également placés sur le module pivot 400.
Le système antichoc 100 est ensuite inséré dans un orifice de la platine ou dans l'un
des ponts du mouvement.
[0020] Les moyens élastiques 300 se présentent, par exemple, sous la forme d'un anneau ressort
301. Cet anneau ressort 301 est du type plat c'est-à-dire qu'il est constitué d'une
bande ou ruban c'est-à-dire présentant une largeur plus grande que l'épaisseur. La
bande ou ruban constituant l'anneau ressort 301 est métallique et circulaire s'étendant
selon un axe central (C).
[0021] Dans une première réalisation de cet anneau ressort 301 visible à la figure 5, les
moyens élastiques 300 se présentent sous la forme d'un anneau ressort 301 circulaire
qui comprend des bras 302 s'étendant vers le centre axial dudit anneau ressort 301.
Ces bras 302 sont diamétralement opposés et servent à plaquer ledit module pivot 400
dans le logement 206 du support 200. L'anneau ressort 301 pourra comprendre deux,
préférentiellement trois bras.
[0022] Dans une seconde réalisation de cette anneau ressort 301 visible à la figure 6, l'anneau
ressort 301 comprend des extensions radiales internes 303 disposées entre des parties
annulaires 304. Ces extensions radiales internes 303 sont constituées par la bande
formant l'anneau 301 qui est recourbée vers l'intérieur de l'anneau 301. Ces extensions
radiales internes 303 sont, de préférence, régulièrement réparties sur le tour de
l'anneau plat 301 de sorte que l'anneau ressort 301 puisse agir de façon homogène
comme visible à la figure 5. On comprend alors que l'anneau ressort 301 peut être
orienté d'une manière quelconque par rapport au support 200. L'anneau ressort 301
pourra comprendre deux, préférentiellement trois extensions radiales.
[0023] Pour monter et fixer les moyens élastiques 300 au support 200, un système à baïonnette
500 est utilisé. Un tel système à baïonnette comprend une portée 501 périphérique
s'étendant du rebord 203 vers le centre du support 200. Cette portée 501 forme, avec
le support 200 et le rebord, une zone de maintien 503. Cette zone de maintien 503
peut comprendre en outre une gorge 505 périphérique pour que les moyens élastiques
300 puissent s'y insérer. Afin de monter les moyens élastiques, la portée 501 comprend
des encoches 507 de sorte à ce que la portée soit divisée en portion.
[0024] Avantageusement, l'anneau ressort 301 présente des ergots 305 s'étendant de sorte
à s'éloigner du centre axial dudit anneau ressort 301. Ces ergots 305 sont agencés
pour maintenir ledit anneau ressort 301. Effectivement, les dimensions de l'anneau
ressort 301 et de la portée 501 sont calculées de sorte que les ergots 305 puissent
s'insérer dans les encoches 507 de la portée 501. Le nombre d'encoches sera préférentiellement
identique au nombre d'ergots. Préférentiellement, ce nombre sera de trois. Cette insertion
des ergots dans les encoches de la portée permet audit anneau-ressort d'être inséré
dans la zone de maintien. Il suffit alors de mettre en rotation l'anneau ressort pour
que les ergots soient placés sous la portée 501. En effet, le montage du ressort est
postérieur à l'étape visant à placer le module pivot 400 dans son logement 206 de
sorte que le montage de l'anneau-ressort entraine l'apparition d'une contrainte appliquée
sur ledit anneau-ressort. Cette contrainte est due au module pivot qui tend à pousser
l'anneau ressort vers l'extérieur du logement alors que les ergots dudit anneau ressort
sont en butée sur la portée, retenant ainsi ledit anneau ressort. Bien entendu, il
pourra être possible d'avoir une seule encoche au niveau de la portée mais d'avoir
un anneau-ressort ayant deux ou trois ergots.
[0025] La présence des ergots 305 permet de limiter la contrainte exercée sur ledit anneau
ressort 301 par la portée de sorte que cette contrainte est uniquement localisée sur
ces ergots 305. Par conséquent, comme ces ergots 305 sont des zones passives c'est-à-dire
sans influence sur le comportement de l'anneau ressort 301. De ce fait, le comportement
initial de l'anneau ressort 301 n'est pas modifié par son assemblage au support 200.
[0026] Astucieusement selon l'invention, les portions de la portée 501 sont conçues pour
présenter, à chaque extrémité, un bec 509. Ces becs situés à chaque extrémité d'une
portion de la portée ont une fonction de blocage de l'anneau-ressort. En effet, en
condition de fonctionnement, le système amortisseur de chocs travaille de sorte que
le ressort est plus ou moins sollicité. Toutefois, il arrive que le ressort ne soit
plus sous contrainte de sorte qu'un déplacement de cet anneau-ressort est possible.
Ce déplacement peut être un mouvement de rotation de l'anneau ressort sur lui-même.
Par conséquent, si la rotation est trop importante, il existe un risque que les ergots
se trouvent en regard des encoches et donc que l'anneau-ressort se démonte. Ainsi,
la présence des becs résous avantageusement ce problème en faisant office de limiteur
de rotation. Lors d'une rotation de l'anneau-ressort sur lui-même en cas de faible
contrainte, les becs font office de butée pour stopper cette rotation. Les ergots
de l'anneau-ressort ne se peuvent pas se retrouver en regard des encoches et donc
l'anneau ressort ne peut pas se démonter de lui-même.
[0027] On peut imaginer, le support 200 et l'élément du mouvement dans lequel le palier
amortisseur de chocs 100 est placé ne sont qu'une seule et même pièce, le support
200 et l'élément du mouvement sont donc monoblocs. On comprend alors que l'élément
de base présente un évidement agencé pour former un fond percé d'un trou et formant
le logement 206 dans lequel le module pivot 400 est placé. On comprend également que
cette seconde variante peut cohabiter avec la première variante. En effet, comme un
pont ou une platine présente une forme quelconque, une zone de montage agencée permet
d'être sure de pouvoir installer les moyens de fixations et donc de maintenir le module
pivot 400 dans le logement.
[0028] On comprendra que diverses modifications et/ou améliorations et/ou combinaisons évidentes
pour l'homme du métier peuvent être apportées aux différents modes de réalisation
de l'invention exposée ci-dessus sans sortir du cadre de l'invention définie par les
revendications annexées.
[0029] En effet, il est possible que le module pivot 400 puisse être constitué d'une pierre
unique ou que la pierre percée et la pierre contre-pivot soient solidaires l'une de
l'autre. On comprend que la pierre percée et la pierre contre-pivot peuvent être chassées
l'une dans l'autre ou être monoblocs. Ces possibilités permettent de limiter le nombre
de pièce du palier amortisseur de chocs.
1. Dispositif amortisseur de chocs (100) pour un axe d'un élément d'une pièce d'horlogerie
comprenant un support (200) comportant une coupelle de fond (201) surmontée par un
rebord périphérique (203) délimité, à l'opposé de ladite coupelle, par une surface
supérieure (213) et comprenant une paroi extérieure (214), ladite coupelle (201) et
le rebord (203) définissant ensemble un logement (206), le dispositif comprenant en
outre au moins un module pivot (400) s'étendant selon un axe (C), ledit au moins un
module pivot étant agencé dans ledit logement et apte à coopérer avec ledit axe, ledit
dispositif comprenant des moyens de fixation (500) comprenant une portée (501) périphérique
s'étendant depuis le rebord vers le centre axiale de la coupelle, des moyens élastiques
étant agencés entre le module pivot et la portée pour exercer une contrainte sur le
module pivot,
caractérisé en ce que les moyens élastiques comportent un anneau ressort (301) muni d'au moins une extension
radiale (302, 303) s'étendant vers le centre dudit anneau et d'au moins deux ergots
(305) s'étendant dans une direction inverse, ladite portée comprenant au moins une
encoche (507) pour permettre le montage à baïonnette dudit anneau ressort et en ce que la portée comprend, de part et d'autre de ladite au moins une encoche, un bec (509)
orienté vers la coupelle de fond permettant de bloquer en rotation lesdits moyens
élastiques.
2. Dispositif amortisseur de chocs (100) selon la revendication 1, caractérisé en ce que la portée (501) comprend trois encoches (507), ledit anneau ressort comprenant trois
ergots (305).
3. Dispositif amortisseur de chocs (100) selon les revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que lesdits moyens élastiques (300) comprennent un anneau ressort (301) comportant au
moins deux bras (302) s'étendant vers le centre axial dudit anneau ressort pour plaquer
ledit module pivot dans le logement du support.
4. Dispositif amortisseur de chocs (100) selon la revendication 3, caractérisé en ce que les au moins deux bras (302) sont diamétralement opposées.
5. Dispositif amortisseur de chocs (100) selon la revendication 3, caractérisé en ce que l'anneau ressort comprend trois bras (302) angulairement répartis.
6. Dispositif amortisseur de chocs (100) selon les revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que lesdits moyens (300) comprennent un anneau ressort (301) comportant des extensions
radiales internes (303) disposées entre des parties annulaires (304), lesdites extensions
radiales internes étant constituées par la bande formant l'anneau recourbée vers l'intérieur
de l'anneau.
7. Dispositif amortisseur de chocs (100) selon la revendication 6, caractérisé en ce que lesdites extensions radiales internes (303) sont régulièrement réparties.
8. Dispositif amortisseur de chocs (100) selon les revendications 6 ou 7, caractérisé en ce que l'anneau ressort comprend trois extensions radiales internes (303).