[0001] L'invention concerne une ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant comportant
un boîtier s'étendant à l'arrière d'une plaque de fixation munie d'une ouverture donnant
accès à un organe de manoeuvre faisant office de poignée au niveau d'un ensemble coulissant
monté mobile axialement dans ledit boîtier et comportant un porte-pêne conçu apte
à recevoir, notamment de manière réglable, un organe de verrouillage, plus particulièrement
un pêne à crochet.
[0002] On connaît, d'ores et déjà, de nombreuses ferrures de verrouillage pour ouvrant coulissant
répondant à la description ci-dessus.
[0003] En particulier, dans les documents FR-2.761.719 et FR-2.761.718 il est décrit une
ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant comprenant un boîtier à l'intérieur
duquel se déplace longitudinalement un ensemble coulissant, comprenant un porte-pêne
et actionné au moyen d'un organe de manoeuvre faisant fonction de poignée.
[0004] Tout au long de ces documents cet ensemble coulissant, que l'on dénomme également
de manière habituelle coulisseau, est identifié comme étant le porte-pêne. En fait,
ce coulisseau et ce porte-pêne forment, ici, une seule pièce, nécessairement conçue
en un matériau métallique, souvent en alliage de zinc, pour permettre à cet ensemble
coulisseau de remplir les fonctions qui lui sont attitrées. Tout particulièrement,
la partie formant porte-pêne s'étend au travers d'une ouverture dans le fond du boîtier
et comporte une lumière transversale pour la réception de la queue d'un pêne à crochet.
Celui-ci est maintenu, de manière réglable, dans cette lumière transversale du porte-pêne
au travers d'une vis de serrage.
[0005] L'on comprend bien qu'en raison des contraintes qui peuvent être imprimées au porte-pêne
par l'organe de verrouillage, que ce soit lors d'une tentative d'effraction ou suite
à une manoeuvre forcée, ce porte-pêne doit être en mesure d'offrir une résistance
mécanique suffisante au travers du matériau qui le constitue.
[0006] La rigidité qui découle d'un matériau métallique constituant cet ensemble coulissant
peut également représenter un inconvénient pour l'assemblage d'une telle ferrure de
verrouillage pour ouvrant coulissant.
[0007] L'on connaît encore par le document FR-2.826.995 une ferrure de verrouillage pour
ouvrant coulissant comportant un boîtier sous forme d'une tôle repliée en U conçue
apte à être rapportée par clipage à l'arrière d'une plaque de fixation interne munie
d'une ouverture donnant accès à un coulisseau monté mobile axialement dans ledit boîtier.
Le coulisseau comporte une poignée cuvette et est configuré, à une extrémité, en forme
d'un crochet venant en prise avec un porte-pêne lui-même coulissant dans ledit boîtier.
En somme, la coopération entre le coulisseau et le porte-pêne intervient lors de l'empilement
de ces pièces individuellement les unes après les autres dans le boîtier avant que
celui-ci ne soit recouvert et fermé de la plaque de fixation interne.
[0008] Finalement, comme il ressort de ce qui précède, l'art antérieur offre de multiples
solutions techniques très avantageuses sur le plan fonctionnel. Par contre, ces solutions
présentent une complexité des composants du produit, d'une part et, d'autre part,
s'avèrent contraignantes dans la conception même de ces composants.
[0009] Le but de la présente invention est de simplifier la réalisation de telles ferrures
de verrouillage pour ouvrant coulissant, non seulement en rationalisant le coût de
fabrication des différentes pièces, mais, en outre, en facilitant le montage et l'assemblage.
[0010] Au travers de la présente invention, il est également possible d'offrir plus de souplesse
en matière de Design en ce qui concerne les parties visibles d'une telle ferrure de
verrouillage pour ouvrant coulissant.
[0011] Ainsi, l'invention concerne une ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant comportant
un boîtier s'étendant à l'arrière d'une plaque de fixation munie d'une ouverture donnant
accès à un organe de manoeuvre faisant office de poignée au niveau d'un ensemble coulissant
monté mobile axialement dans ledit boîtier et comportant un porte-pêne conçu apte
à recevoir, notamment de manière réglable, un organe de verrouillage, plus particulièrement
un pêne à crochet, caractérisée par le fait que l'ensemble coulissant est défini par
un coulisseau comportant un boîtier de forme adaptée pour la réception du porte-pêne
et dans lequel est conçu apte à venir se loger ce dernier.
[0012] En somme, au travers de la présente invention, la fonction de porte-pêne est attribuée
à une pièce indépendante, par exemple apte à être conçue par usinage ou moulage d'un
matériau métallique. Finalement, cette pièce résistante peut venir se loger dans un
boîtier de réception dans le coulisseau qui, en venant se déplacer entre les parois
du boîtier de la ferrure de verrouillage, est parfaitement maintenu et peut être conçu
en un matériau synthétique quelconque.
[0013] A noter d'ailleurs, que selon l'invention, le boîtier, comportant au moins deux parois
parallèles s'étendant perpendiculairement et de manière axiale à l'arrière de la plaque
de fixation, présente au moins au niveau de l'une de ces parois latérales parallèles
une ouverture pour le passage de la queue d'un pêne de verrouillage, du type pêne
à crochet. Celui-ci peut, ainsi, coopérer avec ledit porte-pêne logé dans son boîtier
de réception du coulisseau prenant position entre ces parois du boîtier de la ferrure
de verrouillage.
[0014] Selon une autre particularité de l'invention, le boîtier est conçu pour autoriser
une mobilité relative du coulisseau dans ce dernier pour lui permettre, d'une part,
d'atteindre, depuis une position de déverrouillage, une position de verrouillage et
inversement et, d'autre part, d'occuper une position de montage-démontage dans laquelle
l'une des extrémités dudit coulisseau est susceptible de s'extraire ou, lors du montage,
de venir s'insérer dans ledit boîtier au travers de l'ouverture de ladite plaque de
fixation, alors que l'autre extrémité de ce coulisseau a déjà été ou, selon le cas,
est encore engagée dans ledit boîtier.
[0015] Selon une autre particularité de l'invention, le boîtier de la ferrure de verrouillage
est conçu de manière monobloc et comporte deux parois latérales parallèles reliées,
en partie arrière, par un fond, ce boîtier étant encore refermé, de part et d'autre,
par des parois d'extrémité, sachant qu'en partie avant il comporte un couvercle défini
par la plaque de fixation interne.
[0016] Ainsi, même si l'une ou l'autre de ces parois définissant le boîtier comporte une
ouverture pour le passage d'un organe apte à assurer une fonction quelconque, il est
évident que la ou les parois concernées, en étant reliées aux parois adjacentes, contribuent
à consolider le boîtier de la ferrure.
[0017] A ce propos et selon une autre particularité de l'invention, la paroi définissant
le fond du boîtier comporte au moins un décrochement intérieur audit boîtier permettant
de rigidifier ce dernier.
[0018] De manière avantageuse, le coulisseau est conçu flexible dans le sens longitudinal
pour assurer son insertion, par flexion, dans le boîtier au travers de l'ouverture
longitudinale dans la plaque de fixation.
[0019] L'objet de la présente invention sera mieux compris à la lecture de la description
qui va suivre se rapportant aux dessins ci-joints dans lesquels :
La figure 1 est une représentation schématisée et en perspective de la ferrure de
verrouillage selon l'invention ;
La figure 2 est une vue éclatée et en perspective de cette ferrure de verrouillage
pour ouvrant coulissant ;
La figure 3 est une représentation schématisée en élévation du boîtier de la ferrure
de verrouillage ;
La figure 4 est une représentation schématisée en plan de cette ferrure de verrouillage
;
La figure 5 est une représentation en élévation de cette ferrure de verrouillage ;
La figure 6 est une vue de détail et en coupe selon VI-VI de la figure 4.
[0020] Tel que représenté dans les figures des dessins ci-joints, la présente invention
a trait à une ferrure de verrouillage 1 pour ouvrant coulissant.
[0021] Elle comporte une plaque de fixation 2 présentant une ouverture longitudinale 3 d'accès
à un organe de manoeuvre 4A faisant office de poignée au niveau d'un ensemble coulissant
4B monté mobile axialement dans un boîtier 5 s'étendant perpendiculairement à l'arrière
de la plaque de fixation 2.
[0022] L'ensemble coulissant 4B comporte un porte-pêne 6 conçu apte à recevoir, préférentiellement
de manière réglable, un organe de verrouillage 7, plus particulièrement un pêne à
crochet schématiquement représenté dans la figure 4.
[0023] Selon une particularité de l'invention, le boîtier 5 est conçu de manière monobloc
et comporte deux parois parallèles latérales 8, 9 reliées, en partie arrière par un
fond 10. Ce boîtier 5 est encore refermé de part et d'autre par des parois d'extrémité
11, 12, sachant qu'en partie avant il comporte un couvercle défini par la plaque de
fixation 2.
[0024] De manière avantageuse, l'ensemble coulissant 4B est défini par un coulisseau 4 comportant
un boîtier 18 de réception du porte-pêne 6 dont vient à être équipé ce coulisseau
4 avant montage dans le boîtier 5.
[0025] Selon une autre particularité de l'invention, le coulisseau 4 et le boîtier 5 sont
conçus pour permettre un engagement du premier dans le second depuis l'ouverture longitudinale
3 dans la plaque de fixation 2.
[0026] Ainsi, dans une solution où cette ouverture longitudinale 3 est de longueur inférieure
à celle du coulisseau 4, la course de ce dernier dans le boîtier 5 est définie de
sorte que, non seulement, ce coulisseau 4 puisse passer d'une position de verrouillage
dans une position de déverrouillage et inversement, tout en étant parfaitement maintenu
lors de ses déplacements dans ledit boîtier 5, mais, en outre, cette course est conçue
pour que, dans un déplacement additionnel pour atteindre une position de montage-démontage,
l'une 13 des extrémités du coulisseau 4 soit à même de s'extraire ou de s'engager
dans ladite ouverture longitudinale 3, alors que l'autre extrémité 14 de ce coulisseau
4 est encore maintenue engagée ou a déjà été insérée dans le boîtier 5 au travers
de cette ouverture 3. L'on comprend bien que cette insertion s'effectue par une opération
de basculement du coulisseau 4 dans le boîtier 5.
[0027] Toutefois, l'on a encore imaginé de concevoir le coulisseau 4 de manière flexible
dans le sens longitudinal pour assurer, par flexion, son insertion dans le boîtier
5 au travers de l'ouverture longitudinale 3 de la plaque de fixation 2.
[0028] Ceci présente l'avantage de permettre un assemblage sans jeu excessif du coulisseau
4 dans le boîtier 5.
[0029] L'on observera que la flexibilité peut découler de la conception du coulisseau 4
en matière synthétique ce qui est rendu possible par la séparation des fonctions coulisseau,
porte-pêne au niveau de l'ensemble coulissant 4B.
[0030] De manière toute particulière, ledit coulisseau 4 est défini par deux parties d'extrémité
15, 16 reliées par une lame centrale 14 flexible concevant, ainsi, l'organe de manoeuvre
4B.
[0031] Le boîtier de réception 18 du porte-pêne 6 est défini par l'une 15 de ces parties
d'extrémité.
[0032] Comme cela est largement visible dans les figures 2 et 6, le porte-pêne 6 se présente
sous forme d'un boîtier parallélépipédique 40, transversalement traversé d'une lumière
41 ajustée pour le passage de la queue 20 de l'organe de verrouillage 7. Avec cette
lumière 41 communique au moins une vis de réglage et/ou de serrage 29 fichée dans
un orifice taraudé 42 débouchant en face supérieure 43 du boîtier 40.
[0033] Pour produire une force de serrage suffisante, la vis de réglage et/ou de serrage
29 doit être de longueur suffisante et en prise avec les filets d'un orifice taraudé
42 de longueur équivalente.
[0034] Aussi, le boîtier 40 s'étend largement au-dessus de la lumière 41 pour offrir suffisamment
de matière en vue de remplir la condition ci-dessus.
[0035] Toutefois, pour un gain de poids et/ou de matière, la partie supérieure 44 du boîtier
40 s'étendant au-dessus de la lumière 41 peut être conçue en forme de cage 45 à l'intérieur
de laquelle s'étend un moyeu 46 percé de l'orifice taraudé 42.
[0036] Quant au boîtier 18, dont est équipé à une partie d'extrémité 15 le coulisseau 4,
il est de forme adaptée pour la réception du porte-pêne 6. Ce boîtier de réception
18 comporte, toutefois, au niveau de ses parois latérales 47 des échancrures 48 au
moins au droit de la lumière 41 traversant transversalement le porte-pêne 6 pour la
réception de la queue 20 de l'organe de verrouillage 7.
[0037] A noter, encore, que pour conférer à l'organe de manoeuvre 4A, une forme de poignée
cuvette, la paroi 49 correspondant au boîtier de réception 18 et située en regard
de la lame centrale 17 du coulisseau 4, n'est pas strictement perpendiculaire par
rapport à cette lame centrale 17, mais définit un plan incliné auquel est ajusté un
pan 50 de la structure en forme de cage 45 de la partie supérieure 44 du boîtier 40
correspondant au porte-pêne 6.
[0038] Au moins l'une des parois parallèles 8, 9, du boîtier 5 comporte, au droit du porte-pêne
6, une ouverture 19 pour permettre à la queue 20 de l'organe de verrouillage 7 de
venir coopérer avec ce porte-pêne 6.
[0039] Selon l'invention, cette ouverture 19 est définie pour autoriser à la queue 20, donc
à l'organe de verrouillage 7, une course correspondant à son passage de la position
de verrouillage dans la position de déverrouillage et inversement.
[0040] En somme, au travers de sa coopération avec la queue 20 de l'organe de verrouillage
7, cette ouverture 19 vient limiter la course de déplacement du coulisseau 4, course
autrement plus importante pour permettre le montage, comme cela a été expliqué plus
haut.
[0041] De manière particulière, le fond 10 du boîtier 5 comporte au moins un décrochement
21 intérieurement audit boîtier 5, permettant, en particulier, de rigidifier ce dernier.
[0042] Selon une autre particularité de l'invention, le coulisseau 4 comporte des moyens
d'indexation de sa position de verrouillage et de déverrouillage, prévus aptes à coopérer
avec des moyens d'indexation complémentaires que reçoit le boîtier 5.
[0043] Tout particulièrement, à son extrémité 14, opposée à la partie d'extrémité 15 comportant
le porte-pêne 16, ledit coulisseau 4 peut être équipé d'une ou plusieurs lames élastiques
22 munies d'au moins un bossage d'indexation 23 à même de coopérer avec des évidements
24, constituant les moyens d'indexation complémentaires que comporte le fond 10 du
boîtier 5.
[0044] Comme visible sur les figures des dessins ci-joints, ces évidements 24 sont conçus
au niveau du décrochement 21 que comporte ce fond 10, à une extrémité 25 de ce boîtier
5.
[0045] A ce propos, la paroi d'extrémité 12 que comporte ce dernier à cette extrémité 25
présente, avantageusement, une ou des ouvertures 26 que peuvent traverser la ou les
lames élastiques 22 pour conférer au coulisseau 4 cette mobilité relative additionnelle
par rapport au boîtier 5 pour permettre le montage.
[0046] A noter, encore, que des moyens de rappel élastiques 27 peuvent agir entre cette
paroi d'extrémité 12 et l'extrémité correspondante 14 du coulisseau 4 pour assurer
un rappel automatique de ce dernier, par exemple en position de verrouillage. On a
encore représenté de manière partielle dans la figure 6 (seule une première spire
d'un ressort est visible) de tels moyens de rappel élastiques 27 agissant cette fois
entre le boîtier de réception 18 du porte-pêne 6 et la paroi d'extrémité opposée 11
du boîtier 5 de la ferrure 1.
[0047] A noter, encore, que la partie d'extrémité 15 du coulisseau 4, constituant un boîtier
de réception 18 du porte-pêne 6, comporte une ouverture 28 d'accès à une vis de réglage
et/ou de serrage 29 pour le blocage de la queue 20 du pêne de verrouillage dans ledit
porte-pêne 6. Plus particulièrement, cette ouverture 28 dans la partie d'extrémité
15 du coulisseau 4 est définie pour être rendue accessible lorsque ce dernier est
repoussé, dans une position, par exemple de déverrouillage comme visible dans la figure
4.
[0048] Selon l'invention, encore, la ferrure de verrouillage 1 comporte deux organes d'accrochage
30, 31 définis à même d'agir dans des directions longitudinales opposées et conçues
pour coopérer avec le chant de la lumière, dans un ouvrant coulissant, dans laquelle
est destinée à être rapportée ladite ferrure de verrouillage 1.
[0049] Tout particulièrement, au-delà de l'une des parois d'extrémité 11, le boîtier 5 est
prolongé par un boîtier 32 de réception d'un organe d'accrochage 31 défini élastiquement
escamotable.
[0050] Ainsi, dans ce boîtier de réception 32, cet organe d'accrochage 31 est monté coulissant
contre l'action de moyens de rappel élastiques 33 ce qui lui permet de s'effacer par
rapport au chant correspondant de la lumière dans l'ouvrant coulissant quant on vient
y emboîter ladite ferrure de verrouillage.
1. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant comportant un boîtier (5) s'étendant
à l'arrière d'une plaque de fixation (2) munie d'une ouverture longitudinale (3) donnant
accès à un organe de manoeuvre (4A) faisant office de poignée au niveau d'un ensemble
coulissant (4B) monté mobile axialement dans ledit boîtier (5) et comportant un porte-pêne
(6) conçu apte à recevoir, notamment de manière réglable, un organe de verrouillage
(7), plus particulièrement un pêne à crochet, caractérisée par le fait que l'ensemble coulissant (4B) est défini par un coulisseau (4) comportant un boîtier
(18) de forme adaptée pour la réception du porte-pêne (6) et dans lequel est conçu
apte à venir se loger ce dernier.
2. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant selon la revendication 1, caractérisée par le fait que le coulisseau (4) est défini par deux parties d'extrémité (15, 16) reliées par une
lame centrale (14) concevant l'organe de manoeuvre (4A), le boîtier de réception (18)
du porte-pêne (6) étant défini par l'une (15) de ces parties d'extrémité (15, 16).
3. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant selon l'une quelconque des revendications
précédentes, caractérisée par le fait que le porte-pêne (6) se présente sous forme d'un boîtier (40), plus particulièrement
de forme parallélépipédique, traversé, transversalement, d'une lumière (41) ajustée
pour le passage de la queue (20) de l'organe de verrouillage (7), avec ladite lumière
(41) communiquant au moins une vis de réglage et/ou de serrage (29) fichée dans un
orifice taraudé (42) débouchant en face supérieure (43) du boîtier (40).
4. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant selon la revendication 3, caractérisée par le fait que le boîtier (40) comporte une partie supérieure (44) s'étendant au-dessus de la lumière
(41) et conçue en forme de cage (45) à l'intérieur de laquelle s'étend un moyeu (46)
percé de l'orifice taraudé (42) de réception de la vis de réglage et/ou de serrage
(29).
5. Ferrure de verrouillage selon la revendication 3 ou 4, caractérisée par le fait que le boîtier de réception (18) du coulisseau (4) comporte une ouverture (28) d'accès
à la vis de réglage et/ou de serrage (29).
6. Ferrure de verrouillage selon l'une quelconque des revendications 3 à 5, caractérisée par le fait que le boîtier de réception (18) comporte, au niveau de ses parois latérales (47), des
échancrures (48) au moins au droit de la lumière (41) traversant transversalement
le porte-pêne (10) pour la réception de la queue (20) de l'organe de verrouillage
(7).
7. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant selon l'une quelconque des revendications
précédentes, caractérisée par le fait que le boîtier (5) comporte deux parois parallèles latérales (8, 9) comportant, au droit
du porte-pêne (6), une ouverture (19) pour le passage de la queue (20) de l'organe
de verrouillage (7), ladite ouverture (19) étant dfinie pour autoriser audit organe
de verrouillage (7) une course correspondant à son passage de la position de verrouillage
dans la position de déverrouillage et inversement.
8. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant selon l'une quelconque des revendications
précédentes, caractérisée par le fait que le boîtier (5) est conçu pour autoriser une mobilité relative du coulisseau (4) et
lui permettre, d'une part, d'atteindre, depuis une position de déverrouillage, une
position de verrouillage et inversement et, d'autre part, d'occuper une position de
montage-démontage dans laquelle une (13) des extrémités (13, 14) du coulisseau (4)
est susceptible de s'extraire ou, lors du montage, de venir s'insérer dans ledit boîtier
(5) au travers de l'ouverture (3) dans ladite plaque de fixation (2), alors que l'autre
extrémité (14) dudit coulisseau (4) est engagée dans ledit boîtier (5).
9. Ferrure de verrouillage selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée par le fait que le coulisseau (4) est conçu flexible dans le sens longitudinal pour assurer son insertion,
par flexion, dans le boîtier (5), au travers de la lumière longitudinale (3) dans
la plaque de fixation (2).
10. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant selon l'une quelconque des revendications
précédentes, caractérisée par le fait que le coulisseau (4) comporte des moyens d'indexation (23) de ses positions de verrouillage
et de déverrouillage prévus aptes à coopérer avec des moyens d'indexation complémentaires
(24) que reçoit le boîtier (5).
11. Ferrure de verrouillage pour ouvrant coulissant selon l'une quelconque des revendications
précédentes, caractérisée par le fait qu'elle comporte des moyens de rappel élastiques (27) pour assurer un rappel automatique
du coulisseau (4), notamment en position de verrouillage.