[0001] La présente invention concerne un dispositif de fixation d'une chaussure sur une
planche de glisse pour la pratique du surf sur la neige.
[0002] La pratique du surf sur la neige se fait traditionnellement avec une planche de glisse
qu'un utilisateur conduit par des impulsions qu'il génère avec des mouvements du corps
et des membres. Ces impulsions sont transmises à la planche par les membres inférieurs
à travers des chaussures et des moyens de fixation de ces chaussures sur la planche.
Il s'en suit que la conduite de la planche est en partie au moins conditionnée par
les caractéristiques des chaussures et également des moyens de fixation.
[0003] L'art antérieur a proposé au moins deux grandes familles de moyens de retenue de
chaussures par rapport à une planche de glisse destinées à la pratique du surf sur
la neige.
[0004] Une première famille est celle des chaussures rigides, maintenues à la planche par
une ou plusieurs fixations dites à plaques qui coopèrent généralement avec la base
d'une coque rigide de la chaussure, dont un exemple est donné par le document EP 525
580. La rigidité de l'ensemble chaussure-fixation permet une transmission directe
des appuis et facilite la précision de conduite de la planche.
[0005] La présente invention concerne une seconde famille de dispositifs de fixation pour
le maintien de chaussures relativement souples plus adaptées à la marche et donc plus
confortables en général. Certains de ces dispositifs de retenue comprennent un genre
de coque plastique dans laquelle prend position la chaussure et est associée à plusieurs
sangles qui servent au serrage de la chaussure dans la coque. Le dispositif est rapporté
sur ladite planche par l'intermédiaire d'une embase sur laquelle repose la semelle
de la chaussure. En général, l'embase se prolonge vers l'arrière de manière remontante
par un arceau destiné au calage du talon. Le dispositif comprend aussi un capot arrière
articulé sur l'embase et sur lequel prend appui la tige de la chaussure au niveau
du bas de jambe de l'utilisateur, notamment lors d'une prise de carre arrière. Un
dispositif de ce type est décrit dans le brevet américain 5 261 689 et dans sa division
n° 5 356 170.
[0006] Selon ces documents, le capot arrière est fixé sur l'arceau de manière à le rendre
basculant vers l'avant, ceci, d'une part, afin de faciliter le transport ou le stockage
de la planche et d'autre part, afin de pouvoir rendre le capot arrière réglable en
inclinaison avant-arrière à l'aide de moyens de réglage d'avancée avant prévus à cet
effet.
[0007] Les documents américains précités décrivent également des moyens permettant d'orienter
l'ensemble du capot arrière autour d'un axe sensiblement vertical correspondant à
celui de la jambe de l'utilisateur de manière à permettre à celui-ci de régler la
position du capot. Comme le montre figure 2, le réglage est choisi, préférentiellement,
de manière à ce que le capot soit globalement parallèle à la carre arrière de la planche,
quelle que soit la position angulaire choisie de la chaussure avant et de la chaussure
arrière sur la planche.
[0008] Cette liberté de réglage qui est donnée à l'utilisateur lui permet d'obtenir la laxité
désirée ainsi que les appuis qu'ils souhaitent en fonction des figures, du style,
de la géométrie de la planche, et de la position de ses pieds sur celle-ci.
[0009] Pour obtenir ce résultat, les documents américains précités décrivent des moyens
qui sont constitués par une partie inférieure du capot arrière s'inscrivant à l'intérieur
de l'arceau qu'elle double et s'étendant selon des extensions latérales dudit capot
qui constituent des bras d'articulation de celui-ci par rapport à l'embase.
[0010] On comprendra aisément que le fait de devoir articuler un élément à l'intérieur d'un
autre implique une certaine souplesse d'au moins l'un de ceux-ci, en l'occurrence
la partie inférieure du capot qui devra pouvoir se déformer lors d'une rotation dans
un plan horizontal afin de se conformer au profil de l'arceau. Ceci aura pour effet
néfaste de modifier le profil dans un sens horizontal du capot mobile par interaction
avec l'arceau qui lui reste fixe. En résumé, parmi les inconvénients liés à cette
solution on peut noter, entre autre, que l'appui arrière sera généralement moins rigide
du fait de la souplesse nécessaire du capot et, en conséquence, la tenue du bas de
jambe et du talon de l'utilisateur sera variable du fait de la déformation de l'ensemble
de ce capot à l'intérieur de l'arceau.
[0011] De plus, ces inconvénients liés à la souplesse des matériaux entraînent un inconvénient
supplémentaire qui consiste à devoir réaliser des bras d'articulation relativement
longs afin de compenser le manque de rigidité du capot.
[0012] La présente invention a pour but de remédier à l'ensemble de ces inconvénients et
propose à cet effet un dispositif de fixation d'une chaussure sur une planche de glisse
pour la pratique du surf sur la neige, de préférence mais non exclusivement; du type
constitué par une coque rigide associée à au moins une sangle et rapportée sur ladite
planche ; le dispositif comprenant une embase sur laquelle prend place la semelle
de la chaussure et qui se prolonge vers l'arrière de manière remontante par un arceau
destiné au calage du talon et par un capot arrière sur lequel est susceptible de prendre
appui la tige de la chaussure au niveau du bas de jambe de l'utilisateur, caractérisé
en ce que le capot arrière comprend:
- une première partie inférieure en forme d'étrier, disposée en prolongement de l'arceau
et s'articulant sur celui-ci autour d'un axe sensiblement transversal par rapport
au plan vertical longitudinal médian de la chaussure;
- une seconde partie supérieure prolongeant la première vers le haut et articulée à
celle-ci par des moyens de liaison pour permettre une modification de la position
relative de ladite seconde partie par rapport à la première partie par déplacement
en rotation de ladite seconde partie autour d'un axe sensiblement vertical situé en
avant dudit capot arrière.
[0013] Ainsi, on autorise un réglage de l'orientation d'une partie du capot pour satisfaire
les besoins de l'utilisateur mais sans affecter la tenue du talon. En effet, on comprend
aisément que le profil de l'arceau ne sera en rien modifié par la présence du capot
disposant d'une partie basse rigide indépendante dudit arceau et une partie supérieure
orientable selon les souhaits de l'utilisateur, son talon demeurant toujours calé
dans un arceau de géométrie invariable.
[0014] De plus, le fait de séparer le capot en une partie supérieure et en une partie inférieure
permet de renforcer cette dernière et ainsi rapprocher l'axe d'articulation vers le
point d'appui arrière et donc, réduire la longueur des bras de levier partant des
axes d'articulation sur l'embase.
[0015] Un aspect préférentiel de l'invention concerne la conception de l'étrier qui forme
la première partie du capot comprenant d'une part deux bras verticaux latéraux dont
les extrémités libres se prolongent et s'articulent sur les flancs externes de l'arceau
et d'autre part, une branche sensiblement horizontale formant un U avec les bras verticaux.
L'avantage est de pouvoir concerver, grace à un recouvrement partiel externe de l'arceau
par l'étrier, une tenue du talon invariable puisqu'obtenue par l'arceau fixe par rapport
à la coque quelque soit le réglage adopté du capot.
[0016] Selon une autre caractéristique de l'invention, les moyens de liaison de la seconde
partie supérieure du capot sur la première partie inférieure, ou étrier sont formés
par l'emboitement d'une rainure en forme d'arc, et d'un rail; de forme complémentaire
et de dimensions correspondantes à ladite rainure. Un tel emboitement présente pour
avantage de permettre un réglage angulaire continu et fin de la partie supérieure
du capot tout en constituant un encastrement résistant à la flexion lors d'un appui
arrière.
[0017] Selon une caractéristique préférentielle de l'invention, le dispositif comprend des
moyens de débattement angulaire et de blocage en position de la seconde partie supérieure
par rapport à la première partie inférieure ou étrier comprenant au moins une lumière
oblongue traversée par un moyen de serrage effectuant le serrage de la rainure sur
le rail.
[0018] Un tel moyen associé à l'emboitement rainure-rail contribue à rendre le réglage continu
et l'encastement résistant à la flexion. De plus, il assure aussi un blocage en position
fiable.
[0019] La présente invention contient également d'autres caractéristiques et avantages qui
ressortiront de la description détaillée des figures qui va suivre.
- la figure 1 est une vue d'ensemble d'un dispositif de fixation selon l'invention sur
lequel a été matérialisée une chaussure en lignes pointillées;
- la figure 2 est une vue de dessus d'une planche de surf sur neige montrant une orientation
préférencielle des capots arrières du dispositif par rapport à la position particulière
des chaussures sur la planche;
- la figure 3 est une vue arrière d'un capot de prise d'appui constituant l'un des éléments
du dispositif de fixation de l'invention;
- la figure 4 est une vue en coupe transversale selon la ligne IV-IV de la figure 3;
- la figure 5 est une vue en coupe transversale selon la ligne V-V de la figure 4;
- la figure 6 est une vue de la partie supérieure du capot arrière ;
- la figure 7 est une vue en coupe transversale selon la ligne VII-VII de la figure
6.
- la figure 8 montre une vue en perspective arrière du capot selon une variante de l'invention.
[0020] En référence à la figure 1, le dispositif de fixation 1 de l'invention est destiné
à recevoir une chaussure 2 (représentée en lignes pointillées) .
[0021] Le dispositif 1 est du type constitué par une coque rigide 4, désignée comme étant
un ensemble de plusieurs parois rigides assurant le maintien de la chaussure et certains
appuis nécessaires à la pratique du surf. La coque 4 est associée à des sangles 5
ajustables en longueur rattachées sur les côtés 40, 41 de la coque et qui ont pour
fonction de retenir la chaussure dans la coque. La coque comprend une embase 6 en
forme de plaque horizontale sur laquelle repose la semelle de la chaussure. L'embase
6 est bloquée en position sur la planche par un disque central 60 emboité dans un
logement traversant de l'embase comprenant des bords formant épaulement et complémentaires
des bords du disque; quant à lui, fixé directement sur la planche au moyen de vis,
par exemple. Ainsi, la position de l'embase, et de ce fait de la coque, est réglable
en rotation autour du disque central 60.
[0022] Les côtés 40, 41 de la coque se prolonge vers l'arrière de manière remontante par
un arceau 7 destiné au calage du talon de la chaussure. L'arceau présente une forme
générale incurvée en U ouvert vers l'avant. La coque 4 comprend enfin un capot arrière
8 sur lequel est destinée à prendre appui la tige de la chaussure 2 au niveau du bas
de jambe de l'utilisateur, notamment lors d'une prise de carre arrière.
[0023] Selon l'invention, le capot arrière 8 comprend:
- une première partie inférieure 8A en forme d'étrier, disposé en prolongement de l'arceau
7 et s'articulant sur celui-ci autour d'un axe de rotation 9 transversal ou perpendiculaire
au plan vertical longitudinal médian P de la chaussure; plan pris pour référence,
lorsque la chaussure est installée en position dans le dispositif;
- une seconde partie supérieure 8B prolongeant la première partie 8A vers le haut et
articulée à celle-ci par des moyens de liaison, décrits ci-après en détail, qui permettent
de déplacer en rotation la seconde partie 8B par rapport à la première partie 8A autour
d'un axe X-X' sensiblement vertical situé en avant du capot arrière.
[0024] Dans l'exemple figuré, l'axe X-X' correspond sensiblement à l'axe de la jambe. Cet
axe n'est pas tout à fait vertical mais plutôt légèrement incliné vers l'ayant d'un
angle faible de l'ordre de quelques degrés par rapport à la verticale.
[0025] Comme le montre la figure 3, selon le présent exemple de réalisation, l'étrier 8A
formant la première partie du capot 8 comprend d'une part deux bras verticaux latéraux
10 dont les extrémités libres se prolongent et s'articulent sur les flancs externes
de l'arceau 7 et d'autre part, une branche sensiblement horizontale 11 formant un
U avec les bras verticaux 10.
[0026] Une telle conception de l'arrière du dispositif, en particulier de la partie inférieure
8A a pour effet d'apporter un enveloppement invariable de la partie de talon en contact
prioritairement avec l'arceau 7.
[0027] Selon une autre caractéristique de l'invention, les moyens de liaison de la seconde
partie supérieure 8B du capot 8 sur la première partie inférieure 8A ou étrier sont
constitués respectivement par une rainure 12 en forme d'arc réalisée à la base inférieure
8Ba d'une partie inférieure d'épaisseur renforcée, de forme complémentaire et de dimension
correspondante à celles d'un rail 13 réalisé en proéminence sur la branche horizontale
11 dudit étrier 8B. Bien entendu, la rainure 12 et le rail 13 sont concentriques par
rapport à l'axe X-X' comme le montre la figure 5; de manière à autoriser un débattement
rotatif de la partie supérieure 8B par rapport à la partie inférieure 8A du capot
8 selon une valeur angulaire déterminée par des moyens de limitation angulaire décrits
ci-après.
[0028] Il est à noter qu'une telle conception offre pour avantage de permettre un réglage
fin, continu et rapide de la partie supérieure 8B du capot et a pour avantage aussi
de procurer un encastrement qui conserve une résistance supérieure à la prise d'appui
arrière de la chaussure sur le capot.
[0029] Comme le montre la figure 2, grace à l'invention, la partie supérieure 8B du capot
peut être orientée angulairement de la façon souhaitée, de préférence, de manière
que la tangente à la courbure de la partie supérieure 8B soit approximativement parallèle
à la carre arrière 30 de la planche. Chaque dispositif est, quant à lui, positionné
sur la planche de façon que la chaussure s'étende selon un plan principal longitudinal
P et forme un angle variable par rapport à l'axe transversal médian O de la planche.
[0030] Conformément aux modes de réalisation représentés sur les figures 3 à 7, les moyens
de limitation du débattement angulaire et de blocage en position de la seconde partie
supérieure 8B du capot 8 par rapport à la première inférieure 8A ou étrier sont constitués
par deux lumières oblongues 14A, 14B réalisée dans le rail 13 de la première partie
inférieure 8A ou étrier. Les lumières 14A, 14B s'étendent dans un plan horizontal
et de manière symétrique par rapport à un axe médian vertical YY' dudit rail 13 comme
l'illustre la figure 6, en particulier.
[0031] Chaque lumière est traversée par un moyen de serrage de la rainure 12 sur le rail
13 telle qu'une vis de fixation 15A, 15B traversant un trou lisse d'Une des parois
verticales formant la rainure 12 de la seconde partie 8B de capot 8 et se vissent
dans un trou fileté réalisé en vis-à-vis dans l'autre paroi verticale de ladite rainure
12. Lorsque partiellement dévissées, lesdites vis 15A, 15B peuvent ainsi coulisser
librement dans chaque lumière au cours de la recherche d'une position angulaire idéale
de la seconde partie 8B du capot 8 par rapport à la première partie 8A. Une fois la
position idéale atteinte, le blocage de la positions est obtenu en vissant complètement
les vis 15A, 15B.
[0032] Bien entendu, la longueur et le positionnement des lumières déterminent directement
la course angulaire disponible de la partie supérieure 8B du capot.
[0033] Par ailleurs, et selon une autre caractéristique de l'invention, le capot d'appui
arrière 8 dispose d'un moyen de réglage d'avancée dans le sens postéro-antérieur pour
la recherche d'une position idéale pour un utilisateur donné; ce réglage s'effectuant
par rapport à l'arceau 7 de la coque 4.
[0034] Ce moyens de réglage d'avancée est constitué par une zone centrale crantée 16 réalisée
sur la face interne de la branche horizontale 11 de l'étrier 8A et qui coopére avec
une zone crantée 17 complémentaire d'un élément de butée 18 rapporté sur ladite branche
11 et maintenu au contact de ladite zone crantée 16 au moyen d'un élément de fixation
telle qu'une vis de fixation 19.
[0035] L'élément de butée 18 prend appui sur un épaulement supérieur 7a de l'arceau 7. La
vis 19 traverse une lumière oblongue verticale 20 de la branche 11 de manière à autoriser
le déplacement vers le haut ou vers le bas dudit élément de butée 18 pour l'obtention
d'une position d'avancée choisie dans laquelle on l'immobilise par serrage de la vis
19. Les zones crantées en contact l'une avec l'autre sont constituées, de préférence,
de stries s'étendant chacune horizontalement et disposées en une rangée verticale.
[0036] Ce moyen de réglage d'avancée peut être de conception différente tout en assurant
la même fonction. Par exemple, l'élément de butée 18 pourrait être remplacé par un
élément de butée excentrique, sans zone crantée, présentant plusieurs positions sélectionables
par rotation de l'élément autour d'un axe fixe.
[0037] Comme le montre la figure 4, la partie supérieure 8B du capot 8 comporte une partie
encastrable pour le logement d'un garnissage interne 22 qui constitue un élément de
confort et d'anti-glissement latéral.
[0038] La figure 8 montre une variante dans laquelle les lumières 140A, 140B sont préférentiellement
réalisées au travers de la partie supérieure du capot de part et d'autre de la rainure
12. Dans ce cas le rail 13 est percé de simples trous pour le passage des moyens de
serrage ou vis 15A, 15B.
[0039] Bien entendu, l'invention ne se limite pas au mode de réalisation ainsi décrit de
manière préférentielle.
[0040] Par exemple, l'invention peut s'appliquer tout aussi bien à un dispositif de fixation
de mode 'step-in' comprenant un capot d'appui arrière tel que celui de l'invention.
1. Dispositif de fixation d'une chaussure (1) sur une planche de glisse (3) pour la pratique
du surf sur la neige comprenant une embase (6) sur laquelle prend place la semelle
(2) de la chaussure (1) et qui se prolonge vers l'arrière de manière remontante par
un arceau (7) destiné au calage du talon et par un capot arrière (8) sur lequel est
susceptible de prendre appui la tige de la chaussure (1) au niveau du bas de jambe
de l'utilisateur lors d'une prise de carre arrière, caractérisé en ce que le capot
arrière (8) comprend :
- une première partie inférieure (8A) en forme d'étrier, disposée en prolongement
de l'arceau (7) et s'articulant sur celui-ci autour d'un axe (9) sensiblement transversal
par rapport au plan vertical longitudinal médian de la chaussure;
- une seconde partie supérieure (8B) prolongeant la première (8A) vers le haut et
articulée à celle-ci par des moyens de liaison pour permettre une modification de
la position relative de ladite seconde partie (8B) par rapport à ladite première partie
(8A) par déplacement en rotation de ladite seconde partie (8A) autour d'un axe sensiblement
vertical X-X' situé en avant dudit capot arrière (8).
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'étrier (8A) formant la
première partie du capot (8) comprend d'une part deux bras verticaux latéraux (10)
dont les extrémités libres se prolongent et s'articulent sur les flancs externes de
l'arceau (7) et d'autre part, une branche sensiblement horizontale (11) formant un
U avec les bras verticaux (10).
3. Dispositif selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que les moyens de liaison
de la seconde partie supérieure (8B) du capot (8) sur la première partie inférieure
(8A), ou étrier sont formés par l'emboitement d'une rainure (12) en forme d'arc, et
d'un rail (13) de forme complémentaire et de dimensions correspondantes à ladite rainure
(12).
4. Dispositif selon la revendication 3, qu'il comprend des moyens de débattement angulaire
et de blocage en position de la seconde partie supérieure (8B) par rapport à la première
partie inférieure (8A) ou étrier comprenant au moins une lumière oblongue (14A, 140A,
14B, 140B) de la première partie (8A) et traversée par un moyen de serrage (15A, 15B)
effectuant le serrage de la rainure (12) sur le rail (13).
5. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que moyens de débattement angulaire
et de blocage en position sont constitués de deux lumières (14A, 14B) du rail disposées
symétriquement de part et d'autre de l'axe médian vertical (YY') du rail (13) constituant
les moyens de limitation du débattement angulaire de la partie supérieure du capot
et en ce qu'une vis de fixation (15A, 15B) coopèrent en coulissement et en blocage
avec chacune d'elles.
6. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 2 à 5, caractérisé en ce que
le capot d'appui arrière (8) dispose de moyens de réglage d'avancée dans le sens postéro-antérieur
(16, 17, 18,19) pour la recherche d'une position idéale pour un utilisateur donné,
ce réglage s'effectuant par rapport à l'arceau (7) de la coque (4).
7. Dispositif selon la revendication 6, caractérisé en ce que les moyens de réglage d'avancée
sont constitués par une zone centrale crantée (16) réalisée sur la face interne de
la branche horizontale (11) de l'étrier (8A) et qui coopére avec une zone crantée
(17) d'un élément de butée (18) rapporté sur ladite branche (11) et maintenu au contact
de ladite zone crantée (16) au moyen d'un élément de fixation (19); ledit élément
de butée (18) prennant appui sur un épaulement supérieur (7a) de l'arceau (7).