[0001] La présente invention concerne un dispositif de repassage à vapeur, comportant :
- un fer à repasser électrique comprenant une semelle chauffante et une chambre de vaporisation
pratiquée dans la semelle, fermée par un couvercle métallique et communiquant avec
l'extérieur au moyen d'orifices de sortie de vapeur ménagés dans la semelle ;
- un générateur de vapeur indépendant ; et
- un tuyau souple d'amenée de vapeur dont une extrémité est branchée en sortie du générateur
de vapeur et dont l'autre extrémité est reliée à la chambre de vaporisation du fer
à repasser par un conduit de vapeur logé dans ledit fer.
[0002] On connaît déjà différents types classiques de fers à repasser électriques à vapeur,
à usage domestique, comportant notamment une semelle métallique chauffante fermée
par un couvercle, une calotte chapeautant la semelle et isolant thermiquement celle-ci
de la carrosserie du fer, un réservoir d'eau et une chambre de vaporisation pratiquée
dans la semelle et dans laquelle est produite une certaine quantité de vapeur d'eau
sous pression projetée à travers des orifices de sortie ménagés dans la semelle du
fer à repasser. L'eau, contenue dans le réservoir, est dirigée par un dispositif d'injection
soumis à actionnement, vers la chambre de vaporisation chauffée par une résistance
électrique noyée dans la semelle du fer. Au contact du métal chauffé, l'eau est transformée
en vapeur et s'échappe par les orifices de sortie ménagés à cet effet.
[0003] Ce type de fer à repasser à vapeur fonctionnant de manière autonome donne entière
satisfaction.
[0004] Cependant, actuellement, on utilise de plus en plus pour une production importante
de vapeur sous pression, un générateur de vapeur d'eau qui est structurellement indépendant
d'un fer à repasser, et qui est relié à l'arrière du fer à repasser par un tuyau souple
d'amenée de vapeur.
[0005] Dans ce type d'installation de repassage, il est souhaitable d'utiliser un fer à
repasser qui existe déjà sur le marché, tel que celui décrit précédemment et pour
lequel le dispositif d'injection d'eau est bien entendu hors service. On a alors proposé
de relier le tuyau souple à la chambre de vaporisation du fer à repasser au moyen
d'un conduit de vapeur souple et isolant, en faisant passer ce dernier soit au-dessous
de la calotte d'isolation thermique dudit fer en le raccordant au tuyau souple par
des pièces intermédiaires isolantes, d'où une certaine complexité de raccordement,
et en le branchant directement à la chambre de vaporisation du fer à repasser, d'où
un montage relativement difficile du conduit en raison de sa souplesse, soit au-dessus
de la calotte d'isolation thermique ce qui nécessite inévitablement de profondes modifications
du fer à repasser en question, voire une nouvelle conception spécifique du fer à repasser.
[0006] De plus, le conduit de vapeur utilisé est en général réalisé en un silicone qui est
relativement sujet à une déformation avec l'usage du fer à repasser, un tel conduit
risquant par ailleurs de se débrancher, notamment au niveau de la chambre de vaporisation
du fer, sous l'action de la pression de la vapeur véhiculée.
[0007] L'invention a pour but de pallier ces inconvénients et de réaliser un dispositif
de repassage à vapeur, du type exposé ci-dessus, mettant en oeuvre une liaison entre
le tuyau souple d'amenée de vapeur et la chambre de vaporisation d'un fer à repasser,
qui soit simple, fiable, économique et facile à établir, et qui puisse aisément s'adapter
sur un fer à repasser de constitution classique connue, c'est-à-dire conçu pour fonctionner
en autonomie.
[0008] Selon l'invention, le conduit de vapeur assurant la liaison entre le tuyau souple
d'amenée de vapeur et la chambre de vaporisation du fer à repasser est un tube métallique
rigide dont une extrémité dite arrière est directement raccordée au tuyau souple et
dont l'autre extrémité dite avant débouche dans la chambre de vaporisation du fer
à repasser en étant encastrée de façon étanche dans une ouverture percée dans le couvercle
de la chambre de vaporisation dudit fer.
[0009] Ainsi, on obtient une liaison tuyau souple - chambre de vaporisation du fer à repasser,
qui est à la fois simple à réaliser et fiable dans le temps puisqu'elle ne fait intervenir
qu'un seul tube métallique rigide de conduite de vapeur. Une telle simplicité de montage
est bien adaptée à une fabrication automatique en grande série.
[0010] D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront d'ailleurs de
la description qui va suivre d'un mode particulier de réalisation pris à titre d'exemple
non limitatif illustré aux dessins annexés dans lesquels :
- la figure 1 est une vue schématique en coupe partielle du dispositif de repassage
à vapeur selon l'invention ;
- la figure 2 est une vue en perspective éclatée de certains constituants, représentés
en coupe transversale, de la partie inférieure du fer à repasser illustré à la figure
1 ;
- la figure 3 est une vue en coupe transversale des constituants de la figure 2 une
fois assemblés ; et
- la figure 4 est une vue schématique de dessus de l'ensemble semelle-tube du fer à
repasser de la figure 1, avec représentation des liaisons électriques du fer.
[0011] En référence à la figure 1, un dispositif de repassage à vapeur comporte un fer à
repasser 1, un générateur de vapeur indépendant 2 et un tuyau souple 3 d'amenée de
vapeur, reliant le générateur de vapeur au fer à repasser.
[0012] Le générateur de vapeur 2, destiné à produire une grande quantité de vapeur d'eau
sous pression, est d'une structure connue en soi. A titre purement indicatif, ce générateur
de vapeur est par exemple du type comportant :
- soit un réservoir prévu pour contenir une quantité déterminée d'eau et de vapeur produite
à partir de cette eau, et une résistance plongeante pour chauffer l'eau et engendrer
cette vapeur,
- soit une chaudière alimentée en eau contenue dans un réservoir séparé via une micropompe.
[0013] En regard des figures 1 et 2, le fer à repasser 1 (figure 1) comporte un sous-ensemble
(semelle) désigné par le repère général 4 sur la figure 2 et comprenant une semelle
métallique moulée 5, par exemple en aluminium, dans laquelle est pratiquée une chambre
de vaporisation 6 qui communique avec l'extérieur au moyen d'orifices de sortie 7
ménagés dans la face inférieure de la semelle 5.
[0014] La chambre de vaporisation 6 est fermée par un couvercle 8 en tôle emboutie. A cet
effet, le couvercle 8 présente un bord périphérique courbé 9 qui est encastré dans
une rainure complémentaire 10 pratiquée dans la face supérieure de la semelle 5. Le
couvercle 8 est de plus maintenu sur la semelle 5 au moyen d'éléments de serrage (non
figurés).
[0015] Dans la semelle 5 est noyée une résistance électrique blindée 12 en forme de U dont
seules les deux extrémités 12a, 12b sont visibles sur la figure 4.
[0016] Le sous-ensemble 4, figure 2, comprend également une plaque 13 en tôle, de section
droite en forme de Z, qui est disposée fixement sur la face supérieure de la semelle
5, en surplomb relativement à l'extrémité arrière de cette dernière, et qui supporte
de façon solidaire un conducteur de terre 14 coudé verticalement vers le haut.
[0017] Conformément à l'invention, le tuyau souple 3, figure 1, branché en sortie du générateur
de vapeur 2 et entrant dans la partie arrière 15 du fer à repasser 1, est relié à
la chambre de vaporisation 6 dudit fer par un seul tube métallique rigide 16 de conduite
de vapeur, réalisé par exemple en aluminium, dont une extrémité dite arrière 17 est
directement raccordée au tuyau souple 3 et dont l'autre extrémité dite avant 18 débouche
dans la chambre de vaporisation 6 du fer en étant encastrée de façon étanche dans
une ouverture 19 percée dans le couvercle 8 de la chambre de vaporisation 6 du fer
à repasser.
[0018] Dans l'exemple de réalisation illustré à la figure 1, l'extrémité arrière 17 du tube
16 comporte un bourrelet annulaire 20 sur lequel est emmanché à force le tuyau 3,
l'ensemble étant fermement maintenu en place par exemple au moyen d'un ruban de cerclage
approprié 21.
[0019] Dans cet exemple, figure 1, l'extrémité avant 18 du tube 16 est emmanchée à force
dans un joint tubulaire souple d'étanchéité 22 réalisé en un élastomère, de préférence
un silicone, et monté sans jeu dans l'ouverture 19 d'entrée dans la chambre de vaporisation
6 du fer à repasser 1 afin d'empêcher toute fuite de vapeur.
[0020] On notera qu'une fois le joint souple 22 inséré dans l'ouverture 19, l'emmanchement
à force de l'extrémité avant du tube 16 dans ledit joint provoque une expansion radiale
de ce dernier, assurant ainsi un parfait serrage du joint dans l'ouverture 19 et partant,
une excellente étanchéité.
[0021] En regard des figures 1 et 2, le joint tubulaire d'étanchéité 22 est constitué présentement
par une collerette cylindrique 23, à entrée conique (voir figure 2), qui est appliquée
à plat contre le couvercle 8 et qui se prolonge axialement par une queue ou embout
cylindrique 24 faisant saillie dans la chambre de vaporisation 6 et pourvu d'un bourrelet
25 se clipsant derrière un soyé cylindrique 26 (figure 2) pratiqué dans l'ouverture
19 du couvercle 8 et venu d'emboutissage.
[0022] Le tube métallique 16 est de préférence préformé et présente une partie avant 16a
en forme de col de cygne dont la partie antérieure 28 (figure 2) s'étend verticalement
dans le joint 22 sur toute la hauteur de ce dernier, et dont la partie postérieure
29 (figure 2) a un tronçon d'extrémité 30, opposé au coude 27 du col de cygne, qui
est en appui contre le couvercle 8 de la chambre de vaporisation 6, comme bien visible
aux figures 1 et 3. Ce tronçon d'extrémité 30 de la partie postérieure 29 du col de
cygne est éventuellement maintenu en appui contre le couvercle 8 au moyen d'un élément
de serrage, tel que par exemple un ruban adhésif (non figuré).
[0023] On indiquera que le fait de conformer la partie avant 16a du tube 16 en un col de
cygne permet, grâce à son tronçon d'extrémité 30 en appui contre le couvercle 8, de
limiter la hauteur d'emmanchement du tube dans le joint en garantissant une distance
déterminée
d entre le débouché de l'extrémité avant 18 du tube et le fond de la chambre de vaporisation
6 du fer à repasser, voir figures 1 et 3.
[0024] A partir de la partie postérieure 29 de sa conformation en col de cygne, le tube
16 présente une partie intermédiaire 16b dirigée vers l'arrière du fer à repasser
et disposée partiellement en appui, sur une première portion, contre le couvercle
8 de la chambre de vaporisation 6, et sur une seconde portion, contre la plaque 13
de la semelle 5 (voir figure 4), ainsi qu'une partie arrière 16c prolongeant la partie
intermédiaire 16b, coudée verticalement vers le haut et raccordée au tuyau souple
3, comme on le voit sur la figure 1.
[0025] Il convient de noter que le tube 16, en contact avec le couvercle 8 solidaire de
la semelle 5, est lui-même chauffé par la résistance électrique 12 et partant, contribue
à éliminer d'éventuelles gouttes d'eau qui sont entraînées par la vapeur produite
par le générateur 2 et qui sont susceptibles de pénétrer dans la chambre de vaporisation
6 du fer à repasser où elles sont définitivement vaporisées, la vapeur s'échappant
alors par les orifices de sortie 7. La présence de ces gouttes d'eau entraînées par
la vapeur est notamment due à une condensation de la vapeur dans le tuyau souple de
liaison 3. Leur élimination par chauffage du tube 16 est d'autant plus efficace que
le tube 16 est de grande longueur, de petite section et possède des chicanes.
[0026] Il convient également de signaler ici que le fer à repasser 1 n'est jamais soumis
au problème connu d'entartrage car le calcaire se dépose entièrement dans le générateur
2, de sorte que les éventuelles gouttes d'eau entraînées dans le tuyau 3 et le tube
16 par la vapeur produite par le générateur 2 sont des gouttes d'eau déminéralisée.
[0027] En regard des figures 1 et 2, le fer à repasser 1 (figure 1) comporte également une
calotte d'isolation thermique 32 réalisée par moulage en une matière isolante et destinée
à venir se fixer sur la semelle 5 du fer à repasser par exemple au moyen de vis telles
qu'illustrées en 33 sur la figure 1. Cette calotte 32 présente un orifice de guidage
34 qui est traversé par la partie arrière verticale coudée 16c du tube 16 et qui possède
une nervure interne verticale 35, venue de moulage, et appliquée contre cette partie
arrière coudée 16c du tube, sensiblement au niveau du coude de celle-ci, de manière
à maintenir en place la partie arrière 16c du tube 16 contre la plaque 13 solidaire
de la semelle 5.
[0028] La calotte 32 présente également une ouverture 36 au travers de laquelle passe le
conducteur de terre coudé 14. Le tube 16, au niveau de sa partie arrière 16c, est
de préférence relié électriquement au conducteur de terre 14.
[0029] Comme on le voit sur la figure 1, le tube 16 est donc en quasi-totalité agencé en
dessous de la calotte d'isolation thermique 32, moyennant un léger jeu
j au niveau de sa partie avant 16a en col de cygne.
[0030] En regard de la figure 2, après réalisation du sous-ensemble 4 (semelle) du fer à
repasser, le joint d'étanchéité 22 est alors monté serré dans l'ouverture 19 du couvercle
8, puis la partie avant 16a en col de cygne du tube 16 est emmanchée à force dans
le joint 22 et la calotte 32 est rapportée sur le sous-ensemble 4 avec passage en
saillie, d'une part, de la partie arrière coudée 16c du tube 16 au travers de l'orifice
34 et, d'autre part, du conducteur de terre 14 au travers de l'ouverture 36.
[0031] La figure 3 montre un tel assemblage ou montage qui est donc aisé et rapide à exécuter,
sans risque d'erreurs, et ce de façon manuelle ou de préférence automatisée. Après
ce montage, le tuyau souple 3 (représenté en traits interrompus sur la figure 3) est
directement raccordé sur l'extrémité arrière 17 du tube 16.
[0032] On a désigné par 37 sur la figure 1 un câble ou cordon électrique destiné à assurer
l'alimentation électrique du fer à repasser 1 et entrant, comme le tuyau souple 3,
dans la partie arrière 15 du fer à repasser.
[0033] Les fils électriques (non figurés) du cordon 37 sont reliés respectivement à des
conducteurs électriques désignés en 38 sur la figure 4. Comme on le voit sur cette
figure 4, le tube 16 s'étend à distance appropriée de ces conducteurs électriques
38.
[0034] Selon la figure 1, le fer à repasser 1 comporte un capot de protection 39 formant
corps avec une poignée creuse 40 et rapporté sur la calotte d'isolation thermique
32.
[0035] De plus, le fer à repasser utilisé 1 (figure 1) est conçu de façon classique pour
fonctionner en autonomie, donc sans générateur de vapeur indépendant, et fait intervenir
à cet égard :
- une réserve à eau 41 délimitée par la calotte 32 et une partie du capot 39 ;
- un dispositif commandé d'injection d'eau 42 adapté pour alimenter en eau la chambre
de vaporisation 6 au travers d'une ouverture 43 pratiquée dans le couvercle 8 et rendue
étanche au moyen d'un joint 44, l'eau étant vaporisée dans la chambre 6 grâce à la
chaleur de la résistance électrique 12 et la vapeur ainsi produite sortant par les
orifices 7 ;
- un dispositif commandé de pulvérisation d'eau 45 agencé en saillie hors du capot 39
;
- un dispositif 46 de commande de thermorégulateur.
[0036] Evidemment, un tel fer à repasser 1, lorsqu'il est utilisé avec le générateur de
vapeur extérieur 2, est adapté de manière à ce que son dispositif d'injection 42 soit
mis hors service.
[0037] On indiquera, comme le montre d'ailleurs la figure 4, que l'ouverture 19 est de préférence
décalée par rapport à l'ouverture 43 qui est pratiquée sur l'axe longitudinal XX de
la semelle 5 du fer à repasser.
[0038] Ainsi, suivant l'invention, on a réalisé une adaptation simple mais efficace d'un
fer à repasser à vapeur de type classique dans le but de pouvoir l'utiliser avec un
générateur de vapeur indépendant, ce qui entre autres est particulièrement intéressant
sur le plan du coût de fabrication de l'ensemble.
1. Dispositif de repassage à vapeur, comportant :
- un fer à repasser électrique (1) comprenant une semelle chauffante (5) et une chambre
de vaporisation (6) pratiquée dans la semelle, fermée par un couvercle métalique (8)
et communiquant avec l'extérieur au moyen d'orifices de sortie de vapeur (7) ménagés
dans la semelle ;
- un générateur de vapeur indépendant (2) ; et
- un tuyau souple d'amenée de vapeur (3) dont une extrémité est branchée en sortie
du générateur de vapeur (2) et dont l'autre extrémité est reliée à la chambre de vaporisation
(6) du fer à repasser (1) par un conduit de vapeur (16) logé dans ledit fer,
caractérisé en ce que le conduit de vapeur (16) assurant la liaison entre le tuyau
souple (3) et la chambre de vaporisation (6) du fer à repasser est un tube métallique
rigide dont une extrémité dite arrière (17) est directement raccordée au tuyau souple
(3) et dont l'autre extrémité dite avant (18) débouche dans la chambre de vaporisation
(6) du fer à repasser en étant encastrée de façon étanche dans une ouverture (19)
percée dans le couvercle (8) de la chambre de vaporisation (6) dudit fer.
2. Dispositif de repassage selon la revendication 1,
caractérisé en ce qu'un joint tubulaire souple d'étanchéité (22) est monté dans l'ouverture
(19) du couvercle (8) de la chambre de vaporisation (6) du fer à repasser, et est
adapté à recevoir par emmanchement à force l'extrémité avant (18) du tube (16).
3. Dispositif de repassage selon la revendication 2,
caractérisé en ce que l'ouverture (19) du couvercle (8) de la chambre de vaporisation
(6) du fer à repasser présente un soyé (26), et en ce que le joint d'étanchéité (22)
présente une collerette cylindrique (23) s'appliquant sur ledit couvercle et se prolongeant
axialement par un embout cylindrique (24) pourvu d'un bourrelet (25) venant se clipser
derrière le soyé (26) de l'ouverture (19) dudit couvercle.
4. Dispositif de repassage selon la revendication 2 ou 3,
caractérisé en ce que le tube (16) est préformé et présente, au niveau de son extrémité
avant (18), une partie dite avant (16a) conformée en un col de cygne dont la partie
antérieure (28) s'étend verticalement dans le joint (22), sur toute la hauteur de
ce dernier, et dont la partie postérieure (29) présente un tronçon d'extrémité (30),
opposé au coude (27) dudit col, qui est en appui contre le couvercle (8) de la chambre
de vaporisation (6) dudit fer.
5. Dispositif de repassage selon la revendication 4,
caractérisé en ce que le tube (16) présente, à partir de la partie postérieure (29)
de son col de cygne, une partie dite intermédiaire (16b) dirigée vers l'arrière du
fer à repasser et disposée partiellement en appui sur le couvercle (8) de la chambre
de vaporisation (6) dudit fer, ainsi qu'une partie dite arrière (16c) coudée dans
le prolongement de ladite partie intermédiaire et s'étendant verticalement vers le
haut pour venir se raccorder au tuyau souple (3).
6. Dispositif de repassage selon la revendication 5, dans lequel l'ensemble formé par
la semelle (5) et le couvercle (8) du fer à repasser (1) est chapeauté par une calotte
d'isolation thermique (32),
caractérisé en ce que le tube (16), depuis sa partie avant jusqu'au coude de sa partie
arrière, s'étend sous la calotte d'isolation thermique (32), et en ce que la partie
arrière verticale (16c) du tube (16) fait saillie hors de la calotte (32) par passage
au travers d'un orifice (34) pratiqué dans ladite calotte.
7. Dispositif de repassage selon la revendication 6,
caractérisé en ce que la calotte d'isolation thermique (32) est pourvue intérieurement
d'une nervure verticale isolante (35) prenant appui sur la partie arrière (16c) du
tube (16), sensiblement au niveau du coude de celle-ci, de manière à maintenir en
place cette partie arrière du tube contre la semelle du fer à repasser.
8. Dispositif de repassage selon l'une quelconque des revendications précédentes,
caractérisé en ce que l'extrémité arrière (17) du tube (16) comporte un bourrelet
(20) sur lequel vient s'emmancher à force le tuyau souple (3).
9. Dispositif de repassage selon la revendication 8,
caractérisé en ce que l'extrémité arrière (17) du tube (16) est maintenue en place
à l'intérieur du tuyau souple (3) au moyen d'au moins un organe de serrage (21).
10. Dispositif de repassage selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans
lequel le fer à repasser (1) comporte des conducteurs électriques (38) dont l'un d'entre
eux constitue un conducteur de terre (14) auquel est reliée électriquement la semelle
(5) dudit fer,
caractérisé en ce que le tube (16) est relié électriquement au conducteur de terre
(14).