[0001] La présente demande concerne les chaussures de ski alpin, en particulier, les chaussures
de ski dites à entrée avant dont la coque rigide est constituée des deux parties principales
que sont, d'une part, une base de coque et, d'autre part, un collier qui peut être
articulé sur ledit bas de coque.
[0002] La pratique du ski alpin sur piste nécessite d'avoir des chaussures de ski particulièrement
rigides. C'est pourquoi, celles-ci sont constituées d'une coque rigide à l'intérieur
de laquelle on place un chausson intérieur de confort.
[0003] Il existe actuellement différents types de coque pour chaussure de ski alpin et notamment,
les chaussures dites à « entrée arrière » et les chaussures dites à « entrée avant
». Bien sûr, la plus grande différence entre ces types de chaussures réside dans la
façon de chausser la chaussure. Dans le premier cas, un spoiler articulé s'ouvre vers
l'arrière permettant d'introduire le pied par l'arrière de la chaussure. Dans le deuxième
cas, c'est l'avant de la chaussure, et notamment le dessus de l'avant-pied de celle-ci
qui s'ouvre, ou s'élargit, pour permettre l'introduction du pied. Il y a cependant
bien d'autres différences entre ces deux types de chaussure. Notamment en ce qui concerne
la fermeture et/ou le serrage de la coque. Dans le cas des « entrées arrière », les
différents éléments qui constituent la coque sont peu déformables, et c'est le fait
qu'ils soient articulés les uns par rapport aux autres qui permet de refermer la coque
sur le pied de l'utilisateur. De manière indépendante, un dispositif de serrage assure
l'adaptation du volume intérieur de la chaussure au pied de l'utilisateur. Ce dispositif
de serrage fonctionne assez souvent à l'aide d'un ou de plusieurs câbles. La chaussure
de ski alpin Nordica NS 770 de 1983 constitue un exemple de ce type de chaussure.
La coque y est fermée par un dispositif à ratchet et sangle crantée tandis que le
serrage de l'avant-pied est réalisé par un dispositif à câble et à enrouleur qui ne
déforme pas la coque extérieure de la chaussure puisqu'il n'affecte que le chausson
interne.
[0004] Dans le cas des « entrées avant », la fermeture de la coque et le serrage du pied
de l'utilisateur sont concomitants. En effet, des parties de la coque se déforment
pour modifier le volume intérieur de la coque : d'une part pour en élargir le volume
et permettre l'introduction du pied et d'autre part pour le diminuer et l'adapter
à la morphologie du pied de l'utilisateur. Du fait de la rigidité de la coque et de
la nécessité de pouvoir la déformer, des mécanismes de serrage puissants sont utilisés
pour ce type de chaussure. Ce sont notamment les crochets à boucle, crémaillère et
mécanisme à genouillère qui sont utilisés. Ce type de chaussure est actuellement le
plus utilisé par les fabricants pour l'excellent compromis confort et performance
qu'il permet d'obtenir.
[0005] L'invention se place dans le cadre des chaussures de ce type et se fixe pour objectif
d'en améliorer le confort, la performance ainsi que la commodité d'utilisation. Pour
ce faire, on envisage l'utilisation de dispositif de serrage à câble.
[0006] Récemment des tentatives d'utilisation de dispositifs à câble et enrouleur pour les
chaussures de ski à « entrée avant » ont été faites dans le domaine voisin des chaussures
de ski de randonnées. Les chaussures de ski de randonnée, sont des chaussures de ski
un peu particulières en ce qu'elles doivent permettre de monter les pentes sans l'aide
de remontées mécaniques. Pour ne faciliter la marche et la montée, elles sont notamment
beaucoup plus légères et beaucoup moins rigides que des chaussures de ski de piste.
La relative souplesse des éléments de la coque externe et notamment du bas de coque
ont rendu possible l'utilisation de dispositif de serrage à câble et enrouleur sur
ces chaussures. Le brevet
EP 3192386 décrit une chaussure de ski de randonnée qui utilise un dispositif de serrage à câble
et enrouleur pour assurer le serrage du bas de coque. Néanmoins, pour améliorer l'efficacité
du serrage, il a été nécessaire d'utiliser une pièce supplémentaire flottante, placée
entre les deux côtés du bas de coque sur laquelle sont ménagés des passants pour le
câble et sur laquelle est fixé l'enrouleur.
[0007] Le brevet
EP 3153047 décrit lui aussi une chaussure de ski de randonnée dont la portion basse de la coque
est équipée d'un câble et d'un mécanisme à enrouleur. Cependant, afin de s'assurer
que le dispositif de serrage à enrouleur puisse effectivement agir sur la coque relativement
rigide, on prévoit que dans la zone de dessus du pied, l'ouverture supérieure du bas
de coque est encadrée par un panneau fait d'une matière plus souple. C'est sur ce
panneau périphérique de l'ouverture que sont fixés les passants du dispositif de serrage.
[0008] L'objectif de l'invention est la construction d'une chaussure de ski de piste à entrée
avant dont la coque externe comporte une base de coque et un collier entourant le
bas de pied d'un utilisateur. La fermeture et le serrage de la base de coque se font
concomitamment par déplacement d'une première portion du bas de coque par rapport
à une seconde portion du bas de coque. Cette chaussure doit allier commodité d'utilisation,
serrage précis, performance de pilotage et aspect esthétique amélioré.
[0009] En particulier, l'objectif de l'invention est d'améliorer la sensation de maintien
que ressent l'utilisateur lorsque qu'il chausse la chaussure.
[0010] L'objectif de l'invention est atteint par la fourniture d'une chaussure de ski comportant
un bas de coque, un collier fixé sur ledit bas de coque par l'intermédiaire d'au moins
deux moyens de fixation axiaux et des moyens de serrage ; lesdits au moins deux moyens
de fixation comportant un moyen de fixation médial, respectivement moyen de fixation
latéral, sensiblement placé au regard de la malléole interne de l'utilisateur, respectivement
sensiblement placé au regard de sa malléole externe ; ledit bas de coque comportant
un rabat médial et un rabat latéral susceptibles de glisser l'un par rapport à l'autre
de façon à adapter le volume intérieur du bas de coque ; lesdits moyens de serrage
comprennent un câble, un moyen d'ancrage dudit câble sur un des rabats de la base
de coque, un passant médial fixé sur le rabat médial, un passant latéral fixé sur
le rabat latéral, un mécanisme de mise en tension du câble et un troisième passant
qui est fixé à l'extrémité distale d'une sangle, ladite sangle étant solidarisée à
la coque par son extrémité proximale grâce au moyen de fixation latéral ou au moyen
de fixation médial. De préférence, ladite sangle est retenue grâce à un anneau d'ancrage
sur ledit moyen de fixation médial ou latéral et ledit anneau d'ancrage comprend une
première ouverture servant à relier la sangle avec l'anneau et une deuxième ouverture
apte à entourer ledit moyen de fixation médial ou latéral de façon à permettre la
rotation de la sangle autour du moyen de fixation médial ou latéral.
[0011] L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description et du dessin dans
lequel :
[Fig.1] La figure 1 représente en vue en perspective, une chaussure de ski selon l'invention.
[Fig. 2] La figure 2 est une vue de côté de la chaussure de la figure 1
[Fig. 3] La figure 3 est une vue de dessus de la sangle cou-de-pied
[Fig. 4] La figure 4 est une vue de côté de la sangle cou-de-pied
[Fig. 5] La figure 5 est une vue de dessus de la sangle cou-de-pied
[Fig. 6] La figure 6 est une vue de côté de la sangle cou-de-pied
[Fig. 7] La figure 7 est une vue d'un dispositif alternatif de mise en tension du
câble
[0012] La figure 1 décrit une chaussure 1 prévue pour la pratique du ski de piste. Cette
chaussure comprend une coque externe 2 à l'intérieur de laquelle est inséré un chausson
interne 9. Le chausson interne 9 n'est pas lié de manière permanente à la coque externe
et il peut être retiré de cette dernière. Il s'agit d'une chaussure dite à « entrée
avant ». La coque externe 2 est constituée de deux parties principales : le bas de
coque 21 et le collier 22. Le bas de coque 21 est prévu pour recevoir le pied de l'utilisateur
et d'envelopper ce dernier depuis les orteils jusqu'au talon. Le bas de coque recouvre
ainsi tout l'avant-pied de l'utilisateur jusqu'au cou-de-pied.
[0013] Le collier 22 est fixé sur le bas de coque 21, à l'aide d'au moins deux moyens de
fixations axiaux 231, 232 situés respectivement sur le côté médial et le côté latéral
de la chaussure. Le moyen de fixation axial médial 231 et le moyen de fixation axial
latéral 232 sont sensiblement coaxiaux, placés au regard de la malléole médiale, respectivement
latérale de l'utilisateur. Les moyens de fixation axiaux peuvent être de tous types
connus dans le domaine, par exemple rivets ou vis.
[0014] La partie supérieure antérieure du bas de coque 21 définit une ouverture qui sert,
d'une part, à faciliter l'introduction du pied et, d'autre part, à adapter le volume
intérieur de la chaussure 1 à la forme du pied de l'utilisateur. Cette ouverture est
réalisée entre deux portions du bas de coque qui sont mobiles l'une par rapport à
l'autre. En pratique, ces deux portions mobiles sont d'une part, le rabat supérieur
212, et d'autre part, le rabat inférieur 213. La figure 2 montre en coupe la configuration
de ces deux rabats 212, 213. Le rabat supérieur 212 est partie intégrante du bas de
coque 21, il est situé côté médial de la chaussure. Le rabat inférieur 213 est également
partie intégrante du bas de coque et est placé sur le côté latéral de la chaussure.
[0015] Les moyens de serrage du bas de coque sont constitués par un système de laçage qui
comprend un câble 32, un moyen d'ancrage 35 du câble 32, une pluralité de passants
331, 332, 333 et un mécanisme de mise en tension du câble 31 qui, dans le mode de
réalisation décrit, se présente sous la forme d'un dispositif enrouleur de câble.
Sous l'action du dispositif de serrage, le rabat médial 212 chevauche le rabat latéral
213. Le mouvement relatif du rabat médial 212 par rapport au rabat latéral 213 dans
le sens du serrage est réalisé par la traction qu'exerce la portion du câble 32 qui
est fixé au rabat latéral par l'intermédiaire de l'ancrage 35 et passe alternativement
dans un passant médial antérieur 331 du rabat médial, puis dans le passant latéral
333 du rabat latéral, enfin dans le passant médial postérieur 332 du rabat médial.
L'extrémité libre 2121 du rabat supérieur 212 peut alors coulisser sur la zone de
recouvrement 2131 qui est ménagée sur le rabat inférieur 213. La zone de recouvrement
correspond en fait à la superficie du rabat inférieur que le rabat supérieur est susceptible
de recouvrir.
[0016] Dans le cas où l'utilisateur présente un pied fin et peu volumineux, il est possible
que pour que la chaussure soit correctement ajustée et serrée, il doive actionner
le dispositif de serrage jusqu'à ce que toute la zone de recouvrement soit recouverte
par le rabat supérieur.
[0017] La chaussure de l'invention se caractérise par une configuration particulière d'un
des passant. Il s'agit d'un des passants disposés sur le côté médial de la chaussure.
Comme on peut le voir à la figure 2, le passant est fixé à l'extrémité d'une sangle
36 et cette sangle est elle-même fixée au moyen de fixation axial médial 231 reliant
le collier 22 au bas de coque 21. La sangle 36 vient avantageusement se placer au
niveau du cou-de-pied de l'utilisateur. La sangle a une longueur comprise entre 5
et 15 cm afin de garantir un meilleur enveloppement. Du fait de son orientation dans
le plan du périmètre court talon, elle permet de diriger le talon de l'utilisateur
vers l'arrière de la chaussure. En effet on peut voir, en prolongeant la direction
de la sangle que celle-ci va exercer une traction dirigée vers l'extrémité arrière
de la semelle de la chaussure. Dans le mode de réalisation décrit ici, la sangle à
une longueur d'environ 10 cm. Ainsi, le passant médial 332 se trouve positionné sur
le sommet du bas de coque. Il repose sur le rabat médial 212, à l'extrémité libre
de ce dernier.
[0018] La figure 3 montre une vue de dessus de la sangle seule et la figure 4 en montre
une vue de côté. Elle comporte une portion principale 361, qui dans le mode de réalisation
décrit ici consiste en une bande textile qui est repliée et cousue sur elle-même à
ses deux extrémités de manière à former deux boucles. Ces deux boucles sont visibles
sur la figure 4 qui est une vue de côté. L'une de ces deux boucles, la boucle proximale
3611 sert à la fixation de l'anneau d'ancrage 362, tandis que l'autre, la boucle distale
2612, sert à la fixation du passant médial 332.
[0019] L'anneau d'ancrage 362 est réalisé par découpage d'une tôle métallique dans laquelle
deux ouvertures traversantes sont ménagées. La première ouverture 3621 est une ouverture
oblongue à travers de laquelle passe la bande textile de la portion principale 361.
La deuxième ouverture 3622 est de préférence circulaire et elle est prévue pour être
traversée par le moyen de fixation axial médial 231. Avantageusement, l'anneau d'ancrage
est relativement peu épais, quelques millimètres seulement, il peut facilement s'intercaler
entre le bas de coque 21 et le collier 22. De plus, la forme circulaire de la deuxième
ouverture donne la possibilité à la sangle de pouvoir tourner autour du moyen de fixation
médial 231. En pratique, le bas de coque ou le collier peuvent présenter une excroissance
cylindrique saillante, centrée sur le moyen de fixation axial ou médial et dont le
diamètre extérieur est sensiblement identique à celui de la deuxième ouverture 3622.
Cet ajustement entre l'anneau d'ancrage 362 et la coque permet une meilleure répartition
des efforts générés par le dispositif de mise en tension du câble lors du processus
de serrage de la chaussure et facilite la rotation de la sangle. L'anneau d'ancrage
est intercalé entre le bas de coque et le collier. Dans un mode de réalisation alternatif
on peut prévoir de fixer l'anneau d'ancrage à l'extérieur du collier.
[0020] Le passant médial postérieur 332 est placé à l'intérieur de la boucle distale 3612.
Le passant est stabilisé à l'intérieur de cette boucle grâce à deux renforts 363 et
364 entre lesquels il est pris en sandwich. De préférence, les deux renforts sont
réalisés en matières plastique et sont surmoulés sur la bande textile de façon à garantir
leur ancrage sur cette dernière. Un rivet 365, ou tout autre moyen de fixation équivalent
est utilisé afin de solidariser les deux renforts et le passant 332.
[0021] Les figures 5 et 6 représente respectivement une vue de dessus et une vue de côté
d'une variante de réalisation de la sangle 36. Cette dernière comprend les mêmes composants
que ceux décrits ci-dessus, notamment un anneau de serrage 362, un passant 332 et
une bande textile 361. Elle est complétée par la mise en place d'un élément d'habillage
366. Celui n'a pas nécessairement de fonction mécanique dans tenue de la sangle aux
efforts de traction auxquels elle est soumise lors du serrage de la chaussure, mais
plutôt une fonction de protection et de décoration. L'élément d'habillage 366 est
fixé à la bande textile 361 par des coutures 367 et également à l'extrémité distale
de la sangle grâce au rivet 365 qui maintient le passant 362 à la bande textile.
[0022] La figure 7 présente une variante de réalisation de l'invention dans laquelle le
mécanisme de mise en tension du câble 32 est constitué par un dispositif à rochet
31'. Etant donné que cette variante ne diffère du mode précédemment décrit que par
le mécanisme de mise en tension du câble, seul ce-dernier être décrit ci-dessous.
Celui-ci comporte une bande crantée 311 à l'extrémité de laquelle est solidarisée
l'extrémité du câble 32. Chaque dent 3111 de la bande crantée 311 est susceptible
de venir en appui contre une dent de retenue ménagée sous le rochet 313. Ainsi la
bande crantée 311 peut être immobilisée dans différentes positions sous l'effet d'une
tension du câble s'exerçant selon la direction T. Chaque position de la sangle crantée
détermine une tension différente du câble ou un volume intérieur de la coque différent.
Le dispositif de mise sous tension 31' du câble 32 est fixé au bas de coque par l'intermédiaire
de l'embase 312 et il est actionné grâce au levier 314.
[0023] L'invention ne se limite pas aux seuls modes de réalisations et variantes décrites
ci-dessus. Elle concerne en effet toutes variantes équivalentes. Par exemple, dans
le mode de réalisation présenté ci-dessus, le mécanisme de mise en tension du câble
est placé sur le rabat latéral de la chaussure, tandis que la sangle est maintenue
à la coque grâce au moyen de fixation médial. Il s'agit bien entendu d'une possibilité
parmi d'autre. En effet, on peut aisément concevoir de placer le mécanisme de mise
en tension du câble sur le rabat médial. De manière similaire, il est envisageable
d'utiliser le moyen de fixation latérale pour solidariser la sangle à la coque.
1. Chaussure de ski (1) comportant une coque rigide (2) à l'intérieur de laquelle est
insérée un chausson interne de confort (9) et des moyens de serrage, ladite coque
(2) comprenant un bas de coque (21) et un collier (22) fixé sur ladite base de coque
par l'intermédiaire d'au moins deux moyens de fixation axiaux, lesdits au moins deux
moyens de fixation comportant un moyen de fixation médial (231) sensiblement placé
au regard de la malléole interne de l'utilisateur et une moyen de fixation latéral
(232) sensiblement placé au regard de sa malléole externe ; ledit bas de coque comportant
un rabat médial (212) et un rabat latéral (213) susceptibles de glisser l'un par rapport
à l'autre de façon à adapter le volume intérieur du bas de coque ; lesdits moyens
de serrage comprennent un câble (32), un moyen d'ancrage (35) dudit câble sur un des
rabats de la base de coque, un passant médial (331) fixé sur le rabat médial, un passant
latéral (333) fixé sur le rabat latéral (213), un troisième passant (332) et un mécanisme
de mise en tension (31, 31') du câble, ladite chaussure étant caractérisée en ce que ledit troisième passant (332) est fixé à l'extrémité distale d'une sangle (36), ladite
sangle étant solidarisée à la coque (2) par son extrémité proximale grâce au moyen
de fixation latéral (232) ou au moyen de fixation médial (231) .
2. Chaussure de ski (1) selon la revendication 1, caractérisée en ce que ladite sangle est retenue grâce à un anneau d'ancrage (362) sur ledit moyen de fixation
médial ou latéral.
3. Chaussure de ski (1) selon la revendication 2, caractérisée en ce que ledit anneau d'ancrage comprend une première ouverture (3621) servant à relier la
sangle avec l'anneau d'ancrage.
4. Chaussure de ski (1) selon la revendication 3, caractérisée en ce que ledit anneau d'ancrage comprend une deuxième ouverture (3622) apte à entourer ledit
moyen de fixation médial ou latéral de façon à permettre la rotation de la sangle
autour du moyen de fixation médial ou latéral.
5. Chaussure de ski (1) selon la revendication 1, caractérisée en ce que le mécanisme de mise sous tension du câble est un dispositif à enrouleur (31).
6. Chaussure de ski (1) selon la revendication 1, caractérisée en ce que le mécanisme de mise sous tension du câble est un dispositif à rochet (31').