[0001] L'invention concerne le domaine des fixations des planches de glisse et concerne
plus particulièrement une plaque d'appui pour une telle fixation. Elle trouve pour
application les sports de glisse, notamment le ski de piste ou le ski de randonnée.
[0002] Les fixations de chaussures sur des planches de glisse comprennent de façon générale
au moins un élément de retenue, configuré pour maintenir la chaussure sur la planche
de glisse, et une plaque d'appui sur laquelle vient s'appuyer la semelle de la chaussure,
lorsqu'elle est en prise avec l'élément de retenue. La plaque d'appui comprend un
châssis, fixé sur une face supérieure de la planche de glisse, et une plaque de support
sur laquelle repose la semelle de la chaussure. En fonction de la construction des
éléments de retenue et de l'aptitude de la fixation à accepter différents types de
semelle de chaussure de ski, il peut être nécessaire de prévoir un réglage de la hauteur
de la plaque de support.
[0003] Le document
EP 3117887 décrit une telle plaque d'appui avec un mécanisme de réglage en hauteur de la plaque
de support dans lequel la plaque de support comporte une surface de came qui coopère
avec une rampe ménagée sur le châssis de la plaque d'appui. Un système de vis/écrou
orienté sensiblement selon l'axe longitudinal du ski permet de convertir un mouvement
horizontal de l'écrou en un mouvement vertical de la plaque de support. Ce dispositif
présente néanmoins quelques inconvénients. Tout d'abord, le réglage doit impérativement
se faire par la face avant de la butée, si bien qu'un tel système ne se conçoit que
pour une configuration dans laquelle la plaque d'appuis et la butée avant sont pleinement
associées. En d'autres termes, il est nécessaire que le châssis de la butée prévoie
un passage inférieur pour la vis de réglage ou pour le passage de l'outil de réglage.
D'autre part, au cours de l'élévation de la plaque de support, l'écrou monte également
et il faut donc laisser à la vis de réglage la possibilité d'un certain mouvement
angulaire dans le plan médian. Ce mouvement angulaire de la vis de réglage est une
source de jeu dans le mécanisme et par conséquent d'imprécision dans le réglage. Enfin,
le contact entre la surface de came de la plaque de support et la rampe du châssis
est également générateur de jeu et, par conséquent, d'imprécision des appuis pour
le skieur. En effet, les moments où la plaque d'appui est le plus sollicitée sont
les moments où le skieur exerce une forte pression sur l'une des carres du ski. Dans
ces moments, seul un des côtés de la plaque de support est sollicité, laquelle est
alors soumise à un moment de déformation autour de l'axe longitudinal. Comme l'appui
de la plaque de support sur le châssis se fait au niveau d'une surface oblique, cette
surface n'assure pas une résistance adéquate à la déformation induite par le moment
sus-mentionné.
[0004] Le document
EP2786789 présent également une plaque d'appui présentant un mécanisme de réglage en hauteur
de la plaque de support. Ce dispositif résout en partie les inconvénients exposés
ci-dessus. En effet, le concepteur s'étant limité à n'avoir que deux positions possibles
de réglage de la plaque de support, il a été possible d'avoir pour chacune de ces
deux positions un contact entre la plaque de support et le châssis qui est une surface
horizontale, laquelle est beaucoup moins sensible aux effets du moment de déformation
généré lors des fortes prises de carres. Néanmoins, il s'agit là d'un réglage limité
à seulement deux positions. D'autre part, le réglage ne peut se faire que lorsque
la chaussure n'est pas en place sur la fixation.
[0005] L'objectif de l'invention est de proposer une plaque d'appui pour une fixation de
ski alpin qui résout les problèmes des constructions de l'art antérieur. Notamment,
l'invention a pour objectif de fournir une plaque d'appui réglable en hauteur, qui
est indépendante de la butée avant de la fixation, qui permet le réglage même lorsque
la chaussure est en place sur la fixation et qui résiste aux déformations générées
par les prises de carres trop importantes.
[0006] L'objectif de l'invention est atteint par la fourniture d'une plaque d'appui comportant
une embase prévue pour être fixée à un ski et un patin susceptible de venir au contact
d'une chaussure retenue dans un dispositif de fixation de ladite chaussure sur le
ski, ladite plaque d'appui comportant des moyens de réglages permettant de faire varier
la hauteur du patin par rapport à l'embase, lesdits moyens de réglage comprenant un
corps de vis de réglage, disposé selon l'axe longitudinal du ski, et une tête de vis
de réglage solidaire en rotation avec ledit corps de vis de réglage par l'intermédiaire
d'une liaison à cardan ; ladite tête de vis de réglage étant disposée selon un axe
X52 faisant un angle β compris entre 15° et 45°, de préférence compris entre 20° et
40° avec l'axe longitudinal du ski et ladite tête de vis de réglage étant susceptible
d'être entraînée en rotation par l'utilisateur.
[0007] Dans un mode de réalisation préféré de l'invention, le patin est solidaire d'une
pédale fixée de manière rotative à ladite embase de façon à faire varier l'élévation
verticale dudit patin, le mouvement rotatif de ladite pédale étant généré par un mouvement
de translation d'un coulisseau selon un axe longitudinal du ski.
[0008] Dans un mode de réalisation préféré, le coulisseau comporte une coulisse antérieure
gauche, une coulisse antérieure droite, une coulisse postérieure gauche et une coulisse
postérieure droite et en ce que l'embase comprend un guide antérieur gauche, un guide
antérieur droit, un guide postérieur gauche et un guide postérieur droit, prévus pour
coopérer respectivement avec lesdites coulisses antérieures gauche et droite et lesdites
coulisses postérieures gauche et droite.
[0009] Dans un mode de réalisation préféré, le coulisseau comporte un corps principal qui
s'étend selon un axe transversal du ski, ledit corps principal comportant une portion
de commande équipée de moyens transformant un mouvement rotatif en un mouvement de
translation et disposée entre une portion latérale gauche et une portion latérale
droite ; ladite portion latérale gauche, respectivement ladite portion latérale droite,
étant équipée d'une rampe gauche, respectivement d'une rampe droite.
[0010] Les autres objets, caractéristiques et avantages de la présente invention apparaîtront
à l'examen de la description suivante et du dessin d'accompagnement, comportant les
figures suivantes :
[fig.1] la figure 1 est une vue en perspective arrière de la plaque d'appui
[fig.2] la figure 2 est une vue éclatée en perspective avant de la plaque d'appui
[fiig.3] la figure 3 est une vue en coupe longitudinale, selon le plan P3, lorsque
la pédale est en position basse
[fig.4] la figure 4 est une vue en coupe longitudinale selon le plan P3, lorsque la
pédale est en position haute
[fig.5] la figure 5 est une vue en coupe selon le plan P5
[fig.6] la figure 6 est une vue en perspective coupée selon le plan P6
[fig.7] la figure 7 est une vue en coupe transversale selon le plan P7
[0011] La figure 1 montre en perspective la plaque d'appui selon l'invention. Cette plaque
d'appui est destinée à être solidarisée à un ski à proximité de la butée avant de
la fixation de sécurité. La plaque d'appui comporte une embase 1, une pédale 3 et
un patin 2. L'embase est vissée sur le ski ou sur une interface, elle-même fixée au
ski, par l'intermédiaire de vis. Les vis ne sont pas visibles sur la figure 1. On
peut cependant voir les deux cuvettes arrière 12 dans lesquelles les deux vis arrière
sont insérés et un des deux orifices avant 13 qui servent au passage des vis avant.
On parle, ici, de cuvettes arrière 12 car elles sont placées dans la partie arrière
de l'embase, c'est-à-dire, dans la partie de l'embase qui est dirigée vers l'arrière
du ski. On notera que les orifices avant 13 servent au passage de vis qui assurent
en même temps la solidarisation de la butée avant au ski et celle de la plaque d'appui.
[0012] La pédale 3 est montée pivotante par rapport à l'embase 1 grâce à deux arbres 11
orientés perpendiculairement à l'axe longitudinal du ski. Le patin 2, qui est placé
sur la pédale 3, est prévu pour assurer le contact avec la semelle de la chaussure.
Une glissière 21 est ménagée entre la pédale 3 et le patin 2 pour permettre à ce dernier
de coulisser transversalement lors d'un déclenchement latéral de la butée avant. Un
ressort transversal 22 assure le retour en position centrale du patin 2.
[0013] Les figures 3 et 4 montrent, selon une coupe longitudinale, la pédale 3 dans deux
positions extrêmes de son mouvement de rotation par rapport à l'embase 1. La pédale
3 comporte deux projections arrière 31 qui, chacune, sont reçues dans une cavité 14
ménagées dans la partie arrière de l'embase 1. Les projections arrière 31 ainsi que
les bords des cavités 14 sont percées de manière à recevoir les arbres 11. Les arbres
11 sont coaxiaux, alignés et orientés transversalement et permettent à la pédale de
pivoter selon l'axe transversal défini par l'alignement des deux arbres 11. Deux ressorts
longitudinaux 32 sont placés entre la pédale et l'embase afin de contraindre la pédale
vers la position basse et ainsi assurer le contact avec le coulisseau.
[0014] Le mouvement de pivot de la pédale 3 et, par conséquent, la hauteur du patin 2 supportant
la semelle de la chaussure, est généré par le mouvement de translation longitudinal
du coulisseau 4. La surface inférieure de la pédale 3 constitue un plan incliné 33,
tandis que la portion centrale du coulisseau 4 comporte des rampes 464, 465 qui coopèrent
avec le plan incliné 33. Lorsque le coulisseau est en position avant, comme représenté
à la figure 3, c'est la portion distale de la pente inclinée 33 qui est en contact
avec les rampes 464 et 465. Le patin 2 est alors en position basse. Lorsqu'il est
en position arrière, (cf. figure 4) c'est la portion proximale de la pente inclinée
33 qui est en contact avec le sommet de la rampe. Le patin 2 est alors en position
haute. Toutes les hauteurs intermédiaires du patin sont possibles en positionnant
le coulisseau dans une position intermédiaire.
[0015] La figure 5 montre en vue de dessous la plaque d'appui permettant de visualiser les
projections arrière 31 de la pédale dans les cavités 14 ainsi que les ressorts 32
qui contraignent la pédale 3 afin que la pente inclinée reste toujours en contact
avec la rampe du coulisseau. Pour des raisons de facilité de lecture du dessin, on
a donné dans cette figure une teinte plus sombre au coulisseau 4 et au mécanisme de
réglage 5 de la hauteur la pédale.
[0016] Le mécanisme de réglage 5 de la hauteur de la pédale 3 comprend notamment un corps
de vis de réglage 51 et une tête de vis 52. Le corps de vis 51 est fixé longitudinalement
et maintenu dans sa position grâce à un pont antérieur 151 et à un pont postérieur
156. Le pont antérieur 151 ainsi que le pont postérieur 156 sont solidaire de l'embase
1. Le corps de vis 51 est fileté et est en prise avec un trou taraudé 49 ménagé dans
la portion de commande 461 du coulisseau 4. La rotation du corps de vis génère le
déplacement longitudinal du coulisseau 4. La tête de vis 52 est reliée au corps de
vis 51 par une liaison cardan. Elle est orientée selon un axe X52 qui fait un angle
β compris entre 20° et 45°, de préférence compris entre 20° et 30°, avec l'axe longitudinal.
La tête de vis 52 et le corps de vis 51 sont placées dans un plan horizontal. Dans
le mode de réalisation décrit, l'angle β fait environ 25°. La tête de vis 52 est maintenue
dans sa position oblique par rapport à l'axe longitudinal grâce à un troisième pont
157. Dans le mode de réalisation présentée dans les figures, l'embase est obtenue
par injection d'une matière thermoplastique et les ponts antérieur 151 et postérieur
156 ainsi que le troisième pont 157 font partie intégrante de l'embase.
[0017] La liaison mécanique à cardan existant entre le corps de vis et la tête de vis fait
qu'il est nécessaire de de placer l'outil servant au réglage de la hauteur de la pédale
selon un axe qui fait un angle β avec l'axe longitudinal. Avantageusement, cela permet
de pouvoir régler la hauteur de plaque d'appui lorsque la chaussure est en place sur
le ski, c'est-à-dire retenue par la butée avant et la talonnière arrière de la fixation
de ski.
[0018] Le coulisseau 4, dont une vue en perspective est visible à la figure 2, comprend
d'une part un corps principal 46 orientée transversalement. Ledit corps principal
46 comporte une portion de commande 461 équipée de moyens transformant un mouvement
rotatif en un mouvement de translation et disposée entre une portion latérale gauche
462 et une portion latérale droite 463 ; ladite portion latérale gauche, respectivement
ladite portion latérale droite, étant équipée d'une rampe gauche 464, respectivement
d'une rampe droite 465. Lesdits moyens de transformation d'un mouvement rotatif en
un mouvement de translation sont constitués par un trou taraudé 49 ménagé dans la
portion de commande 461 qui coopère avec le corps de vis de réglage 51. En plus du
corps principal 46, le coulisseau 4 comprend quatre coulisses 42, 43, 44, 45. La coulisse
antérieure gauche 42, respectivement la coulisse antérieure droite 43, s'étend depuis
le corps principal du coulisseau vers l'avant, tandis que la coulisse postérieure
gauche 44, respectivement la coulisse postérieure droite 45, s'étend depuis le corps
principal vers l'arrière.
[0019] Les coulisses antérieures 42 et 43, respectivement les coulisses postérieures 44
et 45 ont une longueur,
Lo, selon la direction longitudinale comprise entre 10 et 20 mm et une largeur,
La, d'environ 6 mm. Elles sont séparées d'une distance, D, supérieure à 10 mm.
[0020] La coulisse antérieure gauche 42, respectivement la coulisse antérieure droite 43,
est retenue latéralement dans un guide antérieur gauche 152, respectivement dans un
guide antérieur droit 153. Comme on peut le voir à la figure 6, le guide antérieur
gauche 152, respectivement le guide antérieur droit 153, est constitué par une paroi
longitudinale externe antérieure gauche 1521 et par une paroi interne antérieure gauche
1522, respectivement par une paroi longitudinale externe antérieure droite 1531 et
par une paroi interne antérieure droite 1532. On notera que la paroi interne antérieure
gauche 1522 et la paroi interne antérieure droite 1532 sont placées à la base du pont
antérieur 151.
[0021] La coulisse postérieure gauche 44, respectivement la coulisse postérieure droite
45, est retenue latéralement dans un guide postérieur gauche 154, respectivement dans
un guide postérieur droit 155. La figure 7 montre une vue en coupe de l'embase 1 et
du coulisseau 4 au niveau du pont postérieur 156. Le guide postérieur gauche 154,
respectivement le guide postérieur droit 155, est constitué par une paroi longitudinale
externe postérieure gauche 1541 et par une paroi interne antérieure gauche 1542, respectivement
par une paroi longitudinale externe antérieure droite 1551 et par une paroi interne
antérieure droite 1552. On notera que la paroi interne antérieure gauche 1542 et la
paroi interne antérieure droite 1552 sont placées à la base du pont postérieur 156.
[0022] La configuration particulière du coulisseau lui assure une bonne stabilité de position,
et ce quels que soient les efforts auxquels il est soumis. Prenons par exemple le
cas d'un virage vers la gauche opéré par le skieur. Lorsqu'un tel virage est réalisé
à grande vitesse et qu'il nécessite une forte prise de carre, la chaussure du skieur
exerce un effort vertical important sur le côté gauche du patin 2. Cet effort vertical
est intégralement transmis à la pédale 3. En revanche, du fait du glissement possible
entre la pente inclinée 33 et la rampe 41 du coulisseau, cet effort vertical génère
un effort horizontal qui s'exerce sur la partie gauche du coulisseau et tend à le
faire pivoter. Avantageusement, grâce aux différentes coulisses 42, 43, 44, 45, cette
rotation est largement entravée. En effet, la coulisse antérieure gauche 42 vient
en appui contre la paroi interne antérieure gauche 1522 et la coulisse antérieure
droite 43 vient en appui contre la paroi externe antérieure droite 1531. Simultanément,
la coulisse postérieure gauche 44 vient en appui contre la paroi externe postérieure
gauche 1541 et la coulisse postérieure droite 45 vient en appui contre la paroi interne
postérieure droite 1552.
[0023] L'invention ne se limite pas au seul mode de réalisation décrit ci-dessus à titre
d'exemple.
1. Plaque d'appui comportant une embase (1) prévue pour être fixée à un ski et un patin
(2) susceptible de venir au contact d'une chaussure retenue dans un dispositif de
fixation de ladite chaussure sur le ski, ladite plaque d'appui comportant des moyens
de réglages permettant de faire varier la hauteur du patin par rapport à l'embase,
lesdits moyens de réglage comprenant un corps de vis de réglage (51) ; ledit corps
de vis de réglage (51) étant disposée selon l'axe longitudinal du ski, caractérisé en ce que les moyens de réglage comporte en outre une tête de vis de réglage (52) solidaire
en rotation avec ledit corps de vis de réglage (51) par l'intermédiaire d'une liaison
à cardan et disposée selon un axe X52 faisant un angle β compris entre 15° et 45°,
de préférence compris entre 20° et 40° avec l'axe longitudinal du ski, ladite vis
de réglage étant susceptible d'être entraînée en rotation par l'utilisateur et en ce que ledit patin est solidaire d'une pédale (3) fixée de manière rotative à ladite embase
de façon à faire varier l'élévation verticale dudit patin, le mouvement rotatif de
ladite pédale étant généré par un mouvement de translation d'un coulisseau (4) selon
un axe longitudinal du ski.
2. Plaque d'appui selon la revendication 1 caractérisé en ce que ledit coulisseau comporte une coulisse antérieure gauche (42), une coulisse antérieure
droite (43), une coulisse postérieure gauche (44) et une coulisse postérieure droite
(45) et en ce que l'embase comprend un guide antérieur gauche (152), un guide antérieur droit (153),
un guide postérieur gauche (154) et un guide postérieur droit (155), prévus pour coopérer
respectivement avec lesdites coulisses antérieures gauche et droite et lesdites coulisses
postérieures gauche et droite.
3. Plaque d'appui selon la revendication 2 caractérisée en ce que ledit coulisseau (4) comporte un corps principal (46) qui s'étend selon un axe transversal
du ski, ledit corps principal comportant une portion de commande (461) équipée de
moyens transformant un mouvement rotatif en un mouvement de translation et disposée
entre une portion latérale gauche (462) et une portion latérale droite (463) ; ladite
portion latérale gauche, respectivement ladite portion latérale droite, étant équipée
d'une rampe gauche (464), respectivement d'une rampe droite (465).
4. Plaque d'appui selon la revendication 3 caractérisée en ce que ledit guide antérieurgauche (152), respectivement ledit guide antérieur droit (153),
comprend une paroi interne antérieure gauche (1522), respectivement une paroi interne
antérieure droite (1532), et une paroi externe antérieure gauche (1521), respectivement
une paroi externe postérieure droite (1531) ; et en ce que le guide postérieur gauche (154), respectivement le guide postérieur droit (155),
comprend une paroi interne postérieure gauche (1542), respectivement une paroi interne
postérieure droite (1552), et une paroi externe postérieure gauche (1541), respectivement
une paroi externe postérieure droite (1551).